Pour le meilleur et pour le pire

Chapitre 14 : un passé qui refait surface

Ca commence a prendre de l'ampleur, merci infiniment ! Les choses sérieuses commencent.. Bonne lecture 🤍

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Nous nous introduisons dans la pièce secrète. Cette dernière est plongée dans le noir.

Steve : Tu trouves pas un interrupteur pour la lumière ?

Moi : Attend..

Je cherche deux secondes et trouve enfin le bouton. J'appuie dessus et illumine la salle. Je me retourne vers lui et ouvre les bras.

Moi : Et la lumière fut !

Steve : Maria..

Moi : Oh mais quoi encore ?

Il tend son doigt vers le fond de la pièce. Des photos ainsi que des extraits de journaux habillent un panneau en liège.

Moi : Oh bordel de merde. Le blond me fusille du regard. Désolée mais j'en ai rien à foutre du langage Captain.

Je mets ma main sur ma bouche. Il s'approche de moi, les yeux écarquillés.

Steve : On s'en va.

Moi : Hors de question, je dois savoir pourquoi y a des photos de moi !

Je me dirige vers les cadres et les analyse en détail. Je remarque même des photos de moi, petite.

Moi : Comment c'est possible ? Je chuchote.

Steve : C'est qui ?

Il me montre un portrait de famille.

Moi : Mes parents..

Steve : Où sont-ils ?

Je ne réponds pas, il n'insiste pas.

Steve : Je continue de croire qu'on devrait se barrer immédiatement.

Moi : Pas maintenant !

Les journaux parlent tous de mon père et de son décès. Un bureau rempli de dossiers est placé dans un coin. J'en prends un et le feuillète.

Moi : Steve ?

Steve : Oui ?

Moi : Pourquoi Thanos est dans ce dossier ?

Il me le prend des mains et le lis.

Steve : La vache. Ca dit qu'il..

Moi : Qu'il quoi ?

Steve : Il a ton père.

Moi : C'est impossible.

Ma tête tourne, je dois m'appuyer sur la table pour ne pas tomber.

Steve : On l'emmène avec nous. Mais on y va maintenant.

Moi : Je..

Il replace une mèche de cheveux derrière mes oreilles.

Steve : S'il te plaît.

Moi : Ok..

Je referme la porte à contrecoeur et rejoins le vaisseau avec le blond. J'enlève mon masque et me précipite sur un siège. Mes deux amies s'assoient à côté de moi.

Natasha : Maria, tout va bien ?

Je ne dis rien, je suis toujours sous le choc, fixant le vide.