De nombreuses fleurs sont disposés sur ce sol blanc. Des fleurs de toute les couleurs, de ce fais une merveilleuse odeurs flottent dans l'air et au milieu de ce beau décors de trouve une boîte de couleur noir, aussi remplis de fleurs mais possédant quelque chose de plus... Un corps.
Une belle jeune fille allonger de dos dans la boîte, les mains plié sur sa poitrine. Elle possède une merveilleuse robe blanche, fessant presque disparaître la pâleur de ce petit corps sans vie. Les (long/court) cheveux ( couleurs) sont bien détachées bien coiffés et s'engouffrent dans les fleurs qui sert de matelas à la femme. Même non maquiller, elle resplendissait.Pieds nus, elle s'avance vers la boîte et avec ses yeux peinés, elle regarde l'éternel endormie. Elle s'approche de la boite et se met à genoux pour la regarder de plus près. Elle hésite puis touche délicatement la joue blanche de la jeune fille. Sentant le corps sans vie sur ses doigts fins, son regarde peiné se transforme en regard mélancolique. Puis des mots pus enfin sortir de ses lèvres rosé. Le silence de la pièce accentue, les paroles triste de la vivant au corps endormie.
- Pourquoi ? ... Pourquoi, il fallut que cela de termine ainsi ?
Sa voix était triste mais elle ne pleurait plus, elle n'arrivait plus à pleurer. Après tout, elle avait tant pleuré, jadis, après ce qu'elle a vécu mais nous ne sommes pas ici pour ça n'est ce pas ?
Nous sommes ici pour (ton prénom) ! Et tu veux savoir où elle est ? Question simple, elle est dans un sommeil profond. Elle n'est plus et la femme qui se lamente sur le sort de la jeune femme, n'est rien d'autre que Alice... L'auteur.
La jeune fille au cheveux noir avec le surnom d'auteur, continue son monologue.- ton âme est coincée au menu tandis que ton corps est ici avec moi. Voici ce qu'il advient des primordiaux. Être primordiale, c'est super en sois mais quand on désobéit ou quand on meurt, les dieux vous jettent comme des vulgaires poupées de chiffon... Horlogia puis maintenant toi, ( Ton prénom)... Quand est-ce que tout ceci va s'arrêter ?
La petite fille souffle, puis lève sa tête poser sur le bois quand elle entends les fleurs fanées. Elle regarde l'homme habillée de noir et encapuchonné puis repose son crâne sur le bois noir pour regarder l'endormie.
L'homme regarde les deux femmes, l'une a la forme d'enfant, l'autre sans âme puis parla de sa voix roque.- tu te lamente encore ? Le dieu du temps m'a prévenu qu'un corps avait disparus tout comme le dieu de la mort. Pour j'en raison que j'ignore, je suis venu directement te voir... Alice
La petite fille ne bouge pas mais souffle, l'homme derrière elle était le cavalier de la mort... Mais qu'elle est la différence entre le dieu et le cavalier me dirait-on. Très simple le dieu de la mort fauche les âmes mais le rôle du cavalier est très spécial. Le cavalier intervient que dans des cas spécifiques comme une humaine qui a voyager dans un autre monde par exemple ...
Il est là pour le corps, il est la pour l'emmener, il est là pour supprimé ce qu'il reste d'elle, de (ton prénom).Cependant la petite fille est un obstacle de grande envergure car elle n'est pas humaine enfin elle ne l'est plus. Le cavalier attend dans le silence puis décide de le brisé mais il fut vite interrompu par la petite fille.
- Que souhaites-tu Death ? Tu sais bien que je vais t'empêcher de toucher à cette enfant endormie comme Horlogia...
Le cavalier regarde la petite fille qui tourne sa tête vers lui, il savait de quoi elle était capable alors il lui dit seulement :
- de toute façon, je n'ai rien vu ici qui mérite ma présence. Seul une enfant triste et seule.
La vivante écarquilles les yeux puis pleure de plus belle tout en remerciant l'homme. Celui-ci lui fait un sourire de compassion et s'en va. Demandant au démon que je suis de sortir de sa cachette.
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Le primordiale de l'empereur
Fanfiction(Reader x empireverse Nightmare) Quand Chronos, le dieu du temps dit à (ton nom) qu'elle est son primordiale, sa première réaction sera de se moquer mais voyant l'homme devant elle aussi sérieux qu'un professeur, elle s'arrêter de rire puis lui dema...