TRENTE SIX.

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*ೃ༄
you said that the world was so scary.

*ೃ༄you said that the world was so scary

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freya bushwick.

Quelques rayons filtrent à travers la fenêtre, caressant ma peau et illuminant celle de mon amant. Sirius laisse échapper un léger grognement, puis fait glisser ses doigts sur ma cuisse découverte. Mon regard ne quitte ses traits. Les admirant. Jamais je ne me lasserais de ce spectacle.

Il émane de lui une chaleur délicieuse, en contraste frappant avec l'air glacial qui règne dehors.

Sa main cesse son chemin au creux de mes hanches, jouant avec l'élastique de mon sous-vêtement.

Ses lèvres s'étirent en un sourire espiègle alors qu'il ouvre finalement les yeux. Je hausse un sourcil, le sentant m'attirer contre lui.

Bientôt, mon corps se voit attiré par le sien, et je me retrouve au-dessus de lui, ses hanches collées aux miennes. Ses lèvres trouve ma peau, y déposant de nombreux baisers fiévreux. Je laisse échapper un soupir, son prénom quitte mes lèvres sans cesse, l'encourageant dans son dangereux chemin vers ma poitrine.

Il s'arrête cependant brutalement, son regard rencontre le mien, ses yeux sont brûlants, en accord avec la température ambiante.

Ses lèvres s'entrouvrent, mais un seul grincement désagréable s'en échappe. Un grincement inquiétant. Je fronce les sourcils. Une porte.

Mes yeux s'ouvrent, et mon cœur se serre. Seul le vide partage avec moi le lit dans lequel je me trouve.

L'air est humide, tout comme mes joues.

Ce n'était qu'un rêve.

Le grincement recommence, plus léger cette fois-ci...Le parquet. Une respiration lourde et saccadée retentit dans la cabane. Il est évident que cette personne tente de ne pas me réveiller. Pourtant, tous mes sens sont bel et bien en alerte.

Mes doigts se resserrent sur le bout de bois magique entre mes mains. Je récite intérieurement tous les sorts offensifs que je connais.

Je repousse de toute mes forces l'angoisse prenant contrôle de mes entrailles. Cela pourrait me coûter la vie.

L'hésitation...c'est la mort.

Je n'aie pas peur. Je n'aie pas peur.

Alors que le silence prend à nouveau place, une main se pose sur mon épaule.

Je ne réfléchis pas, attrape le membre, me retournant brutalement, nous tombons tous les deux à terre. Je place ma baguette contre son cou, appuyant de tout mon poids sur son corps, le plaquant à terre.

APOCALYPSE ━ S. BLACK.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant