PDV Luz
- Eh bien à vrai dire Alvilla la vie n'a pas toujours été facile, ne croit pas que j'ai été pouponner ou que je suis une enfant pourris gâtée je vécu des choses horribles !
- Santos tu penses sérieusement que je n'ai rien vécu de pire que toi si c'est pour dire de la merde autant se la fermer Santos. Dit-il en prenant une latte de ma clope
- Alvilla je veux participer à une opération pour la mafia, tu peux me faire confiance en plus tout à l'heure tu m'as dit oui je veux participer à la prochaine immédiatement.
- Je te trouve bien pressé Santos mais tout viens à qui c'est attendre ou un truc dans le genre du moins
- Cet arbre me rappelle ma mère, il est grand fort, majestueux et orné de somptueuse pétales de fleurs et de fleurs. De l'extérieur on dirait qu'il est fort et peut tout supporter, alors qu'en fait il est très fragile et peut succomber à n'importe quel moment de l'année.
- Tu es drôlement poétique ce soir Santos.
- C'était une mère extraordinaire elle quittait la tristesse qui l'a rongeait nuit et jours pour s'occuper de mon frère et moi.
- Elle est morte comment ?
- Elle s'est fait tirer dessus durant une fusillade, elle était partie faire les courses pour mon anniversaire, je voulais absolument les Tamales de ma mère et il lui manquait quelques ingrédients elle est partie puis elle n'est jamais revenue. Mon père s'inquiétait puis on entendit quelqu'un frapper à la porte. Mon père ouvrit puis vit un jeune policier il devait avoir 18 ans à peine annoncer mon père que sa femme, la mère de ses enfants, ma mère a été tuée durant la fusillade du supermarché. C'était de ma faute, C'était à cause de MOI qu'elle s'est fait tué, à cause d'un caprice d'un enfant pourris gâté que ma mère est morte... Dès mes 13 ans je travaillait le matin de 4h à 10h dans les marchés et le soir de 17h à 23h dans supermarchés pour nourrir mon père malade et mon petit frère parce que c'était de ma faute si elle n'était pas présente aujourd'hui... J'aurais parié qu'il y avait une onde de tristesse sur ce visage froid et glaciale mais il resta impassible pourtant même moi qui suit aussi froide et impassible j'aurais émis une expression mais pas lui.
- Ce n'est pas de ta faute si elle est morte Luz tu n'as fait que ton bouleau de petite fille ta mère a voulus te faire plaisir c'est son travail de maman. dit-il en se rapprochant de moi et en prenant une mèche de mes longs cheveux ondulés pour la placer derrière mon oreille.
Je ne sait absolument pas ce qu'il c'est passé mais son regard me déstabilisait tellement, ses grandes mains musclés qui replaçait ma mèche, puis il les descendis jusqu'à mes poignés qu'il caressait délicatement de ses doux doigts. Il n'arrêtait pas de me toucher les mains. Cette sensation était la même que nous avions échangés dans la cuisine. A ce moment là plus rien n'existait autour de moi mis à part lui et ces yeux qui ne cessaient de me fixer moi, j'ai avancé ma tête mais je ne sais pas ce qu'il m'a prit je l'ai embrassé, nos lèvres rentraient en contact, j'avais peur qu'il ne m'embrasse pas en retour mais pas du tout il a prit mon visage dans ses mains musclés il caressait mes joues de ses doigts délicats et cette sensation était toute nouvelle pour moi j'était en sécurité.
Ses lèvres avaient un goût de nicotine et pourtant je ne cessait d'augmenter la pression sur ses lèvres. Il voulait franchir la barrière des lèvres et il glissa sa langue à travers les miennes comme si sa vie en dépendait, prenant conscience que la température venait d'augmenter sur la terrasse je décida de lui enlever sa chemise je tirait sur les boutons c'était comme vitale pour moi le voir, le revoir torse nue que chaque parcelle de sa peau me touche, me frôle que nos corps se touchent. A vrai dire je ne le connaissais pas vraiment mais ce qu'il y avait entre nous était plus nocif que la drogue. Nos corps appelait à l'aide pour rentrer en contact l'un l'autre. La température augmentait il me prit par les fesses et moi je m'agrippais à sa nuque et à son dos tout en s'embrassant. Il m'embrassait dans le cou, sur les lèvres, sur la naissance de ma poitrine, et j'adorais ça la façon dont il embrassait différemment chaque partie de mon corps, mes jambes encerclèrent sa taille et mes pieds frôlaient ses fesses. Il me déposa sur le lit et se mit sur moi puis il continua à m'embrasser et la ses mains , ses mains parcouraient tout mon corps à la recherche du moindre point faible je sentais déjà son érection au niveau de mon entre-jambe. Nos baisers s'intensifiaient tandis que le jours venait à peine d'arriver. D'un coup Eliano se leva et sorti de la chambre sans rien prononcer ni même dire quelque chose. J'étais assez contente qu'il soit parti car j'aurais été super gêné et j'aurais dû le stopper car ça aurait put allez plus loin qu'un simple baisé. J'étais assez fatigués alors je décida d'aller me coucher enfin après ce qui venait de se passer
Le lendemain à 10h
Le lourd soleil de la résidence me brulait le corps, je me réveillais doucement dans mon lit et des images d'hier repassèrent en boucle et le goût de ses lèvres me revinrent en tête. Je frôlais mes lèvres avec mes doigts come si de simples baisers avaient pu me marquer je regardait l'heure sur le réveil, il était 10h09 je sortie de mon lit pris une douche m'habilla et j'allais ouvrir la porte mais j'appréhendais, de le voir , de le voir après ce qu'il c'était passé cette nuit. Allait il faire comme ci rien ne s'était passé où est ce qu'il allait se réjouir et se moquer de moi je n'en avais aucune idée mais je pris mon courage à deux mains et descendis dans la cuisine mais rien, personne n'était là pas de Alvila ni de personnel. J'étais enfin seule et ca me laissais du temps pour voir ce que j'allais faire, réfléchir à ce que j'allais lui dire quand je le verrais ou comment j'allais réagir face à lui.
Pendant ce temps je me fis des oeufs dans une poêle le temps qu'il arrive.
Il était maintenant 14h et pas un signe de vie du jefe, j'étais seule dans cette villa devant la télévision à regarder une vielle télénovelas pourris que ma grand-mère regardait quand j'entendis un bruit dehors. Prise de panique je pris un couteau, pris le téléphone dans le bureau d'Eliano et l'appela, il y avait son numéro personnel de noté sur un papier je l'appela et lui dit au téléphone.
- Eliano pas le temps de dire bonjour je crois qu'il y a des gens dans la résidence j'entend du bruit viens vite s'il te plaît. Merde Luz, dans quelle merde tu t'es fourrés jeune fille.
Je sortie de la maison doucement et comme ci je me croyais invincible je criais et demandais
- OOOH si quelqu'un est là fais gaffe j'ai une arme sur moi tu t'approche et je te bute connard tu as compris et ne t'avise pas de me tuer j'ai prévenue le chef Alvila il devrait arriver d'un moment à un autre je te conseil de fuir CONNARD !!!
Je vis une ombre qui fonçait tout droit sur moi, je courus mais l'ombre se rapprochait de plus en plus de moi alors je me stoppas et cria à l'aide en espérant qu'Eliano soit juste à côté l'ombre me sauta dessus.
-AAHHHHHHH!!!
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EL SERPIENTE
RomanceTijuana,ville réputée pour sa dangerosité ainsi que pour le célèbre cartel de los libertados dirigé par le cruel Eliano Avila surnommé el serpiente,ce cartel familiale contrôle la ville depuis des années et rend le quartier toujours plus risqué pou...