25.

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Amal me saute dans les bras, mademoiselle a arrêtée de bouder. J'l'aime tellement ma petite princesse.

Brahim : bien ou quoi ?

Amal : ouiii. Il était trop bien le film !

Brahim : ah ouais ?

Amal : oui en plus, en plus en a manger pleins de glaces !

Brahim : hmm c'est bien, c'est bien

J'la remet par terre et elle monte derrière avec Yanis et Mélina à l'avant. J'démarre direction la cité

Moi : ce soir j'ai un truc à faire important si tu pouvais les garder ça serait bien sinon tranquille

Mélina : y'a pas de soucis t'inquiète. Euh, Brahim ?

Moi : ouais ?

Mélina : sans indiscrétion tu vas faire quoi ?

Moi : y'a une descente ce soir donc on va bouger

Mélina : ah... C'est dangereux quand même, non ?

Moi : c'est jamais sans risque une descente hein

Mélina : hmm bah fais attention à toi en tout cas

Moi : t'inquiète.

01h41 :

- c'est à droite hein

- mais non toi ! Qu'est-ce que tu racontes ! C'est à gauche après toujours tout droit

- wAllah t'aurais dû prendre un gps parce que là...

Moi : j'ai pas de gps wesh

- t'es sah là ?

Moi : t'as cru j'avais que ça à faire d'acheter un gps

Il lâche un petit rire puis y'a Amir qui nous dit

Amir : ils sont déjà arriver les autres hein ! Faut qu'on s'bouge là !

Moi : bah dites moi le chemin !

Amir : c'est qui, qui a le papier où l'adresse elle est marquer ?

- ah j'sais pas moi

- c'est toi qui l'a

- je l'ai pas wesh, je l'ai passer à Khalil

Khalil : t'es sah moi je l'ai pas hein

- ah c'est qui, qui l'a alors ?

Amir : wAllah vous êtes des migraines

Moi : vos gueules je crois j'ai trouver

Je vois je grande cité en forme de carré en dirait, c'était la nuit je voyais pas très bien mais y'avait l'air devoir tu monde devant la tess.

Moi : j'crois c'est ici hein

Amir : bah vas-y gare toi là-bas

J'vais me garer à côté d'un grec, on sort en prenant c'qui faut au cas où si ça tournerait mal. Effectivement je m'étais pas tromper c'est bien cette cité, on rejoins les autres. T'avais presque toute ma cité qui était là, on était au moins trente ou quarante mecs et encore y en a qui été pas là mais en tout cas y en avait beaucoup qui été venu même ceux que tu vois pas souvent à la cité bah ils étaient là. Y'avait un peu de ma cité et de la cité voisine vu que le petit Foued il habite dans la cité voisine. Eux ils étaient beaucoup aussi de leurs côté en même temps ils sont chez eux. On a fait réunion devant leurs cité puis on est rentrée dedans, eux ils étaient tous poser en mode warrior en bas d'un de leurs bâtiment. Y'a Sofiane le cousin de Foued qui prend la parole

Sofiane : bon j'vais pas parler longtemps, c'est qui, qui a envoyer mon cousin dans le coma ? C'est mieux les coupables ils ce dénoncent maintenant parce que vie d'ma mère j'vais tous vous démontez un par un sinon

- ( mini rire ) oh t'parles à qui comme ça ? T'as cru on été tes shab ou quoi ? Zehma tu menaces nos petits. C'est mieux pour toi tu fasses pas le malin si tu veux pas finir comme ton zinc...

Tout les gars derrière ils ont commencer à faire " oh j'aurais pas aimer " ou des petits commentaires à deux balles. Des vrais fils de putes. Nous on bouillonnait, on attendait que il y ait un premier coup pour tous les niker.

Sofiane s'approche du mec qui venait de parler, y'a des gars derrières eux qui voulaient se lever parce que ils étaient poser sur une rembarre et zehma le mec il a leur a dit que c'était tranquille donc ils se sont assit. Des vrais chiens.

Sofiane : t'es sûr tu veux faire le fou là ? Parce que ma cité ou pas, j'te baise.

- j'suis un fou moi, on t'a pas dit ? On t'a pas parler d'moi ?

Sofiane : toi t'es un fou ? Bah sache que si toi t'es fou y'aura toujours plus fou que toi. Fils de pute.

Puis c'est partit ! Il lui a envoyer un vrai coup de tête sa mère, c'était violent. Ces shabs ils ce sont lever donc nous aussi on a sauter parce que zehma ils voulaient se mettre à plusieurs sur Sofiane. C'était la merde y'avait des coups, du sang de partout. Y'avait tellement de monde que un coup t'en tapait un et après tu te retrouvais à en taper un autre. À un moment y'a un coup de feu qui est partit, on s'est tous arrêter puis on s'est retournés et j'vois que c'est...

Brahim - « Tout était écrit »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant