El plan

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PDV Eliano

Quel putain de conne, se barrer pendant que je ne suis pas présent et c'est moi qui doit aller la chercher maintenant. Je mis une chemise ouverte pris deux gun que je plaça à la porté de mes mains et un dans mon pantalon que je puisse le sortir par derrière. J'ouvris la porte et deux hommes m'attendaient ils me braquaient. 

- Maldita sea, que mierda estás haciendo aquí ? ( Putain de bordel de merde qu'est ce que vous foutez là vous?)

- Ecoute moi guapo, on est là sous les ordres de Santiago alors tu vas nous suivre bien gentiment en levant tes deux mains. dit le premier homme, un homme en surpoids la quarantaine je dirais une calvitie au centre du crâne en rigolant. 

- Je crois que votre jefe m'a largement sous-estimer, deux hommes ne suffiront pas à me stopper. Le deuxième home me répondu de manière agressive.

- Ecoute nous petit bâtârd, il y a encore 15 hommes qui t'attendent en bas avec des menottes toute préparé pour tes jolies poignées alors au lieu d'essayer de jouer les gros bras, et les gros durs nous fait pas perdre notre temps et avance. 

Le premier homme me pointa un flingue sur le crâne et l'autre dans le dos, c'est alors que je compris que Santiago voulait que je le rejoigne dans sa tanière, et qu'il avait Luz. Je continua à avancer en sortant du batîment, la lumière m'aveugla, et quand je revue à peu près normalement une quinzaine d'hommes m'attendaient effectivement en bas de mon hôtel.

- On t'a pas menti, et maintenant rentre gentiment dans la camionnette on l'a installé spécialement pour toi. 

Je m'avança vers la camionnette et son coffre puis je fis tombé un de mes gun par terre, c'est alors qu'un des hommes du cartel de Callie le pris dans sa main me regarda, ricana et le jeta au loin, le pistolet tomba près des poubelles. Un autre homme m'appuya sur le crâne et me fit signe d'avancer, on ferma le coffre et avec moi était enfermé 3 autres hommes que je venais à peine de remarquer. 

Nous venions de faire plus de 1 heure de route car ma montre venait de sonner, et je sentis que la voiture commençai a ralentir et à tourner je compris vite que c'était pour se garer alors les hommes coincer avec moi se levèrent et me levèrent de force. 

- Sors de là, le jefe t'attend. 

- Toi tu t'es mis dans une énorme merde à me parler comme ça ne t'en fais pas je te retrouver et je te tuerai tu as bien compris. Tues en position de force mais ça va pas durer. Un serpent ça s'attrape mais ça ne se tue pas. 

- Eliano, pas de paroles aussi vulgaires à mes hommes de mains voyons 

Je vis Javier Santiago depuis le temps que je le cherchai, que je voulais le voir pour le tuer, il frappa dans ses mains et deux autres hommes apparurent et me vinrent me piquer avec une seringue c'est là que ce fut le trou noir pour moi. 

PDV Alejandro 

- Isa resta à la maison j'appelle les hommes on part chercher Eliano, il m'a envoyé son adresse je te tiens au courant n'ouvre à personne. 

Je sortis de la maison mes hommes de mains me suivirent de prêt avec des voitures aux vitre teintées. Nous nous arrêtons à l'adresse qu'il m'avait envoyer je dis aux homes de surveiller les alentours je sentais que quelque  chose venait de se produire. Je monta les escalier et je vis la porte de mon frère ouverte, je courus à l'entré regarda à droite à gauche puis je vis à côté des poubelles un flingue. Le flingue, c'était le gun préféré de mon frère avec brodé en or son nom et prénom c'est alors que je compris. Jamais il ne l'aurait fait tomber par inadvertance. On avait enlever mon frère. 

Après quelques réflexions je compris que Eliano avait été emmener par Santiago mais où se trouvait Santiago. Je me souvins d'un proverbe de la famille Alvila qui disait "Tu perd un Alvila, retrouve sa Mateba". La Mateba était un revolver spéciale que tout Alvila a depuis sa naissance, cette arme lui ai destiné. Notre père nous avait explique que dans chaque Mateba d'un membre de la famille Alvila se trouvait une puce qui permettait à chaque membre de cette même famille de se retrouver. Pour cela il fallait juste que je regarde dans ma Mateba, c'est alors que je pris mon arme dans les mains et regarda si une trappe s'ouvre ou devrais je appuyer sur quelque chose. C'est alors que je compris qu'il fallait ouvrir par le tenant de l'arme j'ouvrit et trouvas une carte de ou nous nous situions. 

Je détectais chaque membre de notre famille y compris mon père et je vis clignoté un point rouge à 1heure de où nous nous retrouvions alors je compris que Eliano se trouvais là bas. Je nota l'adresse l'a donna à un de mes hommes et lui dit de nous y emmener.

Pdv Luz 

Je me réveilla dnas une sorte de cellule en plein sous sol, je venais à peine d'émerger de mon sommeil qu'un homme frappa avec une batte sur mes barreaux puis il me dit. 

- Tu as de la compagnie aujourd'hui beauté. 

C'est alors que je vis arriver tout les hommes arriver en portant un seul, je regardait la scène intrigué de qui pouvait il s'agir c'est alors que je découvris sous mes yeux effarouchés le visage d'Eliano. Comment avait-il put l'attraper lui, le plus puissant chef de Cartel d'Amérique du Sud. Ils le déposèrent dans la cellule en face de moi il dormait encore cela voudrai dire qu'il lui avait injecter du sérum tranquillisant cela voudrai dire qu'il se serait débattu. 

Trois heures s'écoulèrent et Eliano dormais toujours, j'essayais de le réveiller, en vain. Pourtant 30 minutes plus tard il commençait à se réveiller doucement. Il se tourna et me vit, je compris qu'il ne savais pas si c'étais un rêve ou non alors il m'appela. 

- Luz putain de bordel de merde qu'est ce que tu fous là ?

- On m'a enlevé je suppose que toi aussi. dis je en rigolant 

- Rohh la ferme, Santos, on va sortir d'ici c'est pas ce fils de pute de Santiago qui va m'en empêcher 

- Je ne dirais pas ça si j'étais toi. C'était un grand homme brun qui venait d'arriver dans la pièce je compris alors que c'était lui le Santiago du Cartel de Callie. Ecoute moi bien aujourd'hui tu as perdu et je n'hésiterai pas a te faire souffrir le plus possible alors j'ai trouvé quelques idées. Fais la sortir Sergio. 

Un homme me fit sortir je craint le pire je commença à trembler de grosses larmes chaudes  commençaient à perler sur mon visage je me débattu comme je pouvais mais d'autres hommes le rejoignaient et m'emmenèrent directement dans une salle avec juste une table et une chaise ainsi que des couteaux disposé sur cette même table. 

- Acqui Guapita. Dis Santiago en me souriant 



EL SERPIENTEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant