Chapitre 28

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Ce chapitre contient une scène de viol. Je préviendrais donc quand elle commence et quand elle finit. 

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PDV Eren

Livaï partit avec sa mère à l'hôpital. Je trainais ma valise derrière moi. Arrivé sous mon porche, je m'arrêtais. Je devais frapper ou pas ? Je trouvais que c'était mieux. Si ça pouvait éviter la colère de mon père.

Grisha : Qui est le con qui vient me faire chier ?

Et voilà. J'allais en prendre plein la gueule. Mon père ouvrit. Il s'écarta et me fit signe d'entrer avec son pouce. Il claqua la porte et attrapa le haut de mon pull. Il m'entraina à l'étage. Il ferma à clé la porte de ma chambre.

Eren : Qu'est-ce que tu fais ?

Grisha : Fermes-là.

Son ton était froid et dur. Il me lâcha et me mit une gifle. Je tombais à la renverse sur le lit et portais ma main à ma joue douloureuse.

Grisha : Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? J'ai été convoqué au commissariat pour attouchements sur mineur et violences !

Eren : ...je-

Grisha : Ne me coupe pas ! Tu te souviens de ce qu'on avait dit ? Tu n'en parles à personne !

Eren : Mais tu as essayé de me violer ! Tu es mon père putain !

Grisha : Violer ? Je n'ai rien eu le temps de faire ! Mais là j'en ai.

Début de la scène de viol

Il m'attrapa les poignets et les mit au-dessus de ma tête. Il défit sa ceinture et accrocha mes mains. Il enleva mon pantalon et mon boxer. Je bougeais dans tous les sens pour me libérer. Mon père empoigna ma mâchoire avec violence.

Grisha : Si tu tentes quoi que ce soit, je te jure que ce qui t'arrivera sera bien pire que ce que j'avais prévu.

Par peur, je cessais tout mouvement. Il enleva à son tour tous ses vêtements en dessous de la taille. Par dégoût, je fermais les yeux et commençais à pleurer. Je le sentis écarter mes jambes et se placer entre. J'essayais de bouger mais mon corps refusais de me répondre. Je décelais une présence contre mon anneau de chair. J'étais tétanisé. Je n'arrivais pas à faire un seul mouvement. 

Tout à coup, mon père s'enfonça en moi. Je hurlais de douleur. Je sentis un liquide froid couler sur le lit. Mon bourreau entama des vas-et-viens brutaux. Cela parut une éternité. Je ne sentais plus mon corps. Il ne faisait que subir les pulsions salaces d'un connard homophobe. Mon père commença à fatiguer au bout de 10 minutes de sa torture. Il le lâcha en moi dans un long râle et se retira de mon antre dans un bruit obscène. J'ouvris lentement les yeux. Il finit d'enfiler son pantalon et me regarda.

Grisha : Si tu dis ça à qui que ce soit, je ne donne pas cher de ta peau.

Fin de la scène de viol

Il sortit de la chambre. Je levais la tête et réussi à défaire mes mains de la ceinture. Je roulais sur le côté et fut pris d'une atroce douleur dans le bas du dos et aussi dans... dans mon cul quoi. Je m'assit sur le rebord du lit avec une grande difficulté. Je regardais l'intérieur de mes cuisses et y vis du sang mélangé à du sperme. Ce connard m'avait déchiré. Je me levais et retombais à cause de la douleur. Je me couchais dans mon lit, toujours sans vêtements et remontais le drap sur moi. J'attendis au moins 20 minutes en fixant la porte de ma chambre. J'avais peur que mon père ne revienne. Je décidais de me lever pour prendre une douche. Je me sentais sale, souillé au plus profond de mon être. Il fallait laver ça, même si je savais que les traces ne partiraient jamais vraiment.

Une fois ma douche terminée, je retournais dans ma chambre. Je pris les draps tâchés de sang et de semence, les roulais en boule et les posais par terre. Je récupérais de nouveaux draps et les installa avec beaucoup de mal, ne pouvant plus trop me baisser. Après 15 minutes d'intense effort, j'avais réussi. J'attrapais la couette souillée et descendis. Je ne croisais pas mon père. Je les jetais dans la poubelle dehors. Je me dépêchais de rentrer avant que l'autre connard ne m'enferme dehors. Je gémissais silencieusement de douleur à chaque fois que je posais un pied au sol. Je me dépêchais de remonter dans ma chambre. Je fermais la porte à clé et me couchais délicatement sur mon lit. J'eus du mal à trouver une position moins douloureuse que les autres. Je décidais de ne pas sortir de ma chambre. Demain, on est le 25 décembre. J'irais voir Livaï pour son anniversaire.

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Voici le chapitre 28.

J'espère qu'il vous a plu.

Bref, salut les mioches.

Livaï

Une Nouvelle Année - EreRirenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant