Une Nouvelle Année - EreRiren

Chapitre 18

PDV Livaï

J'ouvre les yeux. Quoi ? Le gamin ? Non, je dois rêver. Je ne comprends pas. Pourquoi ? Pourquoi il est toujours là pour moi alors que je ne suis pas là pour lui ?

Eren : Eh, salut...

Il a les yeux à demi-clos. Il avait dû s'endormir.

Livaï : euh... salut ?

Eren : Je suis désolé tout est de ma faute ! Si j'avais été là, rien ne serait arrivé !

Livaï : Eren, je... c'est à moi de m'excuser. Je n'ai pas fait ce qu'il fallait quand il le fallait. J'aurais dû t'accueillir et non te virer quand tu es venu chez moi. Je n'aurais pas dû te rejeter. Regarde ce que ça nous a fait. A présent, je ferais tout mon possible pour être à la hauteur et pouvoir fonder une véritable et durable amitié.

Il avait l'air déçu. Il ne veut pas qu'on soit amis ? Pourtant moi, j'aimerais qu'on soit bien plus.

Livaï : Ecoute, si tu ne veux pas, ne te force pas, ce n'est pas gra-

Eren : Je t'aime Livaï ! Je pense à toi jour et nuit ! Je ne peux pas me passer de toi ! De tes cheveux, de tes yeux, mais surtout de ton caractère ! Tu me hantes. Je ne sais pas quoi faire quand tu n'es pas là.

Il avait fini sa phrase en baissant la voix et la tête. Il pleurait. Je ne savais pas quoi lui répondre. Est-ce bien de lui avouer mes sentiments ? Oui, je pense que c'est le moment. J'approche mon visage du sien et prend délicatement son menton entre mes doigts pour lui relever la tête. Il me regarde à présent droit dans les yeux. Il s'approche à son tour puis je scelle nos lèvres. Je ferme les yeux pour profiter au maximum. Il fait de même. Je demande l'accès à sa bouche. Il me l'offre. Ma langue vient rejoindre la sienne pour entamer un ballet endiablé. Pour approfondir le baiser, Eren met sa main derrière ma nuque. Nous nous séparâmes par manque d'air. Nous rouvrons les yeux. Le silence est intense. Je mets mon front contre celui d'Eren et ferme à nouveau les yeux. Eren m'embrasse longuement lorsque la porte de la chambre s'ouvre.

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Voici le chapitre 18.

J'espère qu'il vous a plu.

Bref, salut les mioches.

Livaï