Chapitre 30

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Il est au environ de seize heures quand nous avons fini, il souffle et s'allonge sur le canapé. Je le regarde faire puis lui demande de se lever un peu, il ne comprend pas puis je lui tapote mes genoux sur laquelle se trouve un cousin. Il pose son crâne dessus, et je commence à lui masser le crâne. Voyant qu'il somnole, je lui dis qu'il est resté avec moi quand j'avais besoin de lui alors c'était à mon tour d'être là, jusqu'à ceux qu'il s'endorme. Il me regarde dans les yeux puis voyant que je ne m'abandonne pas, il souffle et commence à se laisser envouter par le sommeil. Il n'a même pas fallu une heure avant qu'il s'endorme !Je ris encore me moquant un peu de lui mais bon, c'est adorable je trouve...

Quand je me réveille, je suis entourée de quelque chose et c'est quand je papillonne des yeux que je comprends que je suis dans les bras de Nightmare et que la chose qui m'entoure sont ses bras mais aussi une cape violette.

- N-Nightmare ?

- Hm ? je t'ai réveillé ?

- N-non...qu'elle heure, il est ?

Il penche son crane vers mon cou et me dit qu'il est vingt heure et que nous avons encore du temps vu que le bal commence à vingt et une heure trente. Je passe mes bras dans son cou squelettique et lui dis que c'est un amour, ce qui fait qu'il me sert encore plus dans ses bras. Même si cela me surprend qu'il soit très câlin, j'en profite tout comme lui qui n'arrêter pas de poser ses dents sur ma peau. Cependant nous sommes interrompus par une personne qui toque à la porte, le squelette râle puis il me laisse me lever pour qu'on soit présentable. Malheureusement pour nous, Dream qui a toqué et entré nous fais remarquer la cape de Nightmare mais sa présence est surtout pour me prévenir de me préparer pour le bal, je m'empourpre et rend la cape à Night puis me dépêche de sortir.

On m'a attribué une pièce et j'ai renvoyer toute les femmes de chambres sous celle que je connais et Roukia, pour m'habiller. Roukia ne dis rien tandis que l'autre semble surprise, elle me demande ce qu'il m'ait arrivé. Je lui dis que ce n'est rien et elle se contente de hocher la avec regrets tandis qu'elles m'habillent. Les femmes m'ont mit une robe qui était assortit à la tenue de Nightmare soit avec les couleurs sombres et incroyable que se soit, cette robe épouse parfaitement mon corps et me montre plus mature comme si j'avais 17 ans voire plus... J'avais le choix avec deux type de robes, robe de type princesse et une robe de type sirène. J'ai opté pour une robe sirène car je n'ai pas trop envie d'attiré l'attention avec la robe de princesse remplit de froufrou. J'ai laissé rentrer les femmes de chambres pour qu'elles puissent me maquiller et faire les petites ajustements.

On me maquille très légèrement et voyant que les femmes stressent énormément alors je leur dis que je suis heureuse de les voir. Je leur dis de ne pas trop forcé et voyant que certaine ne savent pas quoi faire, je leur dis de profiter de cette instant comme une pause. Dès que ma coiffure fut finie, sois un élégant chignon laissant quelque mèche dépassé du chignon et les femmes m'ont laissé aussi quelque cheveux devant mon visage. La dernière étape est de mettre mes talons hauts, ils sont tellement grand que cela fait peur pour certaine mais heureusement pou moi, j'ai l'habitude de marcher avec ceux genre de chose dans mon ancienne. Alors je mets mes pieds dans ces chaussures puis me lèves avec l'aide des femmes qui semble vérifié que j'arrive bien à marcher. Dès que je suis prête, les femmes me souhaitent une bonne soirée et avant de sortir rejoindre père, je me retourne les regarde et pose mes mains sur ma poitrine et leur dit :

- Je suis heureuse d'avoir été préparé par de si douce personne. Laissez-moi vous remercier pour tout.

Leurs dis-je en posant un main sur mon cœur et en me penchant un peu, elles sourient un peu et me souhaite une bonne continuation. Je leur fais un petit sourire et regarde Roukia m'ouvrir la porte, nous marchons un peu puis nous voyons père de dos. Il a mis son plus beau costume avec toute ses médailles et tous le reste. Je me souviens que chaque fois que (Ton prénom) enfin l'ancienne (Ton prénom) le voyait comme ça, elle demandait toujours où est-ce qu'il avait eu ses médailles. C'était pour elle une façon de parler avec lui, même si ses réponses sont brèves. Il me tend son bras que je prends avec hésitation, je suis sur que l'ancienne moi l'aurais collé mais pas moi, je veux lui faire comprendre la souffrance qu'il a fait enduré à son enfant qui le voyait comme une héro voir un dieu. Même si cette homme ne donnait jamais son temps, jamais son regard sur cette enfant qui fessait tout pour lui alors pourquoi je dois continuer à faire pareil ?

Nous marchons lentement dans ce long couloir, moi, la tête baissé et sans émotion. Il me dira que je ressemble à une ravissante jeune femme. Voyant aucune réponse de ma part car je suis triste, triste de me dire que c'est moi qui a eu ce compliment et pas cette enfant ce qui fessait de son mieux pour lui. Finalement il s'arrête et me demande ce que j'ai ces jours-ci puis il me dit :

- Est-ce à cause de ton mariage ? Si tu le souhaite, je peux l'annuler.

Je sors de son emprise et le regarde, il semble si sérieux que cela me dégoute puis je vide mon sac.

- Vous moquez-vous de moi ? Pourquoi soudainement vous semblez vous inquiétez pour moi, au moment où j'ai abandonné d'avoir de l'attention de votre part ? Vous n'avez jamais eu, ne serais-je une once d'affection pour moi alors que je fessais de mon mieux pour vous... Sachez "père" que la seule chose d'affectif que vous avez fait pour moi est d'accepter ce mariage... Bien.. pour ne pas vous déshonorer ou vous humiliez d'avantage, je vais continuer toute seule. Je vous souhaite une bonne soirée en espérant qu'elles soient mieux sans moi.

Dis-je me dirigeant vers la salle ou je dois rejoindre Nightmare, là ou il doit m'attendre pour apparaitre ensemble devant tout le monde. Je suis devant la porte que je pousse lentement pour trouver un squelette, stresser, tourner sur lui-même se rongeant presque les ongles... Je l'appelle et il me regarde ébahis, je me contente de sourire et lui demande s'il est prêt. Il bafouille quelques paroles puis me tend son bras dans laquelle je passe mon bras et lui souris comme pour lui donner de l'espoir. Une personne nous annonce d'une voix forte et nous sortons quand les portes s'ouvrent, je ne regarde personne mais ne peut retenir un petit sourire. On dirait qu'il tremble, je lui pince le bras pour pas qu'on me voit et le regarde puis lui dis de ne pas s'inquiété car je suis là, avec lui. Il laisse échapper un sourire maladroit qui, je ne vais pas me mentir, est juste magnifique. Nous descendons les marches lentement, je tiens ma robe d'une main et de l'autre main, on se tient la main. Je sens bien les regards sur nous, je ne serais dire si c'est des regards envieux ou dégouté mais ceux que je sais, c'est que Nightmare semble heureux. Alors pour moi, c'est du bonus et arrivant à la dernière marche, Dream nous rejoins avec Frisk qui porte une grosse robe de type princesse jaune et beige. Ils nous sourient et disent qu'on est adorable, nous leur retournons le compliment et les garçons commencent à discuter tandis que nous sommes entre femmes. Je demande comment elle va depuis la dernière fois qu'on c'est vu. Elle me fait un sourire hypocrite et me dit qu'elle se porte à merveille mais ceux qui me surprends c'est qu'elle me prend dans ces bras, j'hoche la tête puis je crois que la poisse veut me faire chier car je vois ma belle-sœur arrivé avec Chara. Je leurs souhaite la bienvenue et leur demande comment est la soirée pour eux... À ce moment-là, je me rends compte que le monde dans lequel je suis est complément pourrie car je viens de me rendre compte que ma belle-sœur semble s'être fait de nouvelles amies... Sans oublier l'air hautaine de Chara qui dit que les couleurs sont mal choisies, que les fleurs gâchent la vue, que la nourriture est fade et j'en passe...

Je m'éclipse de ce groupe qui devait de plus en plus étouffant alors que je me promène, je me fais attraper le poignet par ma belle-mère. Qui me sert le poignet tout en se donnant des éloges pour mon éducation. Je ne bouge pas et me contente d'hocher la tête et de sourire comme une conne. Par chance, Genos nous voit et me demande comment je vais et intrigué les personnes autour de nous ne comprennent pas donc le médecin impériale explique que j'ai une santé fragile et que je suis tombé gravement malade. Toute l'attention que mère avait suscitée pour elle se retrouve sur moi et ne sentant plus ma mains, j'essaie de dire que ma belle-mère, c'est bien occuper de moi. Quand tout ce beau monde, félicite mère, elle me lâche et je m'excuse pour m'enfuir.

Le primordiale de l'empereurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant