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you'll know i wasn't joking when you'll see them too.𝓕𝓻𝓮𝔂𝓪 𝓑𝓾𝓼𝓱𝔀𝓲𝓬𝓴.
Une longue râle d'agacement s'échappe de ma gorge alors que je raye pour la énième fois le papier de ma plume, le froissant et jettant dans la corbeille non loin du bureau du professeur. McGonagall devrait arriver dans quelques minutes. Pourtant je m'obstine à essayer d'écrire la réponse que je repousse depuis si longtemps à ma mère. Je sais très bien, au plus profond de moi, que je ne réussirais jamais à lui répondre. Que malgré tout mes efforts, je n'arriverais pas à lui faire face. À leur faire face.
Je n'arriverais pas à la regarder dans les yeux, pas alors que je sais ce qu'il va se passer. Pas après la prophétie...
Les sorciers autour de moi ne cesse de crier, ils sont sûrement en train de s'amuser avec les félins qui nous aident en métamorphose. Je les aurais sûrement rejoins un autre jour, me serait sûrement mise à miauler pour essayer de communiquer avec un des chats. J'aurais sûrement passer un long moment à rire, et aurait fini avec de sacré griffures aux bras.
Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui ma seule envie de pleurer me poursuit, pas le chat que je vais devoir transformer en chaudron. Je voudrais m'enfuir de cette classe, fuir Poudlard, fuir le futur, ma famille, tout.
Un petit sanglot étouffé s'échappe alors que je la revois, allongée sur ce lit. Habillée de ce pyjama que je lui avais offert pour son anniversaire, toussant de temps à autres, aussi faible que quelqu'un pourrait l'être. Sur son lit de mort.
J'essuie la goutte qui allait couler d'un revers de mai, tentant de ne pas fondre en larmes au milieu d'une classe pleine à craquer. De plus, je suis seule, Lily n'est pas encore là,-je la soupçonne d'être avec James, probablement à se disputer, ou plutôt à flirter...-, Marlene non plus.
Aucune tête familière ne m'apparaît, personne pour m'aider, me réconforter.
Ma gorge se noue douloureusement, et je me déteste d'être si faible. Je pince les lèvres, me contenant du mieux que je le peux. Une personne s'assoit à mon côté, et pendant quelques instants je ne la remarque même pas, trop concentrée sur les sentiments qui me submergent.
La prophétie me revient en flash, me hurlant que ça aurait du être moi. Pas elle.
Une main se pose sur mon épaule, me faisant sursauter violemment, ce qui ne manque pas de faire sursauter à son tour Remus qui pose une main sur sa poitrine, l'air surpris. Je n'entends pas ce qu'il me dit après, mon cœur bat à la chamade, ma vision se brouille. Ma respiration s'accélère douloureusement, je ne parviens à faire aucun mouvement, tremblante.
Le brun devant moi fronce les sourcils, posant sa main sur la mienne. Je fixe celle-ci, au bord de l'hystérie. Son pouce vient tracer de doux et lents cercles sur les veines bleutés qui parsèment ma peau, suivant parfois leurs chemins.
J'aurais pu me calmer, si nous étions rester ainsi, mais il n'en a pas fallu beaucoup pour me faire exploser...
Un rire sonore a éclaté, Sirius est alors entré dans la classe, se dirigeant droit sur nous. Aucun de nous deux n'a vraiment fait attention à lui avant qu'il ne se racle la gorge, j'ai alors relevé la tête, ma crise d'angoisse non loin. Il m'a adressé un de ses fameux sourires moqueur, qui m'aurait sûrement fait bouillir habituellement.
"T'a vu un fantôme ou quoi ?"
Et pendant un moment je vois bel et bien un fantôme. Je la vois. Il a raison. J'ai vu un fantôme. Je secoue la tête, me mettant à sangloter, tout mon corps de met violemment à trembler. Je sens mon corps me porter, mes pieds me menant hors de la classe. Ils se mettent à dévaler les marches, courant. Fuyant. À nouveau.
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(un bonus sera poster afin d'expliquer plus précisément ce qui se passe dans la famille de Freya)
Ça faisait très longtemps que je n'avais pas écris ce genre de chapitre, du coup je suis pas sûre qu'il soit très réussit,, néanmoins j'espère que ça vous plaît.
Des théories sur la famille de Freya ? Qui serait la fille ?
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APOCALYPSE ━ S. BLACK.
FanfictionDire que Freya Bushwick et Sirius Black se détestaient était un euphémisme. Les deux gryffondors se haïssaient. Du plus profond de leur être, chacun à sa manière. Jusqu'à ce qu'ils se voient assignés un devoir sur l'Amortensia en binôme. La haine n'...