Chapitre 21

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Bakugo arriva de derrière Inasa. Il était accompagné du garçon aux cheveux rouges, Kirishima. Le blond me lâcha un regard énervé suivi d'un soupir d'énervement : « kss » avant de passer à côté de moi.

D'incompréhension, je fronçai les sourcils. Bakugo est sûrement la personne que je comprends le moins. Il est tellement contradictoire. Il peut passer de la douceur à l'agressivité, de la culpabilité à la haine en une fraction de seconde. Ses sauts d'humeur m'insupportent parce qu'ils le rendent énigmatique, indescriptible.

M. Aizawa et Mme. Agastuma arrivèrent ensemble, ils se mirent devant nous, nous guidèrent vers l'intérieur puis la brune prit la parole :
« Chers camarades rivaux, commença t elle, vous allez vivre ensemble ici sous le même toit. Chaque paire de classe dispose d'un bâtiment attitré. La seconde A de Shikestu est avec la seconde A de Yuei, les secondes B pareil, de même pour les premières A, etc. Le modèle est le même partout: les filles à droite, les garçons à gauche. Au rez-de-chaussée vous trouverez l'espace commun: la salle à manger, les salles de bains, la buanderie et tout le reste. C'est une expérience nouvelle pour vous et pour nous, les professeurs, alors on espère que vous saurez vous tenir à carreaux. »

« Est-cque j'ai bien entendu? Les salles de bain sont communes! Le rêve. » avait lancé un élève.

« Elles ne sont pas mixtes. Désespéré, M. Aizawa continua, Les chambres sont reparties entre 4 filles et 4 garçons à chaque étage, du 1er au 4eme étage. Elles sont équipées de tout ce qui vous ai nécessaire, et plus, vous avez même un balcon: le luxe. Nous vous avons déjà attribué une chambre, les affaires que vous nous avez envoyées vous y attendent. C'est tout pour nous, la journée d'aujourd'hui est libre, je vous conseille vivement d'en profiter pour vous installez et décompresser, demain sera une journée intensive en entraînement. »

Alors que les professeurs venaient de quitter le bâtiment, certains s'exclamèrent de joie

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Alors que les professeurs venaient de quitter le bâtiment, certains s'exclamèrent de joie. Ils étaient tout excités à l'idée de cohabiter tous ensemble malgré le contexte. L'effectif de chacune de nos classes était réduit de moitié, car certains camarades n'ont pas obtenu l'autorisation. Cependant, cela ne nous pas empêché de nous rassembler dans la pièce commune pour discuter après nous être installés. Nous avions retrouvés la complicité que nous avions au camp d'été et c'était vraiment cool.

J'avais vu mon père quelques fois pendant le mois de révision avant le camp d'été. Donc ça devait faire un peu plus d'une semaine que l'on ne s'était pas vu. L'atmosphère se faisait de plus en plus maussade et pesante à chaque visite. Il semblait perdre lentement sa lumière dans les yeux, comme s'il était davantage triste et que ses rêves ne suffisaient plus à entretenir ses chimères. Je refoulais autant que possible ces émotions négatives, mes camarades réussissaient à me les faire oublier.

Je ferai de ses rêves une réalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant