Chapitre 8

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Lorsque je réveille, je suis à l'hôtel et je me prépare à rentrer car nous sommes dimanche. Cependant avant de partir, je me dois de les saluer et pour cela, j'achète de jolie bouquet de fleurs. Je veux leurs faire une surprise et leur donne le bouquet. Je souris tristement, tout en racontant mes aventures et bien sûr, je ne leur dis pas que je suis devenue un primordiale. Je leur dis juste que je suis une bonne élève que j'étudie tout le temps et que je n'y repense plus. Enfin, sauf la nuit dernière mais je leur dis tout et eux m'écoute le sourire aux lèvres, il commence à pleuvoir et heureusement que j'ai acheté un parapluie. Même sous la pluie, je peux leur parler, ma mère adorait manger dehors où faire des activités en plein air donc la pluie, elle doit adorer.

Finalement, je souffle et lève la tête vers mon parapluie puis leur dis que je dois rentrer car j'ai cours le lendemain. Je baisse la tête pour les regarder une dernière fois avant de me retourner, je dois rentrer mais je n'ai ni le permis ni une connaissance qui peut peux me ramener alors je dois prendre le bus ou un taxi. J'opte pour le bus même si je risque de prendre plus de temps, je le préfère car les prix sont bas. Je détache mes cheveux et marche vers l'arrêt de bus mais j'entends mon nom. Un frison me parcourt le dos et quand je retourne, j'ai le malheur de LA voir...

- (ton prénom) !

- Oh ma chère ma cousine...

L'être adoré de grand-mère, la bimbo de la famille... enfin si je peux dire. Elle a un an de plus et aussi un trillions de maquillage de plus... Elle me demande, pourquoi je ne lui aie pas prévenu et pourquoi j'ai mal parler à notre grand-mère. J'essaie de maintenir mon sourire mais plus elle continue de parler, je sens que je vais l'attrapé par le cou et lui retirée tout l'air de ses poumons. Où même la découpé en rondelle pour la cachette un peu partout dans cette maudite maison pour faire accuser la vieille. Je me retiens de faire tout ces choses horrible voir un massacre et étrangement la voiture de Pal, s'arrête près de nous.

Oh, est-ce que j'ai oublié de dire que c'est une Lamborghini de couleur blanche ? La chose du nom de (cousine "adoré") reste sans voix devant la voiture. Le chauffeur sort de sa voiture pour venir vers moi, il me demande où j'étais car il m'a cherché partout. Ma cousine semble étonnée qu'il me connait et essaye de le draguer enfin Pal me demande de qui, il s'agit. Je lui présente ma cousine et cela lui donne un sourire. Elle se présente mais Pal ne lui présence aucune attention puis une voix proviens de la voiture côté passager, nous demandant de nous dépêcher. Pal dit qu'il arrive et me tire part le bras, je monte à l'arrière et Pal, dit quelque chose à ma cousine et monte aussi. Je suis assise derrière puis je me demande, qui est la personne assise devant. Une fois la voiture en route, je voulais demander qui était la personne, celle-ci me dit en ricanant :

- Vous êtes bien silencieuse, (ton prénom)

- Oh, ce n'est pas vrai... Reaper... pff qu'est-ce que vous faites là ?

- Disons que je vous ai attendu dans votre appartement après que vous m'avez claqué la porte mais vous n'êtes pas venu. Après quelques heures, je suis sortie vous chercher et j'ai vu le primordiale de l'espace. Du coup, je lui ai demandé s'il ne t'avait pas vu et il m'a dit l'adresse puis m'a proposé de l'accompagner.

- Je vois mais je suppose que ce n'est pas une visite de courtoisie alors qu'est-ce que vous voulez ?

- Je voudrais que vous reveniez avec moi mais pour beaucoup plus de temps cette fois-ci.

- Roh, je ne peux pas.

- Ah et puisse-je savoir pourquoi ?

- Mhm... D'accord, je vais changer mes mots : je ne VEUX pas.

- ... Pal, quand tu verras Chronos, tu lui diras ma requête.

- Pal, tu n'as pas intérêt... Pas grave puisque je ferais en sorte que votre requête ne soit pas une priorité.

- Hehe, vous viendrez.

- Non.

- Si.

- Non.

- Si.

Pendant le trajet, je refuse et lui me dit « si » et je crois même que Pal à augmenter la vitesse. Je m'approche du conducteur pour lui dire qu'il est un peu con pour accélérer alors qu'un dieu de la mort est assis côté passager. Pal regarde la route puis me dit en ricanant que Reaper n'oserais pas puisqu'il n'est pas le dieu de la mort de notre monde, je me retrouve vers le squelette qui nous dit qu'il peut aider son confrère. Je souffle puis regarde droit devant tandis que Pal regarde Reaper qui, lui est amusé. Je me fige, pose ma main sur le crâne du conducteur puis la tourne en hurlant « camion ». Pal essaie de changer de direction, la voiture tourne et on s'arrête. Pal a les deux mains collé au volant, Reaper se tient la tête et je demande ironiquement à Pal, si ces parents pourraient le sauver de ça. Il me demande de la fermer puis on recommence à rouler. Je souffle tout en me collant au fond du siège et me dis que même le dieu de la mort a eu peur, ce qui me fais ricaner. Je souffle puis regarde le décors défilé et une forte envie de dormir me prends pourtant j'essaie de me retenir. Alors que je commence sérieusement à m'endormir, on arrive enfin chez moi et alors que je descends de la voiture, je demande à Reaper s'il va me suivre. Il me sourit et me dit qu'il doit rentrer, j'hoche la tête et remercie Pal pour la balade. Je monte jusqu'à mon studio puis y entre, je souffle puis va me coucher directement.

Je me réveille en Horlogia et ma première tache est d'aller voir Chronos car je voulais m'excusez pour mon absence d'hier. Il me dit qu'il me comprend et que cela ne le dérange pas plus que ça puisque je travaille bien. Alors que je me retourne pour aller révisez, Chronos me dit qu'il est au courant par la requête de Reaper, je souffle et lui dis que je n'ai pas le temps avec mes études de droit et mes études de primordiale. En plus quand je ne deviens pas primordiale, je n'arrive plus à dormir alors je suis vraiment épuisée et Chronos me dit qu'il va faire passez sa requête en secondaire. Je le remercie puis m'en vais pour aller réviser mais mon maître me retient pour me dire qu'il voudrait me donner un cadeau. Je le suis dans ce château qui change de forme selon le désire de Chronos. Il crée une pièce juste en face de la bibliothèque et me dit qu'il me l'a dédit. La porte est composée de multiple engrenages formant un montre géant, il approche sa main de la porte et les aiguilles marque minuit ou midi et la porte s'ouvre. Chronos me dit que tant que tout les engrenage sont là, la porte peut être ouverte par n'importe qui puis il ouvre la porte pour me montrer une chambre dont les murs sont composés de livre. Au milieu de la pièce se trouve un lit rond blanc, Chronos me dit que c'est ma chambre et que je peux m'y reposer avant de partir, il ferme la porte et me montre de nouveau les engrenages. Il y a un tout petit engrenage caché entre deux gros et quand il la retire, la porte perd sa couleur blanche/grisâtre pour devenir de couleur or et marron.

- Tu peux retirer n'importe quelle engrenage pour bloquer la porte mais je te conseil cette pièce car elle est petite, discrète et presque inexistante. En plus, étant donné que la porte composé uniquement d'engrenage alors quand tu l'enlève, la personne de l'autre côté ne verra absolument rien sauf si tu lui en parle.

- Je ne dirais à personne, merci Chronos.

- Va te reposer, je vais sortir.

Il replace, la pièce et sort, ne fois dehors c'est moi qui retire la pièce et je vais vers le lit. Je veux juste dormir, ne serais que quelques secondes. Je laisse mon bâton voler au-dessus ma tête tandis que je m'allonge sur le lit, je pose ma tête sur l'oreiller de couleur gris et je rapproche mes jambes vers ma poitrine. Je regarde mes mains gantés et mes yeux se ferment lentement jusqu'à m'endormir. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis toujours dans le lit et je me lève, prends mon horloge puis rentre chez moi.

Je me prépare, me change et sort avec mon sac. En chemin, je reçois un appel et je décroche sans regarder qui est la personne. La personne au bout du fil et le dieu de la mort alors surprise, je lui demande comment il s'est procuré un téléphone. Il ricane puis me dit que c'est sa faux qui lui permet de communiquer avec moi, je râle et lui demande ce qu'il veut. Je lui dis assez remonté que je ne peux pas car je dois aller à la fac et que je suis débordée ce temps-ci. Il ne semble pas comprendre alors je lui demande de me laisser un peu de temps genre attendre la fin de mon cursus sois dans un ans voir dans quelque mois quand les examens seront finis. Il me dit qu'il ne pourrait pas attendre jusqu'à la puis il s'excuse car il n'avait pas le choix. Je regarde mon téléphone et sans m'en rendre compte je m'arrête mais c'est là que je le vois. Un immense camion, mon dernier mot avant que le véhicule me percute sera : « Sérieusement ? »

Le primordiale de l'empereurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant