PDV Eren
Je sors aujourd'hui ! Rien à faire, j'aime pas l'hôpital. Je sais pas comment Livaï fait pour supporter ça. Bref, un médecin est venu vérifier que la blessure ne s'était pas rouverte. C'était... très... gênant ? Couché, le cul à l'air devant un mec que tu connais pas, j'ai connu mieux. Il m'a prescrit la masse d'anti-douleurs et de médicaments en tout genre. Livaï m'aida à me remettre dans mon fauteuil.
Eren : Attends.
Livaï : Qu'est-ce qu'il y a ?
Eren : Je veux essayer de marcher.
Livaï : Tu vas te faire mal.
Eren : Je veux pas rester dans ce truc, ça me donne des fourmis dans les jambes.
Livaï : Je suis là si tu veux te tenir à moi.
Je pris appuis sur les accoudoirs et posais les pieds par terre. Je me redressais et fis quelques pas.
Eren : En fait ça va, je pensais que j'aurais oublié comment marcher.
Livaï : Mais t'es resté couché même pas 2 jours !
Eren : Même, je pensais que j'aurais perdu l'usage de mes jambes ou un truc comme ça.
Livaï : Gamin va.
J'ouvris la porte de la chambre.
Eren : T'as fait le sac ?
Livaï : Ouais.
Eren : On y va !
Je descendis par l'ascenseur, tout content de pouvoir me barrer de cet hôpital. J'allais à l'accueil et y trouvait Kuchel.
Kuchel : Bonjour Eren ! Comment vas-tu ?
Eren : Très bien et vous ?
Kuchel : Super ! ... Où est mon imbécile de fils ?
Livaï : Derrière toi.
Kuchel : AAAAAAAH ! T'es tellement petit que je t'avais pas vu !
Livaï : Ca t'apprendra à me traiter d'imbécile. Et je te signale que t'es pas beaucoup plus grande que moi.
Kuchel : Ne nous éternisons pas ici. Rentrons chez toi Eren !
*ellipse du trajet*
Nous descendîmes de la voiture. Je déverrouillais la porte grâce à la clé que m'avais laissé ma mère. Je fis entrer Livaï et Kuchel.
Kuchel : Whaaa ! C'est super grand !
Je pris leurs manteaux et les déposais dans le placard. Je posais le sac contenant tous les médicaments sur la table de la cuisine.
Eren : Vous voulez boire un truc ?
Kuchel/Livaï : Un thé noir s'te plaît.
Je pouffais face à leur réponse simultanée et le leur préparais. Je tirais 3 chaises.
Eren : Asseyez-vous hein, restez pas plantés.
Kuchel : Merci.
Livaï ne parlait pas, il se contentait de me fixer. Je le laissais faire et lui servi sont thé.
Eren : Tiens Livaï.
Il me prit le poignet et me fit asseoir sur lui. Il mit sa tête dans mon dos et enroula ses bras autour de mon torse.
Livaï : Tu vas t'en sortir ? Tout seul pendant 3 mois ?
Je devrais y arriver.
Eren : Je me débrouillerais.
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Une Nouvelle Année - EreRiren
Fiksi PenggemarUne nouvelle année pour deux lycéens. Une nouvelle rencontre. Une relation. Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez. Corrigé.