J'me réveil avec un mal de crâne pas possible mais fallait que je récupère les petits à la gare à 11h. J'me lève et je prends un doliprane direct j'vais pas faire le guerrier alors que ma tête elle tape en dirait un marteau sa grand-mère.
J'vais à la douche, j'me sape et je sors. Amal et Yanis mon sang, ma chair. J'vous le dis personne les touchent. Je meurs pour eux.
Arrivé à la gare je l'ai attendait dehors sur le parking ma tante devait venir à moi normalement. Ma tante c'est la sœur de ma génitrice la seule personne de ma famille avec qui je suis resté en contact. C'est une bavonne pas comme sa sœur la lâche, à qui elle ne parle plus depuis des années d'ailleurs.
Je les vois arrivé au loin. Amal qui me fait des big sourires ma princesse. J'la mange tellement elle est incroyable. Je sors de la gova et me pose devant Amal court pour que je la prenne dans mes bras. Arrivé à ma haute je la prends dans mes bras, la porte et la serre fort. Je lui fais vla les bisous dans le cou. Ils m'avaient manquer mes petits.
Moi : Ça va princesse ?
Elle hoche la tête
Amal : Tu m'a manqué toi - Elle passe sa main dans mes cheveux puis rigole - T'as les cheveux loooong !
Moi : Ouais t'as vu sa, t'aimes bien ?
Amal : Oui c'est jolie mais faut pas avoir les cheveux long que moi hein t'es pas une fille. D'accord ?
Moi : - Rires - d'accord princesse.
Je la pose par terre et Yanis vient me faire une accolade. Mon petit qu'est-ce qu'il grandit à vu d'œil. Plus les années passent et plus on se ressemble physiquement. J'aimerais que ça ne soit que physique. Je veux pas qu'il devienne comme moi. Il mérite mieux, j'veux le meilleur pour lui.
Moi : Ça dit quoi le sang ?
Yanis : On est là hein. T'as laisser les cheveux et tout ? - Il me regarde de hauts en bas -
Je rigole. Il me fait dehek un vrai petit bonhomme maintenant avec des vrais tmenik de crapules.
Moi : Toi aussi à ce que je vois. Tu me copies ou quoi.
Yanis : Même pas c'est la mode en ce moment - rires -
Je fais un bisou à ma tante sur le front.
Khalti Isleym : Salam Aleykoum mon fils. Qu'est-ce que tu as grandis Ma Shaa Allah.
Moi : Salem tata. Mais tu m'a vu y'a pas longtemps et j'ai encore grandis - rires -.
Les petits ce sont mit aussi à rires.
Khalti Isleym : J'commence à vieillir mon fils ça se trouve je te l'ai déjà dis j'ai oublié - rires -. Tu vas bien ?
Moi : Ça va, ça va. Et toi ? Ça c'est bien passé avec les petits ?
Khalti Isleym : Al hamdûllilah mon fils. Très bien rien à dire c'est des amouuurs ! Tu me les ramène quand tu veux !
Moi : Vas-y merci Khalti tu gères sah. Ils vont bien Karim, Farah et Selma (mes cousins/cousines) ?
Khalti Isleym : Ça va hamdoullah. Karim il m'a dit c'est quand tu viens sur Nice ?
Moi : Quand il veut donne lui mon numéro si il l'a pas comme ça on se tient au courant.
Khalti Isleym : Mon fils... - Elle pose sa main sur mon bras -
Moi : Oui khalti
Khalti Isleym : 3indek à toi... Je t'aime comme si tu étais mon fils. Je t'aime comme si je t'avais porté dans mon ventre. Ta mère ne t'a pas élevé mais moi maintenant je suis là et je serais toujours là et tu le sais. Si tu ne va pas bien je n'irais pas bien. Si ça ne va pas ici, que tu as un soucis tu sais que je suis là. Il y a Karim aussi c'est comme ton grand frère. On est ta famille. Tu peux compter sur nous wouldi.
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Brahim - « Tout était écrit »
General FictionMais pas facile d'être sage les poumons plein de rage. Brahim, 25 ans aurais-je le temps de me repentir ?