PDV Livaï
Le lendemain, je me réveillais aux côtés d'Eren, plus précisément dans ses bras. Son torse collé à mon dos, séparés par un t-shirt. Que je suis bien là, pour rien au monde je ne bougerais...
Sauf... quand j'ai vu l'heure.
Livaï : Eren ! Bouge on va être en retard !
Ledit Eren, encore endormit, se cogna la tête dans le mur et se releva.
Eren : Quoi quoi ?!
Livaï : On a cours et il est 7h45 ! Ils sont où les sacs ?!
Eren : Reiner les as mis au fond de la salle 104, on les prendra là-bas.
Il jura avant de se lever et de s'habiller. Il m'embrassa rapidement avant d'aller dans la salle de bain de laver les dents. Je courais le rejoindre dans la salle de bain.
Il me surprit à en sortir et à m'enlacer.
Eren : Ze t'aime...
Je posais ma main dans ses cheveux...
Livaï : Moi aussi Eren.
... et les lui tirais.
Eren : Aïeuhh !
Livaï : On va être en retard. Descends, je te rejoins.
*ellipse, arrivée au lycée*
On a finalement couru pour être à l'heure. Essoufflés, on croisais Reiner devant la salle. Le prof n'était pas encore arrivé. Il s'écarta de ses amis pour nous rejoindre.
Reiner : Ca va mieux ?
Eren : Oui, merci.
Reiner : Livaï ?
Livaï : ...
Eren : Oui, il va mieux. Tu m'as sauvé la vie hier.
J'avoue ne pas me rappeler distinctement ce qu'il s'est passé hier. A part le soir, mais ça, c'est autre chose.
Reiner : Tiens, voilà le prof.
On rentra calmement en cours et on s'installa pour une longue journée chiante.
*ellipse de la journée*
On rentre tranquillement chez Eren, une fois que j'ai prévenu ma mère.
Eren : Je suis défoncéééééé...
Livaï : Tu veux que je te fasse à manger ?
Eren : Après toutes les frites qu'on s'est bouffé à midi, je pense que je vais exploser...
Livaï : On fait quoi alors ?
Eren : On va papoter.
Et merde. Je savais que ça allait arriver.
On s'est assis sur le canapé, face à face.
Eren : Livaï, je veux que tu me dises ce qui ne va pas.
Je m'empressais de répondre.
Livaï : Ca va mieux maintenant.
Il arqua un sourcil.
Eren : Livaï. Ne me ment pas. Tu sais que je déteste ça.
Livaï : Ca... j'ai ouvert les yeux. Je t'aime... et... j'ai pas envie de te faire de mal... alors-
Eren : Tu-
Livaï : Laisse moi finir. Je disais que Je ne voulais pas te quitter. Alors je vais... faire ce que tu m'as dit. Je vais, et putain ça me fais chier de le dire, te laisser "m'encadrer".
Eren : C'est-à-dire ?
Livaï : Tu t'occupes de moi. Tu m'empêches de sauter par la fenêtre et-
Eren : ME DIS PAS QUE TU Y SONGEAIS ?!
Livaï : Calmes-toi, c'est un exemple.
Eren : Mhh... continues.
Livaï : Il faut que tu m'aides à manger. Si tu me laisse tout seul, j'arrêterais de manger.
Eren : Par petites doses je t'ai dit. Je vais pas te faire bouffer un plat entier, je suis pas cruel.
Livaï : Je ne veux qu'une seule chose.
Eren : Oui ?
Livaï : Tu n'en parles pas à ma mère.
Eren : Livaï... je suis obligé...
Livaï : Tu n'es pas tenu de le faire. Et... je ne veux pas qu'elle soit au courant. Elle a déjà trop de problèmes avec le boulot, les réunions intempestives et le reste. Elle se ferait du soucis et on devra aller chez le médecin, faire des examens, prendre des-
Eren : C'est bon, je ne lui dirais rien.
Livaï : Merci...
Eren se coucha sur le canapé, j'en déduisis que la discussion était finie. Il mit ses bras en l'air en me regardant. Je me couchais à plat ventre sur lui, ma tête dans son cou.
Il posa une main dans mon dos et l'autre se glissa dans mes cheveux.
Eren : Je veux que tu ailles bien, et que je puisses te laisser seul cinq minutes sans que j'ai peur de te retrouver par terre. D'accord ?
Je hochais lentement la tête. Je fermais les yeux, bercé par les battements de son cœur et ses caresses dans mon dos.
Livaï : Je t'aime Eren...
Eren : Tu peux pas savoir à quel point tu comptes pour moi Livaï...
Je souris doucement et le laissais s'endormir.
...........................................................................................
Voici le chapitre 41.
J'espère qu'il vous a plu.
Bref, salut les mioches.
Livaï
VOUS LISEZ
Une Nouvelle Année - EreRiren
FanfictionUne nouvelle année pour deux lycéens. Une nouvelle rencontre. Une relation. Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez. Corrigé.