Chapitre 22

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PDV Eren

Je me réveillais lentement. J'ouvrais totalement les yeux et vis Livaï m'observer. Il tenait toujours ma main et me caressait les cheveux.

Livaï : Salut mon ange.

Il m'embrassa délicatement sur le front. Je me rassis et le dévorais du regard. J'ouvrais les bras et l'enlaçais. Je posais mes lèvres sur les siennes quand la porte s'ouvrit.

C'est une blague ? On peut pas être tranquille sérieux ? Je vis la tête d'Isabel dépasser. Livaï se décolla de moi, par gêne. Le pauvre, il ne doit rien comprendre. Je lui expliquerais la situation.

Eren : Elle est policière, c'est elle qui m'a conduit jusqu'à toi. Elle s'appel-

Livaï : Isabel.

Eren : Alors vous vous connaissez ?!

Livaï : Bien sûr c'est ma tante.

Eren : Ah, c'est pour ça que vous aviez tiqué quand j'avais parlé de Livaï ! Pourquoi vous ne me l'avez pas dit ?

Isabel : Je ne savais pas si Livaï voulait que tu le saches.

Livaï : Merci de me l'avoir amené. Mais qu'est-ce qu'il a eu besoin de la police ?

Isabel : Après la dispute avec son père, il s'est fait viré de chez lui donc il a trainé dans les rues. Sa mère nous a appelé pour qu'on le retrouve car « son fils adoré avait fugué sans raisons ». Avec Farlan, on l'a retrouvé et on l'a amené au commissariat. Sa mère est venue le voir mais au final elle ne veut pas « ramener un pd à la maison ». Du coup j'ai demandé l'autorisation au chef pour l'amener ici car il voulait voir son « petit-ami ». Vous êtes trop mignons.

Livaï rougit légèrement à cette appellation.

Livaï : Ah, je vois. Merci alors. Tu peux nous laisser maintenant ?

Isabel : Vous étiez trop chou quand vous dormiez les deux.

Livaï : Ça va, allez casse-toi.

Isabel sortit de la chambre.

Eren : Je suis désolé ! Mon père refusait de me dire dans quelle chambre il t'avait mis ! Il m'avait interdit de te voir !

Livaï : Je sais gamin, je sais.

Il mis sa main dans ma nuque et posais nos fronts l'un contre l'autre. J'entendais son souffle, ça m'apaisais. En mourant d'envie, je scellais nos lèvres. Je lui mordillais la lèvre inférieure pour me faire un accès. Nos langues se rejoignirent pendant de longues secondes. A bout de souffle, nous nous séparâmes. Je plantais mon regard dans le sien. Je sentais que notre relation devenait solide.

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Voici le chapitre 22. 

J'espère qu'il vous a plu.

Bref, salut les mioches.

Livaï 

Une Nouvelle Année - EreRirenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant