𝐋𝐀𝐘𝐋𝐎𝐖; 𝗃𝖾́𝗋𝖾́𝗆𝗒 & 𝗅𝖺𝗇𝖺
« pour être sincère, y'aura plus jamais d'après »
c'est ce qu'il s'était promis quand tout s'est arreté si brutalement ente eux.
mais quand elle reapparait là ou il s'y attendait le moins, le man of the yea...
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lana hoffman 5 septembre 2016 toulouse, france
je râle.
j'entends mon prénom qui est crié depuis une bonne dizaine de minutes.
déjà que j'ai pas passée une très longue nuit, si on pouvait éviter de me réveiller dès le matin ce ne serais pas de refus.
carl- lana descend !
— j'arrive. je souffle bruyamment
je me lève et enfile mes chaussons avant d'attraper mes grosses lunettes de soleil pour les poser sur mon nez et cacher mes immenses cernes. quand je me suis vu dans le miroir je me suis même pas reconnus, j'ai jamais eu de si grosse poches sous les cernes depuis mille neuf cent quatre vingt quinze.
je descends les escaliers a pas léger et écarquille les yeux, sous mes grosses lunettes noir yves saint laurent, quand j'aperçois anaëlle et sa mère au pied de la porte avec mon père et mila.
si marie n'a même pas accepter d'entrée, rien que pour boire une bouteille toute neuve de vin rouge datant de l'époque de leur naissance, c'est vraiment qu'il y a un problème.
— je m'avance au près d'eux il est où leo ?
carl- dehors. il dit sèchement
—oula y'a une crise chez LV ? je souris légèrement
carl- il n'y a rien de drôle lana.
marie- en effet. elle me dévisage lana c'est toi qui t'es amusée à crever les pneus d'anaëlle, ta meilleure amie qui a toujours été là pour toi ?
carl- il se tourne vers moi lana dit lui que c'est n'importe quoi, s'il te plaît.
— d'anaëlle oui. en revanche de ma « meilleure amie qui a toujours été là pour moi » ça c'est pas moi.
je lance un rapide coup d'œil à mila qui me regarde en hochant négativement la tête.
carl- tu rigoles ?
— quoi ? vous avez pas vu ? j'ai laissée mes initiales avec mon rouge à lèvres favori. il est bon à jeter d'ailleurs...
marie- si, sa mâchoire parfaitement tracée se serre et c'est justement pour ça qu'on est là.
