Chapitre 16

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Le lendemain, je m'étais installée dans l'appartement des garçons juste au-dessus du magasin. J'avais été impressionné devant la grandeur des lieux, ce n'était pas un petit magasin, il y avait beaucoup de place, et heureusement vu le nombre d'objets que vendaient les garçons : leurs boîtes à flemmes, les Oreilles-à-rallonge, baguettes farceuses, des marécages portables, les feuxfous fuseboum, les leurres explosifs dont je connaissais l'existence, mais également des nouveautés tels que des philtres d'amour, des boursouflets, des petites créatures adorables, des boules de poils duveteuse aux couleurs vives, les jumeaux avaient fait des expériences sur les Boursoufs afin d'en créer. En temps normal, je n'apprécie pas qu'on fasse des expériences sur des animaux, ou des humains qui n'ont rien demandé, mais le résultat était tellement adorable. Il n'y avait pas que le magasin de grand, l'appartement était juste au-dessus et bien que les murs soient mansardés la place ne manquait pas. La maison possède un grand salon avec un balcon qui donne vue sur le chemin de traverse, une cuisine assez spacieuse, une grande salle de bain, deux chambres et un bureau qui sert de laboratoire aux garçons.

Fred m'avait laissé toute une partie dans son armoire afin d'y poser mes affaires, les garçons avaient monté une bibliothèque dans le salon, j'y avais mis mes livres qui cohabitent avec quelques objets créés par les jumeaux ainsi qu'une photo de nous quatre : Fred, George, Lee et moi, en train de saluer, ou de nous battre cela dépendait de l'envie de nos images.

Je n'avais pas beaucoup d'affaires, ainsi au bout d'une heure, j'ai fini de m'installer, j'avais rejoint les garçons au magasin. Il n'était pas ouvert, ce qui n'empêchait pas les jumeaux parlaient avec une jeune fille aux cheveux coupés en carrés et d'un blond similaire à celui de Lavande Brown, Fred était en train de rire avec elle ce qui m'avait fait voir rouge. J'avais avancé à grand pas vers mon petit ami, prit sa main dans la mienne afin de passer son bras autour de mes épaules, avant de fixer cette jeune femme qui s'était figé en me voyant.

- Verity, je te présente Layla Périne. avais alors dit George.
- La petite-amie de Fred. avais-je ajouté en la regardant dans les yeux.
- Enchanté madame. Je m'appelle Verity et je...
- Elle est notre nouvelle vendeuse. Félicitation, vous avez le poste mademoiselle. Vous commencez demain.
- Merci beaucoup Monsieur Weasley.

La femme avait serré la main des garçons avant de quitter le magasin un grand sourire aux lèvres.

- Une vendeuse ? je m'étais tournée vers Fred.
- Oui. avait-il répondu. Les élèves ont quittés Poudlard, ils vont vouloir faire les magasins.
- Donc venir ici, et on va avoir besoin d'aide. avais continué son frère.
- Et elle sort d'où cette fille ? j'avais croisé les bras en les observant.

- On a passé une annonce il y a quelques semaines. Elle s'est présentée.
- Et on a eu du mal à se décider, mais elle est la meilleure parmi celles qui se sont présentés.
- Pourquoi ? Parce qu'elle est belle ?
- Ah, tu trouves aussi ? George affichait un grand sourire.
- Arrête c'est pas drôle Georgie. Fred avait poussé son frère et prit mon visage entre ses mains. Layla, tu sais qu'on est pas comme ça. On veut des personnes travailleuses.

- C'est étrange, ce n'est pas vraiment votre philosophie de vie...
- Tu nous blesses là Layla. On a toujours travaillé quand ça nous intéresse.

Je leur avait tourné le dos et regardé le magasin, George avait raison, quand ça les intéresse les jumeaux travaillent et se donnent à cent pour cent dans leurs projets. J'avais entendu les garçons parler entre eux pendant que j'observais les boursouflés. Puis George avait quitté le magasin, Fred s'était approché de moi. Je continuais de fixer ces petites créatures adorables quand les bras de Fred s'étaient glissés autour de ma taille, il s'était collé à moi posant sa tête sur mon épaule très près de mon cou.

Sortir avec Fred WeasleyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant