𝐋𝐀𝐘𝐋𝐎𝐖; 𝗃𝖾́𝗋𝖾́𝗆𝗒 & 𝗅𝖺𝗇𝖺
« pour être sincère, y'aura plus jamais d'après »
c'est ce qu'il s'était promis quand tout s'est arreté si brutalement ente eux.
mais quand elle reapparait là ou il s'y attendait le moins, le man of the yea...
petit conseil : pour vous rafraîchir la mémoire, je vous conseillerais de relire la fanfic' ou au moins les derniers chapitres <3
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LANA HOFFMAN 27 septembre 2019 Paris IX, France
✈︎
— alors dites moi tout, vous avez choisi ? j'affiche un grand et faux sourire
?- ceci dépendra de vous. j'aimerais prendre la spécialité du chef, étant donné que vous avez l'air d'avoir plutôt bon goût.
— c'est vrai que j'ai bon goût, mais malheureusement ou heureusement pour votre foie... je ne suis pas chef. je tire sur ma chemise
?- surprenez moi.
Je finis par arquer un sourcil tout en me demandant si il est réellement sérieux, mais étant donné que son expression de dragueur à deux balles ne semble pas changer, je me contente d'attraper sa carte du menu. je la coince entre ma poitrine et mon avant-bras tout en me dirigeant vers les cuisines.
— table quatre, choux de bruxelles. dis-je après l'avoir noté sur un papier et lui en avoir fait part
J'espère au moins que, là, il aura la surprise qu'il souhaite.
xavier- il fronce les sourcils sérieux ? putain pierre va être refait il était à deux doigt de les sortir de la carte.
— j'ai toujours cru en lui. je lui fais un clin d'œil est-ce que ça mériterais pas une petite prime ça ? je souris légèrement
xavier- on en rediscutera plus tard.
J'aurais préférée qu'il me dise oui maintenant car je pense qu'une fois que le client aura reçu ses légumes notre note google, déjà qu'elle n'était pas immense, risque fortement de diminuer, et mon salaire par la même occasion.
xavier- il jette un regard par dessus mon épaule déjà si tes potes les camés arrêtait de traîner ici ce serait un bon début.
Je ne daigne même pas me retourner quand j'entends mon prénom être criée, et des insultes par la même occasion. voilà pourquoi je tenais temps à qu'il me dise oui avant.
— accorde moi deux petites minutes s'il te plaît.
il souffle et finit par me regarder avec un air de pitié, un air que je n'aime vraiment pas. je me retourne d'un pas déterminer et me dirige vers la table sept où j'attrape le bras du jeune homme pour l'emmener à l'extérieur.
