𝐋𝐄𝐒 𝐇𝐄𝐑𝐑𝐄𝐑𝐀

Épilogue

Coucou mes nakamas ! (amis en japonais) J'ai eu un imprévu, ce qui m'a empêché de publier hier.

Bonne lecture et désolée pour l'épilogue. C'est un peu long !

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"Et c'est ainsi que L'As de Pique remporte sa deuxième guerre. Une victoire au détriment de cinq morts. Quelques jours plus tard, le lieu de l'accident d'Alessandro Herrera a été ouvert au public pour qu'ils voient les restes de la voiture calcinée. Pour éviter de choquer le public, les corps méconnaissables d'Ezio Herrera et Virginia Salazar n'ont pas été exposé mais ceux d'Ilaria et Angel, si. Les Italiens et Italiennes ont fait un grand déplacement pour rendre un dernier hommage à la famille la plus mythique et admirée d'Italie : Les Herrera. Il y a eu 20.000 personnes aux funérailles.

Fin"

Je ferme le livre, à la fois impressionnée et choquée par cette fin.

-Alors ? Alors ? Alors ? Qu'est-ce que t'en penses !?

Je regarde Genma avec un sourire.

-C'était un peu long mais j'ai beaucoup aimé, merci de m'avoir prêté ton livre.

-Oh...pas de quoi ! Tu n'as pas pleuré ?

-Non, j'étais juste émue mais mes larmes n'ont pas coulé.

-Wow ! Moi, j'ai laissé toute mon âme dans ce livre.

Je regarde le bouquin posé sur la table avec un léger pincement au cœur.

Du début à la fin, c'était juste un livre que je lisais.

Un livre écrit par Stelliana Olivieri.

Les Herrera.

-C'est trop bizarre, la protagoniste de l'histoire porte ton prénom et les autres personnages ont les prénoms des plus grands criminels de ce pays.

-C'est vrai que c'est perturbant.

-Sinon, c'est qui ton perso préféré ?

-Mhh...je les ai tous aimé mais je dirai que j'ai une petite préférence pour Ezio. C'est lui qui m'a fait ressentir le plus d'émotions. Et toi ?

-J'ai beaucoup aimé Ilaria. J'avais envie de la tuer parfois mais j'ai fini par l'adorer. En fait, je l'admire parce que malgré tout ce qu'elle a vécu, elle s'est battue pour prendre sa revanche sur la vie. Elle est si courageuse...j'aimerais être comme elle.

-Hé ma belle, murmuré-je en posant ma main sur la sienne. Tu es courageuse toi aussi, ne doute pas de tes capacités.

Elle répond par un hochement de tête avec un sourire.

-Tu as lu le mot de l'auteure ?

-Quel mot ? demandé-je.

Elle ouvre le livre puis me montre la dernière page du livre. Je le récupère et commence à lire.