Chapitre 28

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Père paye tout les vêtements de la chose tandis que je m'excuse du remu ménage qu'ils ont fait au employer tout comme au patron qui est venu un peu plus tard. La patron avant que je sorte m'offre une ombrelle magnifique et qui s'accord avec ma tenue. Embarrassé, je refuse disant que ma famille leur cause bien des tords mais il continue prétextant que c'est aussi leur faute de ne pas avoir vérifié l'identité de ma sœur ou d'avoir demander a père. Je souris embarrasser puis les remercie de leur patience, j'ouvre l'ombrelle, souris et sors.

J'espère qu'ils pourront vite disciple ce malentendu mais avant de rentré, il me reste encore une chose à faire... Faire dire mon nom à mon père et quoi de mieux que de disparaitre en pleine foule ? Bon j'ai un risque qu'il ne me cherche pas mais bon ce serait un peu con... Alors que ma sœur et accroché au bras de mon père, en train de regarder divers bijoux exposé dans des stands en pleine rue. Je souffle et tourne la tête puis m'arrête en voyant une poupée en porcelaine. Cependant au moment, ou je m'approche, je remarque que la poupée et faite de bois. Le marchant rit et dit que je n'en ai pas besoin de cette poupée et amusé, je lui dis :

- Une si belle poupée de bois... qui est son créateur ?

- Oh, ça un vaurien qui traine un peu partout.

- Puis-je le rencontré ?

L'homme semble surpris qu'un lady veut rencontre quelqu'un de bas étage puis il me dit qu'il va le chercher et je lui dis que je reviens vite. Je cherche un cadeau à offrir à ce créateur, je ne trouve pas puis vois un paquet de ruban jaune et pour une raison que j'ignore mais je suis attiré vers ce ruban que je prends directe payer avec le peu que j'ai. Je retourne voir la marchant qui est surement derrière son stand. J'y pénètre en me présentant et le voit s'en gueuler avec une personne en capuchonner. Je m'excuse de déranger la dispute et l'homme me dit que c'est lui le créateur que je cherche. Le standiste retourne à son travail tandis que la personne en capuchonner me regarde pas.

- Je souhaiterais juste vous dire que cette poupée de bois était merveilleuse.

Il me cri dessus disant que je ne connais rien à cette objet et amuser de sa voix beuger que je lui dis en tenant contre moi le long ruban.

- Votre création est faite à partir de bois de cajou, c'est à cause de cela qu'elle possède une couleur de peau si unique n'est-ce pas ?

Il lève enfin sa tête vers moi et je vois qu'il s'agit d'un squelette dont j'avais déjà étudié le dossier : Error. Je lui souris et m'approche doucement de lui puis lui tend le ruban, en lui disant qu'il devrait essayer des poupées en chiffon. Il prend le ruban et me regarde avec étonnement tandis que je regarde ses doigts très fins.

- Profité du fait que vos phalanges sois aussi fine pour la couture, je suis sur que vos prochaine création seront meilleurs.

Il ne me dit rien et amusé par sa timidité, je lui propose donc de lui faire une commande. Surprit et avec sa voix qui a quelque soucis, il répète le mot « commande » et j'argumente mes dires.

- Oui, une commande, je serais votre première cliente.

Voyant qu'il écoute attentivement, je continue et lui dis que je voudrais juste une poupée de chiffon, tout simplement. Surpris, il me demande pourquoi une commande si simple et je lui dis en mettant mes bras derrière mon dos, me penchant un peu et fessant un grand sourire.

- On commence bien quelque part non ?

Il ricanera et accepte disant qu'il trouve cela stupide mais ça le fait rire. Je me retourne et lui dis à la prochaine, il m'arrêter est me demande comment il me retrouvera. Je mets ma main devant ma bouche et sourit puis lui dit que c'est moi qui le trouverais, fessant référence à envoyer Abraham puis sort mais avant de disparaitre, je tiens une partie de la bâche qui sers au stand et le remercie. Il me demande pourquoi, je le remercie et je me contente de lui dire avec un sourire.

Le primordiale de l'empereurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant