𝐋𝐀𝐘𝐋𝐎𝐖; 𝗃𝖾́𝗋𝖾́𝗆𝗒 & 𝗅𝖺𝗇𝖺
« pour être sincère, y'aura plus jamais d'après »
c'est ce qu'il s'était promis quand tout s'est arreté si brutalement ente eux.
mais quand elle reapparait là ou il s'y attendait le moins, le man of the yea...
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JÉRÉMY LARROUX 17 août 2016 Montpelier, France
✈︎
J'ai décidé d'me tailler sur Montpellier pour passer voir mon gars Wit chez lui. Farès jongle un peu entre Toulouse et ici donc vas-y avec nabil on s'est ramené.
Je suis allongé dans le lit où je dors pendant ces quelques jours, mon mac posé sur mes jambes. je découvre de nouvelles prods, en espérant trouver celle qui sortira du lot, pour, qui sait, un nouveau projet.
farès- la porte s'ouvre d'un coup eh jey, on bouge c'soir avec nabil. tu viens ?
— où ça ? en boîte ?
farès- ouais.
— flemme. sah j'préfére rester posé ici.
farès- gros, ça y est ton projet il est bouclé. il s'assoit au bord du lit t'es là tu travailles toute la journée, respire un peu.
— j'respirais quand j'aurais atteint mes objectifs.j'te jure c'est tranquille t'inquiète.
farès- quoi ? c'est parce que y'a pas Lana ?
— rien à voir mon reuf.
farès- alors viens.
— tu me crois faible d'esprit enfaite ? wesh ça y est allez y sans moi.
farès- t'es notre appât pour les gadjis, on fait comment nous après ?
— j'arque un sourcil et rit légèrement t'es un ouf toi.
nabil- il entre dans la chambre tu viens pas ?
— non.
nabil- t'es sûr ? j'hoche la tête vas-y tranquille. c'est bon Farès wesh. ils s'éloignent
farès- tu va le laisser là tout seul ?
nabil- t'sais comment il est... c'est rien wesh.
Je souffle, et près d'une heure plus tard, j'entends la porte d'entrée se claquer, signe qu'ils sont partis.
Je me relève du lit, enfile le sweat de mon ensemble nike, puis je mets mes TN avant de sortir de l'appart, une cigarette coincée entre les lèvres.
