lana hoffman
14 août 2016
paris, francej'attrape la coupe de champagne qui est posée, autour des autres verres à bulles sur le plateau d'un serveur avant de l'apporter à mes lèvres.
je pars m'assoir sur une des chaises mise à disposition pour l'exposition, en croisant mes jambes entre elles.nous avons été conviés à une exposition d'ancienne voiture, type années quatre vingt. et bien évidemment, pour rien au monde j'aurais pris le risque de louper ça.
samuel- lana ? je relève la tête vers lui
— oh salut, tu vas bien ? il se penche vers moi pour me faire la bise
samuel- il s'assoit à mes côtés très bien et toi ? j'hoche la tête je ne m'attendais pas à te voir ici, à vraie dire.
— pourquoi ? on a été invités, alors je suis venue.
samuel- oui, mais j'aurais pensé que tu aurais essayée d'éviter cette événement.
— pourquoi ça ?
samuel- les voitures c'est ton truc ? tu risque pas trop de t'ennuyer ?
— absolument pas. et pour être totalement honnête, j'attendais que l'expo. c'est leur discours à deux balles et leur manie de vouloir parler d'argent tout le temps qui me soûle. et puis c'est quoi ces préjugés ?
à force de trop traîner avec jéremy, je commence à délaisser les apprentissages de language au quels j'ai eu le droit toute mon enfance.
samuel- il sourit non mais c'est pas ce que je voulais dire. je ne pensais pas ça du moins.
— on voit que tu ne m'connais pas.
samuel- pourtant, ce n'est pas l'envie qui manque.
je ravale de travers le liquide alcoolisé, il a tendance à vite oublier que j'ai déjà quelqu'un dans ma vie.
— sauf que moi j'en ai pas besoin.
j'ai sûrement dû lâchée cette phrase un peu trop sèchement vu l'expression faciale qui change sur son visage.
samuel- il vient loger sa main dans sa nuque oui, j'avais oublié.
— j'hoche la tête c'est pas grave.
et toi, t'es content d'être ici ?
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vent de l'est
Fanfiction𝐋𝐀𝐘𝐋𝐎𝐖; 𝗃𝖾́𝗋𝖾́𝗆𝗒 & 𝗅𝖺𝗇𝖺 « pour être sincère, y'aura plus jamais d'après » c'est ce qu'il s'était promis quand tout s'est arreté si brutalement ente eux. mais quand elle reapparait là ou il s'y attendait le moins, le man of the yea...