Lundi 5 janvier
Bonne année journal ! Je n'ai pas écris des vacances car j'ai pris du poids mais non je déconne c'est juste que c'était les fêtes de fins d'années et je n'avais pas envie d'écrire. J'ai reçu de nombreux et merveilleux cadeaux notamment un stage chez Chanel d'une semaine enfin plutôt 5 jours. Pour vous dire je cherchais un stage pour mon année de première littéraire car c'est obligatoire et donc j'ai envoyé plusieurs lettres à de grands noms de la mode et je n'ai jamais rien reçu en retour, je commençais à désespérer et c'est là que j'ai découvert que ma mère à forcer les choses avec Chanel. Ah je suis trop contente vous ne pouvez pas savoir, j'ai un stage de fou, une petite amie, des amis merveilleux et une prof qui est mon idole, que rêvez de mieux ?
Vendredi 9 janvier
Une journée plutôt étrange je dirais même surréaliste. Je vais en cours de français et la prof me dit qu'elle veut me voir avec la prof d'anglais. Mais elles me veulent quoi? Je vais ensuite en spé et la prof me dit ce que la prof de français vient de me dire et elle rajoute qu'elles me verront juste après à 11h15 dans la salle d'anglais. Alors le cours d'anglais passe, je stresse tout le long surtout en étude pendant 15 minutes et pour me déstresser Laureen m'embrasse et essaie par tout les moyen mais en vain elle n'y arrive pas, je file donc à la salle.
Madame Marie : Si tu es là aujourd'hui c'est que nous avons quelque chose à te dire.
Mademoiselle Hudson: En effet cela concerne ton travail d'écriture du TGIF Day.
Madame Marie: Nous avons lu et nous avons vu que tu avais un fort potentiel dans l'écriture, nous avons fait quelque chose qui aurait mérité ton accord mais nous ne l'avons pas fait car nous croyons en toi, nous t'avons inscrite à un concours de texte et nous avons envoyé ce texte qui a été accepté, tu es finaliste.
Moi: Mais mademoiselle Hudson...
Mademoiselle Hudson: Ne t'inquiète pas j'ai lu et il n'y a rien de compromettant sur moi où ma carrière, rien qui ne puisse penser que je suis ici.
Madame Marie: Le concours est le dernier week-end de janvier, j'espère que tu es libre, bien sur que tu l'es j'ai demandé à ta mère.
Moi: Vous avez demandé à ma mère?
Mademoiselle Hudson: Oui nous l'avons appelé, parlé de ce projet et elle nous a dit que tu étais libre. Nous serons là ce week-end de concours avec toi.Je descends à toute allure les escaliers et retrouve le groupe.
Moi: Ahhhh mon texte de la TGIF Day est pris en finale dans un concours.
Groupe: Mais c'est génial. C'est quand?
Moi: Dernier week-end de janvier.
Groupe: On sera tous là.
Moi: Merci les amis. Je vous aime tous. Câlin de groupe.
Samedi 24 janvier
Le jour du concours est enfin arrivé et je suis stressée. Ma famille est là ainsi que mon groupe et, madame Marie et Mademoiselle Hudson. Le jury fait son speech et le voilà embarquer dans une sacré histoire.
Jury: Il y a 12 textes finalistes et l'un d'entre eux va remporter un grand prix. Mais lequel?
C'est vrai ça je me suis même pas poser cette question du prix.
Jury: Le prix est donc, suspense, que le texte du gagnant sera publié dans un grand journal, mais non je rigole qui voudrait un tel prix?
Un moi surgit dans la salle. Tout le monde éclate alors de rire.
Jury: Non le prix sera une rencontre avec l'idole de votre texte.
Et si on ne l'aime pas? Le même moi est de retour avec une autre blague pourrit.
Jury: Et ben tant pis pour lui. Nous allons donc vous faire monter un par un pour que vous lisiez votre texte.
Les personnes se succèdent et évidemment je suis la dernière pour bien stresser. Il y a de très beaux textes et je suis même étonnée quand la 11e personne passe parce qu'il n'y pas eu de textes sur les One Direction. Voilà mon tour je monte sur scène, je porte une petite robe noire assez décolleté mais pas trop et des escarpins noirs, mes cheveux sont attachés en chignon pour ne pas qu'ils tombent devant mes yeux lors de la lecture. Je lis donc mon texte et je le connais tellement enfin un passage que je me mets à regarder Mademoiselle Hudson qui me fixe aussi avec admiration. Je descends et retourne sa place. Le Jury délibère et je suis encore et toujours stressée.
Jury: Très bien nous avons délibéré. Le vainqueur est donc ... mademoiselle Livingstone.
OMG je n'y crois pas j'ai gagné. Je monte et commence à parler.
Moi: Je souhaite remercier mes professeurs de français et d'anglais ainsi que ma famille et mes amis qui m'ont soutenu dans ma passion pour l'écriture. Mais je voulais surtout offrir si c'est possible la rencontre avec son idole à une autre personne.
Jury: C'est possible.
Moi: Je peux choisir ou bien c'est vous qui le faite?
Jury: Non c'est déjà assez généreux de ta part de l'offrir donc nous t'accordons le fait de pouvoir le donner à la personne de ton choix parmi les finalistes.
Moi: Et bien je souhaite l'offrir à mademoiselle Adkins pour qu'elle rencontre Selena Gomez.Je descends et tout le monde m'embrasse. Puis nous partons et rentrons, mais je me rends compte que dans la poche de ma robe il y a un papier avec un numéro dessus et un nom Adkins.
Je l'appellerai un autre jour je suis assez fatiguée comme ça et elle aussi je pense.
Vendredi 30 janvier
Après une semaine de sacre pour le texte je suis, comment dire, devenue plus populaire alors que je ne suis qu'en première et en première on n'est pas totalement connue on n'est juste entre ceux qui arrivent, les secondes, Et ceux qui vont partir, les terminales. En arrivant dans la salle de français la prof m'a fait un signe d'encouragement et m'a même pris dans des bras pour dire qu'elle était fière de moi. Puis à la fin de l'heure d'anglais la prof m'a convoqué.
Mademoiselle Hudson: Je te l'accorde la rencontre avec ton idole.
Moi: Merci mais je ne peux pas en ce moment je suis assez débordée avec tout les devoirs.
Mademoiselle Hudson : Reviens me voir quand tu veux.
Moi: Promis.
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Le Journal d'Amélia Livingstone.
FanfictionMademoiselle Hudson: Bonjour à toutes, je suis Mademoiselle Hudson, Katheryn Hudson et je suis votre professeur principale. La matière que j'enseigne est l'anglais et la spécialité anglais pour celle qui ont pris celle-ci. A ce moment-là j'ai souri...