Larmes d'un blond vol.1

Chapitre 32

Hanran était désormais un groupe comptant 6 membres dont trois démons. Le groupe traversait le pays du feu et Naruto était sur le qui-vive. En effet il redoutait de tomber sur une patrouille de Konoha. Car malgré tout Konoha restait sa patrie. Il avait beau détester ce village, il y était né, il y a grandit. Konoha restait sa terre natale. Mais ce qu'il redoutait le plus c'était de tomber sur son ancien sensei ou sur son maître. Et bien évidemment sur Hiruzen qui était pour lui une figure paternelle, ou tout simplement sur ses anciens amis. Mais cette crainte était partagée par les autres membres du groupe à l'exemptions de Fu. Tous redoutait une rencontre avec un proche car tous avaient quelqu'un qui comptait pour eux. Hinata avait son cousin, sa sœur et évidemment son père. Sakura,elle, elle avait ses parents. Gaara avait sa sœur et son frère. Et Sasuke lui redoutait de tomber sur Kakashi.

Alors que le groupe traversait une forêt; Naruto qui dirigeait la manœuvre accompagné de Sasuke s'arrête net. Sasuke ne comprit pas il observa Naruto qui semblait très troublé.
Sasuke : Que ce passe-t-il ?
Naruto : Je ne sais pas. J'ai un mauvais pressentiment. J'ai l'impression que quelques chose nous observe.
Sasuke : Je ne perçois rien. Quelqu'un sens quelque chose ?
Gaara : Je ne perçoit rien non plus.
Hinata : Je ne vois rien avec mon byakugan.
Sasuke : Naruto tu es sur de ce que tu perçois ?
Naruto : Sincèrement je ne sais pas. J'ai comme des sensations. Je ne sais pas comment le décrire. Mais je... j'ai un mauvais pressentiment.
Fu: Naruto tu veux que je prenne de l'altitude pour observer les alentour ?
Naruto : S'il-te-plaît.
Fu fit sortir deux queues de son démon. Grâce à celle-ci Fu put s'envoler. Elle observa le ciel. Puis elle fut rejoint par Gaara qui décolla du sol grâce à son son sable. Après une vérification minutieuse des alentour ils ne vîmes rien. Après un retour au sol le duo fit un rapport à Naruto.
Le groupe attendit quelques instants puis ils reprirent la route.

Quelques heures plus tard Sasuke observait son ami et il le trouvait drôlement agité.
Sasuke : Naruto que t'arrives-t-il ? Tu es toujours très confiant mais la tu sembles très stressé.
Naruto : Je suis inquiet. Si nous ne parvenons pas à libérer le Mizukage nous ne pourrons pas continuer.
Sasuke : Pourquoi ?
Naruto : Et bien en gros...
Naruto expliqua son plan dans les moindres détails. Il lui expliqua pourquoi le sauvetage du Mizukage était si important. Sasuke fut choqué en comprenant à quelle point le sauvetage était important.
Sasuke : Je comprends mieux... Cette mission est d'une importance capitale. Nous devons absolument réussir. Nous n'avons pas le droit à l'erreur.
Naruto : Tu comprends désormais. Nous allons affronter les Epéistes de la brume. Les sept meilleurs épéistes de Kiri. Leur puissance est donc colossale.
Sasuke : Nous aurions dû récupérer plus de jinchuriki.
Naruto : Non je n'ai pas le temps et Kurama non plus.
Sasuke : Je sais mais peut-être que mon chakra aurait suffit.
Naruto : Non. Et de toute façon exécuter cette technique va me mettre moi et les autres jinchuriki hors de combat pendant plusieurs jours. Et malgré ta force et celle de Sakura et Hinata vous ne pourrez pas nous protéger.
Sasuke : J'espère que notre puissance actuelle suffira.
Naruto : Ne t'en fais pas je ne suis pas encore à fond. Je n'ai pas encore tout montré. Il me reste des cartes dans ma manche.
Sasuke : Et bien nous sommes deux mon ami.

Le groupe s'arrêtera pour la nuit. Sasuke et Hinata partirent trouver de quoi manger. Ils revinrent avec du poisson. Après un bon repas le groupe s'endormît. À tour de rôle, ils montaient tous la garde. Deux mois était désormais passé depuis l'attaque de Konoha. Deux mois depuis la désertions de Sakura et Hinata. Deux petits mois étaient passés, deux mois que Naruto avait finalement lancé sa rébellion. Certes, pour l'instant elle ne se résumait qu'à réunir trois jinchuriki mais Naruto savait que cette prochaine mission allait devenir la pièce permettant de lancer une rébellion qui serai vue par tous.