Chapitre 9

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*Petite partit violente, rien de très intense mais je tiens à prévenir*

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Je vois Raf devant moi avec ses mains un peu partout sur mon corps ensuite mon père me frappe et me reproche d'être une pute comme ma mère. Cette dernière me bat elle aussi à son tour pour aucune raison. John B arrive et ma mère le frappe et me menace de continuer si je ne la suis pas dans son départ, ma mère approche une lame de couteau près de la gorge de mon frère et la tranche quand je lui répond quand je veux rester avec celui-ci. 

Je me réveille en sursaut, les joues tout mouillés. 

JJ: Qu'est qui se passe? 

MOI: Cauchemar! 

Je me frotte le visage avec mes mains pour me faire réaliser que c'est seulement dans mon imagination. Ma respiration est extrêmement rapide. 

JJ: C'était à propos de quoi? 

MOI: Rien... 

JJ s'assoie à mes côtés. 

JJ: Tu peux me raconter, si tu veux. 

MOI: Je rêvais à mon passé mais en un peu pire. 

JJ: Continue... 

MOI: Raf me touchait, mon père me frappait et me traitait de pute, ma mère me frappait aussi et elle a même égorgé Johnb à cause que je ne voulais pas la suivre dans son départ. 

Mes larmes coulent sans arrête. JJ ouvre ses bras. 

JJ: Vient là. 

Il me serre fort, je me sens déjà mieux, j'ai l'impression d'être en sécurité. 

MOI: Merci JJ, je me sens déjà mieux. 

Je referme les yeux juste après, ça m'a épuisé ce rêve. 

POINT VUE DE JJ

Elle s'est endormit dans mes bras, elle est tellement belle. Je m'endort à mon tour avec Léanne dans mes bras. 

Je me réveille vers 8:00, je n'ai jamais aussi bien dormit. On a rien fait elle et moi mais je suis beaucoup plus heureux qu'une partie de jambes en l'air. Pourquoi elle me fait cette effet, elle me rend heureux seulement en dormant dans mes bras. Je ne comprends pas. 

J'entend un bruit dans le salon, je me décolle et je laisse Léanne dormir. J'arrive dans le salon et je vois mon père saoul mort mais comme d'habitude dès qu'il me voit, il me frappe et me reproche le départ de ma mère. 

POINT VUE DE LÉANNE

Je me fais réveillé par de gros bruits provenant du salon. Je remarque que JJ n'est plus là alors je décide d'aller voir qu'est qui se passe. Quand j'ouvre la porte je vois le père de JJ le frapper. Je saute sur l'agresseur mais il me fait tomber au sol, il me prend le poignet. 

PÈRE DE JJ: Je ne sais pas t'es qui petite garce mais n'ose plus jamais me toucher! 

Il me gifle mais je répond avec un bon cou dans les parties génitales. 

PÈRE DE JJ: Connasse! 

MOI: Je ne sais pas pour qui vous vous prenez mais n'osez plus jamais touché à votre garçon! 

Il prend ma jambe ce qui me fait tomber, il me donne une autre gifle et c'est à ce moment que JJ prend son père par le cou. 

JJ: NE LA TOUCHE PLUS ENFOIRÉ!

JJ lui donne une droite tellement puissante qu'il tombe sur le divan K.O. 

JJ vient vers moi. 

JJ: Ça va? 

MOI: Ça peut aller. Et toi? 

JJ: Ça va. 

Je prend la main de JJ. On retourne dans sa chambre, je prend une trousse de premier soin et je nettoie ses blessures. 

MOI: Alors c'est ça qu'il te fais subir à chaque fois? 

JJ: Ouais. 

MOI: Et tu fini toujours par l'assommer? 

JJ: Non, la plupart du temps je me sauve. 

Une larme coule sur ma joue. 

MOI: Je suis vraiment désolé. 

JJ: Mais pourquoi? 

MOI: Tu ne mérite rien de tout ça. 

JJ: Je suis un dur. 

Je rigole un peu, je passe une compresse d'eau froide sur la joue de JJ. 

MOI: Est-ce que tu as bien dormit malgré le fait que je t'ai réveillé en plein milieu de la nuit? 

JJ: Oui, ça ma fait du bien une nuit plus tranquille. 

Je lui donne un petit cou derrière la tête et on rigole. Je suis rendu à soigné ses lèvres. Je mets la compresse et quand j'ai fini je les regardes. J'ai le goût de les embrasser mais il a embrasser tellement de fille et juste hier il en avait une avec lui. Je détourne le regard. 

JJ: Bon c'est à moi de te soigner. 

Je n'avais même pas remarquer que je saignais de la lèvre. Il dépose une compresse et quand il désinfecte ça fait un mal de chien. 

MOI: AÏE! 

Il met sa main sur ma bouche. 

JJ: Arrête tu vas réveillé mon père. 

Il enlève sa main.

MOI: Je suis désolé. 

Il remet la compresse, ça fait tellement mal, j'ai une larme qui coule. 

JJ: J'ai terminer. 

MOI: Putain que c'est douloureux. Comment tu fais pour ne pas avoir mal? 

JJ: L'habitude. 

Je vois de la tristesse dans ses yeux. Je décide de le prendre dans mes bras et je nous fait basculer sur le lit. Je suis couché sur lui, nos regards se croisent, ils font des aller-retours entre nos lèvres et nos yeux. JJ s'approche de mon visage mais je dévie mes lèvres sur sa joue. 

MOI: Je suis désolé mais c'est tout ce que tu auras. 

JJ: Je comprends. 

MOI: Tu sais quoi faire si tu veux que mes lèvres se posent sur les tiennes. 

Il fait un signe de tête qu'il a compris. Mon téléphone sonne se qui nous fait sursauter. 

(appel) 

MOI: Allo? 

JOHNB: Léanne Routledge t'es où merde! 

MOI: Chez une amie. J'arrive dans 10 minutes. 

JOHNB: On va avoir une bonne discussion quand tu vas arriver. 

MOI: Oui papa. 

Je raccroche juste après. 

MOI: Je dois aller me faire engueuler par mon frère. 

JJ: Est-ce que tu veux que je te raccompagne? 

MOI: Non mais ne reste pas ici s'il te plait. 

JJ: D'accord maman. 

Il rigole, je lui donne une tape sur son torse. 

MOI: À plus JJ et merci pour tout. 

JJ: Quand tu veux ma belle. 

Je dépose un baiser sur la joue et je part à la course chez moi.

Famille RoutledgeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant