EL SERPIENTE

Danger

PDV Luz

Je sens encore sont regard se plonger dans ma nuque, je suis contente qu'il me regarde comme ça sa me rassure, il me tend sa main en me regardant de haut en bas je lui tend la mienne nous avançons puis j'aperçois la voiture dans laquelle nous allons voyager dans une Rolls Royce je n'en avait jamais vue une vraie elle est tout en noire elle est magnifique. El serpiente m'ouvra la portière pour que je puisse m'asseoir puis alla s'asseoir pour conduire, je remet correctement mon décolleté et vois l'homme me mater ouvertement. Nan mais il a un de ses culots celui là.

- Je ne vous dérange pas peut-être, un problème je crois que vos yeux sont un peu trop vers le bas pour conduire il faut regarder en face monsieur. Lui dis je un peu énervé il me regarda puis dit d'un ton monotone 

- Arrête de me vouvoyer je m'appelle jefe ou el serpiente c'est clair. Les vouvoiements c'est que pour les prostituées que je m'envoie en l'air chaque nuit et ne m'appelle pas monsieur non plus . Et puis mes yeux regardait bien en face et si tu croyais que je regardais tes pauvres seins qui ne sont pas beau à regarder tu rêve tu devrais te les refaire, femme refaite, femme parfaite . dit il en se marrant 

- Classe monsieur le Jefe c'est donc ça votre vie se taper des puta et ne jamais avoir d'enfant tomber amoureux. Ce ne sont que des puta sur puta le sexe est si primordiale pour vous, vous êtes des bêtes enragées ou quoi vous les chef de cartel . 

- Rien de mieux que qu'une bonne partie de jambe en l'air et d'une bonne cigarette mais bon ça tu ne le saura jamais. Ca c'est bien dommage d'ailleurs 

Le jefe accéléra car il voyait que nous allions être en retard je remarqua d'ailleurs ses mains sur le volant pas un espace de peau sans tatouage tout son corp était couvert de tatouage et ses mains, ses bras musclés j'avais beau me mentir à moi même cet homme était magnifique des yeux verts des beaux cheveux noir ébènes et musclé très musclé il devait séduire plein de femme. Mais bon vue qu'il était estúpido ( stupide ) et cruel je le trouvais pas vraiment attirant. Nous arrivons devant un gigantesque manoir où pleins de limousines stationnaient devant, il prit ma main et me fit sortir de la voiture avec mes talons ça a été assez compliqué mais j'y suis arrivée, nous entrons à l'intérieur et j'y découvre un énorme lustre plein de diamants qui prend tout le plafond de l'entrée puis nous entrons dans le salon où le jefe nous prend à boire puis un homme vient nous voir un petit homme chauve et grassouillet qui m'a l'air fort agréable et gentil  il s'approcha de nous et parla au jefe je n'entendait rien mais il parlait d'un sujet sérieux puis El serpiente se tourna vers moi et me dit.

- Et si nous allions autre part tu n'as pas l'air d'apprécier ma surprise ça te fait sortir et puis ce n'est pas tout les jours qu'on passe dans une soirée de chef de cartel vient. 

- je te suis chef 

Nous arrivons dans une autre pièce mais cette fois-ci elle était très obscur avec quelques bougies allumées sans plus je regardait et je ne voyais que des hommes avec des prostituées qui leur faisait je ne c'est quoi des gâteries visiblement. Nous repartions et le jefe me dit à l'oreil

- Si tu ne fais pas de connerie tu aura le droit à une petite surprise pas de cellule pendant 2 mois j'espère ne pas me retrouver mal à l'aise à cause de toi qui ne cesse de m'emmerder bon je te laisse .

Il m'abandonne comme ça seul dans un endroit rempli de criminel sans personne que je connaissance dès qu'il m'a laissé seule un tas de jeunes hommes ses ont approchés de moi un homme m'a prit puis m'a emmener de force dans les escaliers je n'ai pas vues qui c'était je sentais juste mon bras s'étirer à force de tirer dessus puis on me jeta dans une chambre et l'homme que je ne voyais pas dans le noir s'approcha de moi, je vis sont visage et là je remarquais que cet homme était soul et défoncé à la cocaïne il me poussa sur le lit et renifla mes seins tout en essayant de toucher mon sexe il commença à resserrer sa main sur moi et même en me débattant je n'arrivai tout de même pas à lui échappé. Ma seul option était de crier mais je n'y arrivais pas alors je consentis à me faire violer sur ce lit avec cet homme en face assoifé de sexe qui ne pensait qu'à m'enfoncer son engin dans mon sexe. Quand d'un coup je vis la porte s'envoler c'était le jefe qui arriva à mon secours il frappa l'inconnu me porta et me ramena en bas j'était sous le choc à deux doigts d'être violée et c'est grâce au chef que je ne l'ai pas été. Dans la voiture aucun de nous ne parlait moi encore sous le choc et lui énerver, énerver mais je ne sais pas pourquoi qu'avais je fais pour le mettre autant en colère. Nous roulions dans le silence la vitre baissé et le brise me caressait les cheveux, la route était étrangement plus longue qu'à l'allé peut-être parce qu'aucun de nous ne parlait. En arrivant à la maison il sorti en claquant la porte de la voiture et monta dans sa chambre je suppose, alors je décida de monter et de rentrer dans ma chambre aussi.