Chapitre 62

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— Un jour il...
... Non je suis désolée ce n'est pas à moi de te raconter ça. s'excusa-t-elle.

Je détestais pousser les gens à bout mais je voulais absolument savoir surtout qu'elle m'avait presque tout dit !

Je comprends que tu te sens peut-être coupable de me raconter les problèmes d'Isaac mais je veux juste le connaître un peu plus. Toi tu le connais depuis que vous êtes à la maternelle...

— Haha non pas la maternelle quand même pas !

— Ah bon ? J'étais sûre que vous étiez amis depuis tout petit.

— Oui depuis le CP.

— Comment ça se fait ?

— Il...

— Aller Victoria s'il te plaît ! Tu peux me faire confiance quand même !

— Tu veux pas qu'on sorte ? Je me sens étouffée ici.

— Ok on rentre si tu veux.

— Oui, dans la voiture je te raconterai tout.

On prit l'ascenseur pour descendre au parking. es
Ils n'étaient plus là. C'était une bonne nouvelle.
On rejoignit enfin la voiture mais avant d'y entrer Victoria ne trouva pas ses clés.

— Regarde bien dans ton sac. Elles n'ont pas pu disparaître comme ça ! dis-je.

J'ai bien regardé ! Et en plus je n'ai pas besoin de les sortir à chaque fois, ça se détecte automatiquement.

— Ce n'est pas possible...

— Je vais remonter voir si je les ai peut-être oublié dans un magasin...

— D'accord. répondis-je.

Quelques minutes plus tard, elle n'était toujours pas revenue. Je commençais à m'inquiéter, alors je décidais de lui envoyer envoya un message pour lui demander qu'est-ce qu'elle faisait pour prendre autant de temps. Elle ne me répondit pas.
Je me précipitais vers les ascenseurs.

— Pas si vite jeune fille ! cria une voix plus que familière.

Où étais-tu passée bon sang de bonsoir !

— Je suis partie avec Victoria faire du shopping.

— Du shopping tu te moques de moi j'espère ?

— Bah quoi ?

— Bah quoi ?! me refit-elle.
Tu es en pleine année de bac et toi tu te permets de sortir pendant les cours !

— Je voulais juste prendre l'air. J'en avais marre.

— Marre de quoi au juste ? me demanda-t-elle.

Rien.

— Dans ce cas, on peut rentrer.

— Mais Victoria a perdu ses clés je ne peux pas la laisser seule.

— On va l'attendre alors...

Si t'étais là...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant