Elisabeth Jones « une autre vie »

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/ HOW DO YOU DESTROY A MONSTER
WITHOUT BECOMING ONE?/










Je passai le mois qui suivit à éplucher ce livre, et j'appris énormément de chose, laisser moi vous racontez l'histoire d'Elisabeth Jones première du nom.

Déjà, le journal était bien protéger par la magie du sang et contenait les souvenirs de la jeune femme. Le première souvenir correspondait au jour ou elle a enchanté le journal, elle y expliquait comment il marchait et pourquoi elle le créait :

« Je créée ce journal pour que le jour ou il me retrouvera mes enfants puissent comprendre pourquoi leur mère est partis, mais aussi pour tous mes ancêtres, je veux que mon histoire ne soit jamais oublier car un jour elle se répètera forcément »

Après son explication des souvenirs de son enfance s'enchaînaient un à un. Elisabeth Jones était née moldu, elle vivait dans un petit village anglais avec ses deux parents fermier. Sa vie paraissait agréable mais les enfants sorciers commence assez jeune à développer leur pouvoir, et son souvent incontrôlable. Quand ses parents s'en sont rendus compte ils ont eu peur, leur propre fille les horrifiaient, à cette époque la sorcellerie était très mal vu des moldus. Ils ont finis par abandonnés leur petite fille alors âgées de seulement huit ans. Seule, sans famille, sans argents, la petite comptait se laissé mourir mais un homme l'a sauvé. Il a vu en elle la magie qui la caractérisait et l'a adopté, cette homme c'était Salazar Serpentard, l'un des quatre fondateurs de Poudlard, donc l'un des plus grands sorciers de son temps, le représentant de ma maison.

La petite fille ne parlait pas au début, elle avait peur, mais elle était intelligente, très intelligente, au bout d'un certain temps elle finit par s'ouvrir à l'homme qui l'avait prise sous son aile. Elle s'aperçut vite de la haine de Serpentard pour les moldus, elle prétendit alors venir d'une famille de sorciers décédés quand elle n'avait que quatre ans et qu'elle avait du vivre avec des moldus depuis ce jour, mais qu'elle avait fugué. Jamais elle ne lui dit la vérité, mais il finira par le savoir.




Jusqu'à ses 18 ans la jeune fille s'entraîna à la magie sous toutes ses formes, même noires, cette magie en particulier l'attirait comme une lueur attrayante à laquelle on ne peut échapper. Mais elle savait qu'elle n'était pas comme les autres, elle avait rencontrée d'autres sorciers et aucun ne pouvait faire ce qu'elle faisait. Elle appelait cela ces petites crises, car elle avait un surplus de magie, elle le sentait, il grandissait au file des jours qui passaient, et parfois il explosait. Salazar lui appris à les contrôler pour être plus forte et lus puissante que quiconque, ces pouvoirs dépassaient l'entendement.

Il se servit d'elle pour ses propres projets d'extermination des moldus, il avait fait d'elle une arme qui lui était entièrement dévoué.




Au file des années elle avait songé à s'enfuir, elle n'aimait pas faire du mal aux gens malgré son dégoût pour les moldus qui l'avaient rejeté, elle haïssait même cela. Mais elle aimait cet homme, elle l'aimait comme un père, il lui avait tout appris, sans lui elle n'était rien. Et puis elle ne pouvais contrôler ses dons seule, elle avait besoins de lui.




Mais un jour elle rencontra quelqu'un qui lui fit voir le monde sous un autre angle, un garçon. Ce jeune homme était lui aussi un né moldu mais contrairement à Elisabeth, ses parents ne l'avaient pas rejeté, ils l'aimaient comme il était. Il vivait près de la demeure de Salazar Serpentard, enfaite il venait d'arriver avec ses parents. Il avait étudier à Poudlard et venait d'y finir ses études. Les deux jeunes accrochèrent immédiatement, ils devinrent amis mais en peu de temps leur relations évolua, « l'amour à le don de vous faire voir le bon partout ». Elisabeth comprit avec le temps que la vie qu'elle menait ne l'a rendait en rien heureuse, mais ce garçon oui. Pendant un an il sortirent ensemble en secret, ils étaient jeunes et insouciants mais Salazar comprit finalement leur manège.




Une violente dispute éclatât encore le père adoptif et sa fille, chacun crachait sa haine sur l'autre, Elisabeth était furieuse de la haine de son paternel envers son amoureux et Salazar maudissait sa fille pour son péché ignoble. Le sorcier fou de rage voulu savoir pourquoi elle l'avait ainsi trahi et entra dans sa tête, il parcourut tous ses souvenirs qui lui déchirait le cœur. Il vit son mensonge d'autre fois, la vérité sur sa famille lui apparaissait enfin, il vit également la rencontre des deux jeune gens, leurs amours grandissant, leur envie d'avenir ensemble et pire à ses yeux l'annonce de la jeune fille à son amoureux. Elle était enceinte, elle portait l'enfant de cette abomination.




Le sorcier prit au dépourvu par cette nouvelle baissa sa garde laissant le temps à la jeune Elisabeth de fouiller également sa mémoire, depuis longtemps elle le pensait responsable de ce surplus étrange de magie qui emplissait sa vie. Elle visita chacun de ses souvenirs, son enfance, sa rencontre avec ses amis, leur projet d'école, la création de Poudlard, son exil et leur rencontre. Elle vit également avec effrois, cet homme qu'elle considérait comme son père, l'amenait sur un autel un an après leur rencontre. Il préparait un rituel de magie noire très complexe, elle vit dans sa mémoire qu'il consistait à relier l'âme d'une personne à l'essence même de la magie noire. Le risque étant de faire sombrer l'âme dans une distorsion magique et de provoquer chez le sujet une mort atroce, pour éviter cela le sorcier qui pratique le sort doit se lier au sujet. Ce n'est pas un lien quelconque, il consiste à être l'encrage magique de la personne, ce lien n'entraîne aucun effet secondaire outre un détail. Depuis sa rencontre avec Salazar, Elisabeth c'était découverte un don, parler aux serpents, mais ce don ne lui était pas inée contrairement à Serpentard. En effet le lien était ce partage de don, à cause de là malédictions elle avait hérité du don de son père adoptif.




Il l'avait maudite, relier à de la magie noire, il avait faite d'elle un monstre. Tout ce bousculait dans sa tête, Elisabeth partit en courant rejoindre son amant laissant son père seul avec ses remords et sa haine. Elle courait toujours plus vite, elle voulait fuir, mais pas seule, elle ne pouvait plus vivre ainsi. Elle voulait une nouvelle vie avec l'homme qu'elle aimait et son futur enfant, elle voulait être libre.

Elle voulait fuir et c'est ce qu'elle fit. À 22 ans Elisabeth Jones fui sa vie avec Alan Declan et leur enfant à naitre. Ils s'installèrent au Portugal, dans une petite maison prêt de la mer. Pendant six ans ils vécurent heureux, leur premier fils était né en août et deux ans plus tard en novembre leur deuxième fils, le plus vieux Kai Jones avait donc maintenu six ans et le jeune Owen avait quatre ans. Les deux enfants s'adoraient, la famille respirait le bonheur.




Au début Elisabeth avait peur, peur de tout. De son passé, de son père, de son pouvoir. Mais elle découvrit une autre façon de contrôler cette force, l'amour. L'amour de sa famille lui permit de garder le contrôle permanent sur cette magie, elle n'avait plus besoins de Salazar, plus besoin de se rattacher à son passé, la liberté qu'elle vivait la comblait de bonheur. Elle découvrit même un moyen de canaliser ce pouvoir pour soigner les gens et non le se blesser.




Mais après tout ce temps, il les retrouva, personne ne peut échapper éternellement à Salazar Serpentard. Il le trouva et enleva les garçons, puis tua Alan sans remord. Elisabeth qui n'était pas là lors de cette journée, revint chez elle pour y trouver la maison vide, hormis le corps de son bien-aimé qui gisait sans vie dans leur chambre.

Sa douleur envahissait ses souvenirs, elle était briser, elle lâcha brise, la maison entière explosa, la laissant seule, au milieu des décombres, serrant son mari dans ses bras en pleurant.

Elle finit par retrouver elle aussi Salazar voulant venger son mari et retrouver ses deux enfants, mais elle ne pouvait gagner cette bataille. Salazar avait déjà envoyer ses enfants dans une bonne famille de sang pur pour crée une nouvelle ligner de sang pur, les Jones. Il la tua sans hésitation et même son don ne pu la sauver.




C'est ici que la vie d'Elisabeth Jones s'arrêtait, toute sa vie elle s'était battue mais elle avait perdue et tout ce qui restait réellement de son histoire c'est une évocation de son nom dans quelques livres d'histoire et ce journal illisible pour toutes personnes ne possédant pas du sang Jones.

The cruse of the Jones Où les histoires vivent. Découvrez maintenant