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| Point de vue : Tarik |



2 juillet 3018
Maison de l'aîné des Andrieu - 07:25



—« Tarik t'en fait pas je peux aller travailler »

—« Non Emelyne, t'as encore vomi toute la nuit manquerait plus que tu fasses un malaise au boulot par manque d'énergie »

—« Je vais manger quelque chose avant d'y aller ça va me réveiller » insiste t'elle

—« Tu oserais désobéir au suppléant de la ville ? » lui répondais je alors faussement durement

Elle fronce ses sourcils puis finit par céder en soufflant.

—« Il étaitpas censé être gentil ce nouveau suppléant » dit elle ironiquement

—« Si, avec tout le monde sauf toi sinon c'est pas drôle »

Elle roule ses yeux et allant se recoucher dans le lit alors que j'ouvre la porte de la chambre.

—« Repose toi bien » lui dis je avant de définitivement quitter la maison

Je vois au loin Théo sortir de sa maison et fronce mes sourcils ne voyant pas Erity avec lui.

—« Théo ! » l'appelais je en m'approchant de lui

—« Monsieur le suppléant » me répond t'il en relevant ses yeux vers moi

—« Où est Erity ? »

Il sourit puis ouvre la portière arrière de sa voiture.

—« Va voir par toi même »

Il disparaît ensuite et je le regarde s'éloigner puis presse le pas pour me diriger vers l'entrée de leur maison. Pour une fois, je passe par la porte d'entrée tapant le code de leur porte et monte directement à l'étage ne la voyait pas au rez-de-chaussée. Arrivée devant sa chambre, je toque avant de m'annoncer.

—« Tarik ? Mais qu'est ce que tu fais là » me demande t'elle après que je sois entrée dans la pièce

Elle est allongée dans le lit, les yeux mis clos et les sourcils froncés.

—« Qu'est ce que tu as ? » lui demandais je ignorant sa question

—« J'ai eu des nausées horribles en me réveillant et Théo m'a obligé à rester à la maison pour ma journée rajoutant que dans tous les cas tu serais d'accord avec lui »

Et il a raison. Je comprends donc mieux pourquoi il souriant autant comme un idiot avant d'entrer dans sa voiture. Je vais donc m'assoir à ses côtés et la fixe un moment alors qu'elle a du mal à garder les yeux ouverts. Je me suis toujours imaginer sa tête au réveille et même malade et pas apprêté je la trouve magnifique.

—« C'est bon s'est confirmé » dis je en souriant

Elle fait de même et je m'assois à ses côtés pour ensuite embrasser son front.

𝐌𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞𝐫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant