Chapitre 29 : Déménagement

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Les bruit urbains tapaient contre les oreilles de notre jolie fille, l'ambiance de ville était très différente de la sérénité qu'offrait sa petite campagne d'Osaka. Le mouvement rongeait chaque recoins, le ciel était obstrué sous les gazs des véhicules, la nature avait été effacé par de longues lignes de bétons. C'était un nouveau monde qui s'étendait devant ses pieds. Mais le paysage restait caché pour son merveilleux regard bleuté, car ses prunelles étaient fermement coupées de la réalité par les barrières que représentait ses paupières. Son monde était privé de vue, il se contentait d'être incolore, un espace sensible titillant ses quatre autre sens.

Ma fleur, on va t'aider à décharger le camion. La voix, voilée de tranquillité, de son père perça sa bulle contemplative. Himawari fit quelque pas vers le large véhicule, elle passa un doigt sur le bord du camion, la froideur de la carrosserie chatouilla le bout de sa peau avec amour.

C'est à quel étage, encore ? Demanda Arashi, son ton était un peu plus dérangé que celui de son amant. Embrassé par une pointe de nervosité.

Le deuxième. Répondit notre jolie fille, elle lança un petit sourire vers son père, espérant tarir sa soudaine angoisse avec l'expression de sa joie. Elle était contente de quitter le nid familial, après tout ce temps passé, toutes les attentes endurées, elle était prête à goûter la vie urbaine.

Iels prirent les premiers cartons, après de longues réflexions iels n'avaient pas engagé de déménageurs, leurs force était suffisante pour monter chaque caisse. Les bras chargés d'un lourd carton, notre héroïne montait chaque marche avec une grande précaution. Elle laissait la légère froideur de l'immeuble, l'humidité ambiante, les sons de ses pas sur le sol, la flagrance boisée de l'endroit caresser sa sensibilité sensoriel. Elle se delectait de chaque chose qui pouvait satisfaire sa curiosité, se reposant sur ses sensations pour se former une image concrète de l'espace. Le déchargement de cartons dura de bonnes heures, il n'y avait pas eut d'incident majeur ou de fâcheux imprévus, tout s'était passé dans le confort et la sécurité que dégageait ses paternels.

Bon, tous les cartons sont là. Marmonna Sora, un léger soupir se faufila entre la chair de ses lèvres, un déménagement était tout simplement éreintant.

Ouaip, vous pouvez y aller, je sais que vous avec pas mal de boulot. Fit remarquer Himawari, elle posa ses mains sur ses hanches et lança un sourire garnit d'amabilité à ses paternels.

Tu es sûre ? On peut rester t'aider à ranger les cartons, à t'installer. Insista Arashi, son côté protecteur brillait dans le fond de son regard forêt.

Notre héroïne pousse un petit soupir, d'un air joueur elle rétorqua :

Vous voyez ça ? De la pointe de son doigt elle effleura ses biceps, elle n'était pas dotée de muscles fringants mais son corps était plutôt bien bâtit. C'est la preuve que je suis forte, donc pas d'inquiétude !

Les deux pères levèrent des sourcils sceptiques, c'était plutôt amusant de voir leurs fille être si confiante, une vue qu'ils ne pouvaient contempler que lovés dans un espace clos et intime.

Ok Hercule, on te laisse te débrouiller. Répondit Sora, un ton taquin voilait sa voix de notes chantante.

Ne provoque pas de catastrophe. Renchérit Arashi, il passa une main dans ses mèches parfaites et calma son agaçante angoisse.

Roger. Répondit la jeune Negaï, elle fit, avec des gestes jouasse et teintées de badinité, un salut militaire.

Iels partagèrent un instant hilare, les deux parents finirent par quitter la compagnie de leurs fille. À la seconde où leurs silhouettes se confondirent avec les escaliers de l'immeuble notre jolie fille cria, d'un air saupoudré d'un brin de malice :

Il était une fois..( Various Au Izuku X Various Au Oc )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant