𝐋𝐀𝐘𝐋𝐎𝐖; 𝗃𝖾́𝗋𝖾́𝗆𝗒 & 𝗅𝖺𝗇𝖺
« pour être sincère, y'aura plus jamais d'après »
c'est ce qu'il s'était promis quand tout s'est arreté si brutalement ente eux.
mais quand elle reapparait là ou il s'y attendait le moins, le man of the yea...
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lana hoffman paris, france 11 août 2016
nous venons à peine de poser nos pieds sur le sol parisien que je me sens obligée d'enfiler le sweat nike à capuche de jérémy. il fait pas non plus très beau ce mois-ci à toulouse mais à paris c'est vraiment un autre monde.
mila- viens on va rejoindre le taxi.
j'hoche la tête et regarde les majordomes passer avec nos valises. j'abaisse ma tête vers mon téléphone.
imessage
à jey ❤️ > je suis arrivée, il fait grave froid
de jey ❤️ > ah ouais ? force hein de jey ❤️ > appelle moi quand t'as du temps
à jey ❤️ > pas de soucis ma vie
je range mon téléphone au fond de ma poche après avoir postée un snap dans ma story. je plonge mes mains dans mes poches et suit mon père, mila et tous les autres jusqu'au van qui va nous ramener à l'hôtel.
assise, en face de mon père qui est déjà au téléphone avec je ne sais qui, je regarde la vue défilé jusqu'à que nous passions devant la tour effeil.
je sais que ma mère adorait paris, c'est une ville où elle y trouvait refuge apparement, elle avait l'impression que rien n'était impossible là-bas. elle aurait aussi voulu y habiter plus tard, quand nous n'aurions plus besoin de rester proche de la boîte.
— anaëlle sera dans le même hôtel que nous ?
carl- anaëlle ? mais les tesier n'ont pas été invité lana.
— je fronce mes sourcils mais elle m'a dis qu'ils l'étaient pourtant.
carl- impossible, je le saurais sinon.
je comprends pas pourquoi elle m'a menti, elle n'avait aucune raison de le faire en tout cas. je souffle, je me dis que je réglerais cette histoire à mon retour.
je pose ma tête contre la vitre et essaye de fermer les yeux.
une fois arrivée à l'hôtel on récupère les clés de nos chambres et mon père m'annonce que c'est ici qu'ils ont décidés de loger toutes les autres grandes stars qui sont invités à l'événement swravoski.
je monte dans ma chambre et découvre une suite, avec une immense salle de bain, un immense lit, un canapé, une télé et une plutôt belle vue sur la capitale. je m'approche du balcon après être allée déposée mon sac à main sur la table basse, et pose mes avant bras sur les rebords pour contempler la ville lumière.
