Chapitre 34

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PDV Eren

Je sors aujourd'hui ! Rien à faire, j'aime pas l'hôpital. Je sais pas comment Livaï fait pour supporter ça. Bref, un médecin est venu vérifier que la blessure ne s'était pas rouverte. C'était... très... gênant ? Couché, le cul à l'air devant un mec que tu connais pas, j'ai connu mieux. Il m'a prescrit la masse d'anti-douleurs et de médicaments en tout genre. Livaï m'aida à me remettre dans mon fauteuil.

Eren : Attends.

Livaï : Qu'est-ce qu'il y a ?

Eren : Je veux essayer de marcher.

Livaï : Tu vas te faire mal.

Eren : Je veux pas rester dans ce truc, ça me donne des fourmis dans les jambes.

Livaï : Je suis là si tu veux te tenir à moi.

Je pris appuis sur les accoudoirs et posais les pieds par terre. Je me redressais et fis quelques pas.

Eren : En fait ça va, je pensais que j'aurais oublié comment marcher.

Livaï : Mais t'es resté couché même pas 2 jours !

Eren : Même, je pensais que j'aurais perdu l'usage de mes jambes ou un truc comme ça.

Livaï : Gamin va.

J'ouvris la porte de la chambre.

Eren : T'as fait le sac ?

Livaï : Ouais.

Eren : On y va !

Je descendis par l'ascenseur, tout content de pouvoir me barrer de cet hôpital. J'allais à l'accueil et y trouvait Kuchel.

Kuchel : Bonjour Eren ! Comment vas-tu ?

Eren : Très bien et vous ?

Kuchel : Super ! ... Où est mon imbécile de fils ?

Livaï : Derrière toi.

Kuchel : AAAAAAAH ! T'es tellement petit que je t'avais pas vu !

Livaï : Ca t'apprendra à me traiter d'imbécile. Et je te signale que t'es pas beaucoup plus grande que moi.

Kuchel : Ne nous éternisons pas ici. Rentrons chez toi Eren !

*ellipse du trajet*

Nous descendîmes de la voiture. Je déverrouillais la porte grâce à la clé que m'avais laissé ma mère. Je fis entrer Livaï et Kuchel.

Kuchel : Whaaa ! C'est super grand !

Je pris leurs manteaux et les déposais dans le placard. Je posais le sac contenant tous les médicaments sur la table de la cuisine.

Eren : Vous voulez boire un truc ?

Kuchel/Livaï : Un thé noir s'te plaît.

Je pouffais face à leur réponse simultanée et le leur préparais. Je tirais 3 chaises.

Eren : Asseyez-vous hein, restez pas plantés.

Kuchel : Merci.

Livaï ne parlait pas, il se contentait de me fixer. Je le laissais faire et lui servi sont thé.

Eren : Tiens Livaï.

Il me prit le poignet et me fit asseoir sur lui. Il mit sa tête dans mon dos et enroula ses bras autour de mon torse.

Livaï : Tu vas t'en sortir ? Tout seul pendant 3 mois ?

Je devrais y arriver.

Eren : Je me débrouillerais.

Une Nouvelle Année - EreRirenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant