Chapitre 17

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La jeune femme garait la voiture sous le hall. Xander sortait de l'habitacle avant de faire le tour de la caisse pour ouvrir la porte à Ambérine.

-Je ne peux pas sortir, disait elle en maintenant le volant fermement. Tremblant de tout son être. Elle tournait les yeux pour observer son mari qui comprenait que la descente d'adrénaline dans le corps de sa femme était puissante. Calmement, il glissait un bras sous les cuisses et l'autre dans le dos de son épouse, il la tirait vers lui et la soulevait pour la plaquer contre lui. Désolé, soufflait elle sous le rictus de Xander.

-Désolé pourquoi? questionnait il en ouvrant la maison qui était dans le noir. De son coude, il soulevait l'interrupteur qui illuminait la pièce. Il entrait dans la cuisine et déposait sa femme sur l'îlot. Elle observait les gestes de son homme, il prenait un verre qu'il remplissait d'eau, il ajoutait deux sucres qu'il remuait avant de lui donner à boire. Sa va t'aider à remonter ton sucre! expliquait il en retirant sa veste qu'il posait à coté d'Ambérine. Cette dernière tournait son visage dès que son mari l'observait. Pourquoi es-tu désolée Ambérine. questionnait il de nouveau.

-Pour ce que je t'ai dis dans le parking. Je sais que si nous sommes ensemble en ce moment ici dans ta cuisine, c'est de la faute de mon père adoptif, que toi tu n'y es pour rien, énonçait elle en croisant ses mains devant elle, enfin si, tu y es pour quelque chose aussi, tu avais cas refusé après tout! Si tu avais dit non, je n'aurais jamais dû entrer dans ton monde cette nuit, jamais je n'aurais dû voir ta façon de régler les comptes aux hommes qui te veulent du mal. Je m'habituerais jamais à ton milieu Xander, je ne suis pas faite pour voir tout ce sang, de savoir que derrière ces murs, de la drogue circule par ton ordre, que des femmes se prostituent pour ton organisation. soufflait elle en baissant son regard.

-Jamais tu ne feras partie de mon monde Ambérine, tu n'es ma femme que sur le papier jusqu'à temps que ton ignoble tuteur me verse l'argent qu'il me doit. Annonçait il en soulevant de son doigt le visage de sa partenaire. Je conçois que j'aurai pu refuser son arrangement mais cela n'était pas avantageux pour moi. ajoutait il en ancrant son regard à celui de son épouse qui devenait larmoyant. Ambérine sentait une tristesse l'envahir. je n'ai rien à t'offrir de sérieux. Je ne suis pas un homme qui s'attache facilement, tu es ma plus longue relation, ironisait il. La seule chose que je peux t'offrir c'est du sexe Ambérine et de t'être fidèle mais ne me demande pas de t'aimer car cela, je ne pourrais jamais te l'offrir. avouait il d'une voix suave.

-C'est bien ce que je dis! clamait elle, tu parles trop Xander! crachait elle en déposant ses lèvres sur celui qui allait devenir son amant.

Xander saisissait la taille de sa femme sans jamais décoller ses lèvres des siennes pour la conduire à l'étage dans la chambre de l'homme. Il déposait sa femme devant lui, sensuellement, il glissait ses doigts dans la chevelure de sa douce pour en extraire l'épingle qui retenait sa crinière, de ses doigts, il faisait danser les cheveux pour qu'ils glissent le long du dos d'Ambérine, elle ne bougeait pas, se laisser aller au moment présent. Xander contournait la jeune femme pour se placer derrière elle. Tout en remontant de ses mains le long de ses bras il sentait l'épiderme de sa partenaire s'enflammer d'une chair de poule. D'un geste furtif, il avait saisit les bretelles de la robe qu'il faisait glisser le long de son corps avant qu'elle ne s'écrase en corolle au sol. Xander déglutissait dangereusement quand il découvrait que sa femme portait une guêpière en dentelle rouge, il frôlait le dos de sa femme, passant sur chaque striures qui ornaient son dos, il la sentait se raidir, alors il la retournait pour qu'elle l'observe.

-Tu es si belle, murmurait il sous le souffle court de la jeune fille, si sensuelle, continuait il en détachant ses bas pour lui retirer. Ton corps, je vais le parcourir de milles et une façon, je vais te savourer, te découvrir, te goûter, susurrait l'homme d'une voix rauque. Il conduisait la jeune femme sur son lit, elle s'allongeait sous le regard de l'homme qui retirait sa chemise tout en virant ses chaussures de villes. Il plaçait un genoux sur le bord de son matelas tout en attrapant les chevilles de sa femme. Il déposait des baisers tout en remontant le long de son mollet jusqu'à son entre-jambe, il retirait le tanga de sa douce qui soulevait ses hanches pour l'aider à extraire le tissu qui cachait son intimité à son amant. Xander plongeait un doigt qui faisait arc bouter sa douce en gémissant, elle était réceptive à lui. Il léchait ses seins sans jamais ne cesser ses va et vient en elle. Il se mettait à jouer avec son clitoris rendant sa partenaire gémissante, elle serrait avec intensité la couverture en criant le nom de son mari quand la jouissance l'emportait loin. Xander retirait le reste de vêtement qui l'empêchait de savourer pleinement sa compagne, il glissait entre ses cuisses et d'un coup de rein, il était en elle. Elle grognait légèrement.

-Je retire le petite bite, gloussait elle sous le baiser que Xander lui offrait. L'homme reprenait ses coups de bassins sans jamais détacher ses orbes du visage d'Ambérine. Elle aimait ce qu'elle vivait dans les bras de son mari, les sensations qu'il lui offrait la rendait folle. Ses cris devenaient plus profonds, Xander ne pouvait plus se contenir, il lui offrait des coups de butoir puissants, entrant plus en profondeur en elle. Elle devenait poupée de chiffon, jamais elle n'avait connu le sentiment qui s'emparait d'elle, ce sentiment de ne faire qu'un avec une personne. Elle entourait le cou de son mari quand elle évacuait la jouissance de son corps, Xander grognait contre son oreille quand à son tour, il offrait à sa belle, sa jouissance qu'il laissait couler en elle. Elle restait ainsi quelques instants avant de lâcher son homme qui s'allongeait à ses cotés en l'attirant contre lui. Il déposait un baiser langoureux sur ses lèvres avant de l'allonger contre lui.

-Je vais retourner dans ma chambre Xander. murmurait elle après avoir reprit ses esprits.

-Je ne crois pas non! lançait il amèrement. Tu vas emménager avec moi ici dans ma chambre, c'est la tienne maintenant, nous nous complétons sexuellement, alors je te veux vers moi même. Grognait l'homme en prenant son épouse dans ses bras. je garantie l'état de ta tuyauterie, elle est parfaite! ironisait il en ricanant. Il prenait une claque sur le torse avant qu'Ambérine se mette à rigoler à son tour en posant son visage contre le torse de l'homme qui envahira ses pensées...

Dans les bras d'un mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant