PDV Eliano
Merde, merde, merde qu'elle était cette sensation ? Putain j'ai jamais eu ce genre de sensation en touchant une femme. C'était chaud très chaud, TORIDE ce qu'il s'est passé entre nous à l'instant, cette sensation jamais je n'avais vécu une sensation pareille de ma vie. Ce besoin de continuer à toucher chaque parcelle de sa douce et délicate peau laiteuse à chaque instant. Je repense à ses magnifiques lèvres pulpeuses qui se sont posées sur mon cou cette douce langue qui à tracée son chemin.
Et quand elle a aspiré mon cou j'ai senti une sensation qui m'enivrait dans mon caleçon et particulièrement au niveau de mon entre-jambe. Sa main, sa main qui tirait mes cheveux, ça me faisait gémir plus qu'autre chose qu'elle me tire les cheveux. Quand je l'ai prise par les fesses pour la poser sur le meuble cuisine putain ses fesses ni trop grosses ni trop petites. Sa nuque, sa nuque sucré par le délicat parfum qu'elle a mit sur sa peau et qui me donnait envie de la prendre toute la nuit sur ce canapé, dans la cuisine, dans sa chambre, dans le bureau partout où cela aurait été possible. Ses cuisses charnues et douce que j'avais pressé pour essayer de calmer l'érection dans mon caleçon mais qui n'avait fait que l'augmenter.
Mes oreilles, mes oreilles qui ont subits une atroce et incroyable torture, grâce à sa langue et à ses petits mordillements sur mon lobe qui ont provoqué mon érection ainsi que la mouille dans sa culotte. Mais quand j'ai approché ma main de son entre-jambe elle a fuit et moi je me délectait de ce magnifique moment que nous venions de partager. J'étais dans mon bureau à penser à chaque parcelle de peau que j'avais pu découvrir, chaque points sensibles qu'elle dissimulait aux yeux de tous, chaque points faible qui sont apparus à ma vue ce moment là. Mais elle est partie avant que je puisse tous les découvrir.
Cette femme m'intéressait plus qu'autre chose et plus que ce que je n'aurai voulus croire. Elle se jouait de moi, je voyais bien dans son regard que ce qu'elle venait de me faire c'était pour me déstabiliser et montrer qu'elle détient le pouvoirs, jamais quelqu'un n'avait osé se moquer de moi et se jouer de moi à ce point mais ce qu'elle n'avait pas prédis c'est cette connexion et ce besoin constant d'être lié et de ne jamais se séparer comme des aimants et ça, elle ne l'avait pas prédis ce qui l'a perturbé lorsque je l'ai embrassé dans le cou.
Mais moi aussi cela m'avait perturbé, je n'avais jamais ressentis ça et je ne dois pas plonger, je suis un homme fort solitaire et n'ai aucun point faible, pour travailler dans ce monde on ne doit avoir aucun point faible si l'on veut perdurer. Je suis resté planter les deux mains appuyés sur mon bureau à penser à cette situation et à toutes ces sensations que je vivais pour la première fois de ma vie. Et cela devait être la première fois pour Luz aussi. Elle a fuit à partir du moment où ça à commencé à être sérieux et à être beaucoup plus torride entre nous.
PDV Luz
Je rentras dans ma chambre claqua la porte encore chamboulée par ce moment que nous venions de partager. Cette sensation qui nous avait unis pendant ces 10 minutes qui m'ont parus des heures. En fermant la porte je colle mon dos à celle ci puis glisse le long de la porte, les genoux recroquevillés je range ma tête dedans et repense à cette sensation. Je n'avais jamais ressentis ça avec un homme, je n'avais pas prévus que cela arriverai lorsque j'ai décidée de le déstabiliser. Ce genre de sensation n'aurait jamais dû arriver avec lui, un criminel, un narcotrafiquant, ça aurait dû arriver avec quelqu'un de bien. Je suis sûr qu'il savoure ce qu'il vient de se passer, je l'ai sentis lorsque nos entre-jambes se sont touchés , moi assise sur le plan de travail et lui devant moi. J'aurais dû arrêter de le toucher de lui embrasser le cou à partir du moment où j'ai senti cette sensation dans mon entre-jambe et dans mon corp. J'aurai dû arrêter, merde, merde, merde. Je décide de me relever et d'aller me laver et changer puisque mes vêtements sentent la chaleur qu'a envahit nos deux corps, ma culotte est trempée. Une fois prête je m'installe dans ce grand lit en essayant d'oublier toute ces sensations que j'ai vécus ce soir et de l'oublier lui, lui qui a voler à l'homme qui m'était destiner de me procurer cette sensation pour la première fois.
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EL SERPIENTE
RomanceTijuana,ville réputée pour sa dangerosité ainsi que pour le célèbre cartel de los libertados dirigé par le cruel Eliano Avila surnommé el serpiente,ce cartel familiale contrôle la ville depuis des années et rend le quartier toujours plus risqué pou...