⋆.ೃ࿔*:・
the wisp sings — winter aid.
𝓕𝓻𝓮𝔂𝓪 𝓑𝓾𝓼𝓱𝔀𝓲𝓬𝓴.
(souvenirs + présent.)
Je n'ai aucuns souvenirs d'une famille heureuse. Je ne me rappelle pas d'un foyer rayonnant, d'un repas chaleureux autour d'une grande table, mes parents riants, ma petite sœur se tortillant sur sa chaise afin de sortir de table. J'avais eus des parents, tout deux très aimants, je les aimais, il fut un temps.
Ma mère, Rue, était née moldue, elle avait été une brillante Serdaigle. Elle avait rencontré mon père, Jasper, durant leur dernière année. Il était un fier Gryffondor, de sang pur. Je sais qu'il se sont mariés après leur sortie de l'école de magie, me concevant quelques années plus tard.
Il y avait eut ensuite ma sœur, Mary. J'avais cinq ans à sa naissance, et je peux facilement dire que ça avait été le plus beau jour de ma vie. Je me rappelle avoir passés de bons moments avec elle, réellement formidables. Mais un seul me revient précisément en mémoire.
J'avais onze ans. La veille de mon départ à Poudlard, Mary et moi avions décidé de nous créer une cabane de couvertures afin de passer ensemble ma dernière soirée à la maison.
Nos parents avaient proposé de la construire à l'aide de quelques coups de baguettes, mais nous avions catégoriquement refusé d'utiliser quelque sorte de magie. Voulant nous débrouiller seules. Notre petit château avait pris forme rapidement, et tenait, du moins comme il le pouvait.
Mary avait installé un bon nombre de coussins et peluches à l'intérieur, nous créant un cocon doux et confortable. Nous avions préparé plus tôt dans la journée toutes sortes de petits gâteaux, dont mes favoris ; des cookies, en guise de repas.
On a passer la nuit là, à grignoter, s'amuser. (et dormir bien sûr.)
Le lendemain matin, lors que nous allions quitter la cabane pour se préparer à aller à la gare, elle m'avait attrapé le bras. Lorsque je m'étais tournée vers elle, je l'avais découverte les larmes aux yeux, sa peluche lapin dans un main l'autre serrant mon poignet. Elle avait alors ouvert la bouche, et m'avait sangloter de ne jamais la laisser tomber.
Je me souviens l'avoir pris dans mes bras et lui avoir promis de ne jamais l'abandonner. Je crois que je n'ai jamais vraiment réalisé l'empleur de mes propos. Qu'au final je croyais évident le fait de rester avec elle quoiqu'il arrive, c'était ma sœur après tout, elle était destinée à grandir à mes côtés. Désormais je comprends, mais c'est trop tard, j'ai faillis à ma promesse. Je l'ai abandonnée.
Je crois que c'est à ce moment là que tout a basculé. Je suis entrée à Poudlard, les années passaient, et tout allait pour le mieux ; j'étais à gryffondor comme mon père, était dans l'équipe de quidditch, avait de bons résultats et était une sorcière très douée.
Tout semblait parfait.
Je l'ai appris une après-midi d'août. Il faisait très beau ce jour là, une chaleur insupportable planait sur toute la Grande Bretagne.
Nous étions sortis tout les quatre, telle une famille Moldue à la découverte de Londres. Après avoir transplanés, Mary n'avait cessé de réclamer une boisson qu'elle avait vu sur un panneaux d'affichage, appelée ; Milkshake. Mes parents avaient alors accepté avec joie, ma mère clamant qu'elle adorait ça.
Nous nous étions installé dans le petit restaurant en vendant, tous heureux de pouvoir deguster quelque chose de frais en cette chaleur étouffante.
Le milkshake fut délicieux, comme l'avait prédit ma mère. Le futur ne le fut pas, comme l'avait prédit la prophétie.
Alors que Mary aspirait en riant sa boisson à la fraise, une goutte coula. Une goutte lourde, chaude et écarlate s'échappa de son nez, s'écrasant sur la table. Mes parents avaient alors arrêter de respirer.
À l'époque, je n'avais pas compris pourquoi. Saigner du nez pouvait être dû à de nombreuses choses : l'éclatement d'un vaisseau sanguin par exemple. Non pas la mort venant faucher ma petite sœur.
゚・*☆¸¸.•*¨*•
C'est le pire truc que j'ai jamais écris.
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APOCALYPSE ━ S. BLACK.
FanfictionDire que Freya Bushwick et Sirius Black se détestaient était un euphémisme. Les deux gryffondors se haïssaient. Du plus profond de leur être, chacun à sa manière. Jusqu'à ce qu'ils se voient assignés un devoir sur l'Amortensia en binôme. La haine n'...