𝐋𝐀𝐘𝐋𝐎𝐖; 𝗃𝖾́𝗋𝖾́𝗆𝗒 & 𝗅𝖺𝗇𝖺
« pour être sincère, y'aura plus jamais d'après »
c'est ce qu'il s'était promis quand tout s'est arreté si brutalement ente eux.
mais quand elle reapparait là ou il s'y attendait le moins, le man of the yea...
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lana hoffman 25 mars 2012 toulouse, france
je suis actuellement au travail, à la boutique où nous vendons une bonne parties de nos voitures. je discute avec mon collègue sur les nouveautés que mercedes on pu sortir il n'y a pas si longtemps que ça, je suis une grande fan de cette marque de voiture alors je pourrais en parler pendant des heures entières sans que ça ne me dérange où que je perde le fil de la discussion.
mìlan- regarde le monsieur là-bas, je relève les yeux vers l'extérieur je vais allez le voir.
— je plisse les yeux laisse, je vais y aller.
je sors du magasin et redescends correctement ma jupe bleu, qui monte à chaque pas que je fais malgré sa longueur, avant de m'approcher de lui.
— jey, est-ce que je peux t'aider ?
jérémy- il se tourne vers moi et paraît surpris qu'est-ce que tu fous là lay ?
je souris légèrement. lay, c'est le surnom qu'il avait décidé de me donner pendant notre échange à la boîte de nuit. et à vraie dire je trouve ça plutôt marrant car c'est aussi le préfixe de son nom de scène, mais je me demande sincèrement s'il l'a fait exprès ou non.
— c'est mon lieu de travail.
jérémy- ton quoi ? il tourne la tête dans l'magasin de vêtement d'à côté ?
— j'hausse les sourcils non, ici.je suis concessionnaire et conseillère pour automobile.
jérémy- on t'as forcée ?
— non pourquoi ? je suis pas fan des préjugés.
jérémy- non mais même pas, j'sais pas j'imaginais pas ça.
— je vois. j'hoche la tête c'est parce queje suis fan de voiture.
jérémy- sérieux ? il me regarde longuement
— du coup est-ce que je peux t'aider ou tu ne faisait que de regarder ?
jérémy- il revisse sa capuche euh ouais, j'cherche une voiture à louer.
— pas de soucis, est-ce que tu as un modèle ? ou la marque ? on vend que des marques allemandes ici.
jérémy- ouais j'sais. et non, j'ai pas trop d'idée je t'avoue.
