chapitre 18

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Il m invita à m asseoir sur l un des fauteuils.
Ce que je fais hésitante .
Il s assoit à son tour.
Il appela quelqu'un, et lui demanda de nous servir de quoi manger.
Cette personne revient avec un plateau garnit de nourriture et nous le déposa à table.
Je le regardait avec un regard d incompréhension mais surtout de peur.
Il avait quelque chose derrière la tête et je tiens bien à savoir ce que c est.

_ Mange.

_ Pourquoi cette attention si soudaine!?

_ Curieuse, ma jolie.

_ Malin, le petit

_ Comme tu le dis, il vaudrait mieux invoqué le sujet .

_ C est clair maintenant.
Que voulez vous!?

Il se leva de sa place et ne faisait que de se déplacé dans le salon.
Je ne faisait que de le regarder attendant ce qu il a à me dire.

_ C est vous que je veux....
Il laisse sa phrase en suspend
Me laissant dans le dénie.

_ Plus précisément, je ne te caches pas que mes plans étaient de simplement en finir avec toi mais...
Tu me rapportes bien que tu ne le penses .
Reprend-il.

_ Je vois où voulez-vous en venir.
N oubliez pas que vous pouvez perdre d autant plus ce que vous allez gagner.

Il ne daigne même pas m offrir un regard et décide de continuer ses paroles.

_ J ai décidé de te garder en vie et celà en but de saisir toute la fortune de ton cher mari.
Il ne supportera pas te voir souffrir et donc il me léguera sa mafia et je pourrais ensuite me débarrasser de vous deux.
Génial le plan, tu ne trouves pas!?

Je ne lui réponds pas, essayant de l irrité au plus haut point.
Soudainement il me prend fougueusement la mâchoire et la serre de plus en plus.

_ Je t ai posé une question alors tu réponds, sale pute.

Il lache mon menton et s attaque à mes cheveux.
Il me tire tout le long du couloir et me pousse dans les escaliers qu on avait précédemment utilisé.
J ai pu me rattraper à l aide de mes mains mais celle de droite m avait fait terriblement mal.
Je n eus même pas le temps d annoncer mon mal, que ce monstre me relève toujours cruellement.
Il me jeta dans ma cellule et ferma la serrure.
Je m acroupis sur le tapis en me massant le poignet .
Mais ça ne faisait qu empirer la douleur .
Mes larmes commençaient à couler de douleur, de fatigue .
Je ne pouvais plus supporter c en était trop pour moi.
C est d ailleurs ce que je faisais chaque jour passé dans cette chambre.
Je ne faisais que de pleurer m appitoyant sur mon sort.
Je m allonge au sol et essaie
de tomber dans les bras de Morphée, espérant que ce dernier me fera oublier la réalité.

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Je me réveilla sous les cris de jeunes femmes demandant de l aide.
Ils étaient tout prêt de ma cellule.
J en conclus donc que c est le prisonniers qui partageaient le même sous sol que moi.
Je me penche afin de voir ce qui se passe dehors.

_ Aidez-nous.
On est là, que quelqu'un nous sort d'ici .

Chaque une d elle criait de toutes ses forces.
Quelque chose se passait à l etage mais aucune de nous ne savait quoi.
On essayait seulement de sauver notre peau.
Elles continuaient leur vacarme.
Jusqu'au moment où on entendit des coups de feu
Apeurées beaucoup d entre elles lâchaient des cris et saissaient tout bruit.
Une idée me vient tout à coup.
Si ces derniers sont préoccupés par au manoir donc la voie est libre actuellement.
Je me précipite vers la fenêtre, y met la chaise et observe les alentours.
Aucun gardes en vue, mais pleines de voitures noires étaient garés autour de ce manoir .
Les vitres fumées je ne pouvais voir si quelqu'un se trouvait dedans.
Un fracas retentit et les jeunes femmes demandaient de l aide.

Un inconnu pour moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant