D-Day

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PDV Luz 

Le mariage était prévu pour après l'accouchement et c'est vrai qu'après sa demande les nuits devenaient de plus en plus courtes et je tenais de moins en moins le rythme à cause de cet énorme ventre qui prenait de plus en plus de place dans notre vie. Eliano continuais ses affaires avec son frère et me rejoignais à la maison le soir dans la casa rosada de cuba. Cette maison avait quelque chose de magique qu'aucune autre n'avait. 

J'en étais à mon 9ème mois de grossesse et je ressemblais à une boule, pour l'instant il n'y avais eu aucun problème de vengeance. Tout allais pour le mieux chez les Alvila et j'allais bientôt en devenir une. J'étais allongée dans notre lit, un paquet de chocolat à la main devant ma Télénovélas préféré. 

- Carino qu'est ce que tu

- CHUUUT Javier est sur le point d'annoncer à Rafaella qu'il l'aime depuis toujours. 

Je suivais cette série depuis le début de ma grossesse et il se pourrait que je me soit beaucoup attaché au personnages ! Une fois l'épisode terminé Eliano s'avança vers moi et m'embrassa sauvagement puis il se détacha au dernier moment. 

- Luz, il faut préparer la valise prénatale tu va bientôt accouché il faut qu'on s'en charge pour pas être pris au dépourvus bébé. 

- Bébé, t'inquiète pas je gère je sais que j'accoucherai pas cette semaine tiens regarde je sors de ce lit hyper facilement regarde moi cette souplesse ! 

Je sauta du lit au sol avec facilité quand j'entendis un craque puis mes cuisses devinrent trempée et mon mari me regarda choquer par ce qu'il venait de se passer sous ses yeux. 

- Bon je crois que Dieu a voulus me prouver que j'avais tort, je crois que je viens de perdre mes foutu eaux. 

Eliano me déplaça dans la voiture m'y installa et me dis de souffler les contractions étaient de plus en plus proche et était de plus en plus forte. Il m'était sa main sur mon ventre comme pour dissuader le bébé de sortir dans la voiture et faisait que de me répéter que ça allais bien se passer et que je n'accoucherai certainement pas dans sa caisse. 

- Bébé j'ai mal ! 

- On est arrivé Carino ils vont s'occuper de toi. 

 Deux femmes me mirent sur un chariot et me transportèrent dans une salle toute blanche les lumières m'aveuglait ou étais-ce la douleur ? C'est alors qu'une infirmière rapprocha sa tête de la mienne et me demanda de pousser et de souffler en même temps. 

- Ou est mon mari je veux mon maris ? 

- Il arrive madame il faut pousser, il faut pousser puis soufflez ! 

- Naan il faut attendre mon maris, je veux le voir, il faut qu'il soit présent avec moi j'y arriverai pas seule ! 

- Je suis là amore, écoute ce que te dis la dame je te tiens la main amore concentre toi et met au monde notre enfant concentre toi sur ça. 

Ces paroles me faisaient du bien et je commençais à pousser en me forçant à regarder mon mari à ma droite à qui je serrais la main, c'est alors que j'entendis le cris d'un bébé c'était lui ou elle, le fruit de notre amour, le nouvel héritiers Alvila ! 

EL SERPIENTEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant