Una Noche Tórrida

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Pdv Luz

- Arrête Luz si tu continue je ne vais pas pouvoir m'arrêter et je te jure que cette fois ci quand tu criera mon nom ce sera pour m'encourager et me dire de ne jamais m'arrêter.

- Et si j'avais pas envie que tu t'arrêtes, hein. Je commença à rapprocher ma tête de ces lèvres mais celui ci déclina et continua son massage.

- Il faut que je te soigne Cariño puis il pris mon index dans ses mains le rapprocha le plus possible de ces lèvres et l'enroba de ses douces lèvres au bout pour enfin remonter jusqu'au bout.

- J'ai envie de toi là maintenant Eliano.

- Pas tout de suite Cariño, je dois d'abord te passer de la crème sur le corps. me dit-il avec un sourire mesquin.

Il pris la crème et m'en passa délicatement sur la brulure puis il la couvrit par les bandages. Je le regardais et ma peau devenait de plus en plus sensibles je n'en pouvait plus. Puis il pressa doucement ses douces lèvres au dessus de mo nombril puis remonta jusqu'à ma poitrine ou il commença à lécher la partie entre mes deux seins. Des frissons se déclenchèrent tout le long de ma colonne vertébrale et ma tête se souleva d'un coup en sentant la douce langue chaude d'Eliano sur mon corps encore refroidis par l'eau glacé.

- J'en peut plus Eliano vient là j'ai envie de toi pour ma première fois je le veux maintenant j'en peut vraiment plus. J'attrapa sa tête puis l'embrassa fortement ce baiser n'avais plus rien de sensuelle, il était bestiale. C'était comme vitale pour moi de l'embrasser.

Eliano inséra sa langue dans ma bouche, il me prit par la cuisse droite pour me mettre sur lui c'est là que je sentis qu'il était très exciter. Son entrejambe était collé à la mienne et je l'a sentait sous moi. Elle était dure, très dure je n'avais envies qu'une chose c'était qu'on se déshabille et de l'avoir pour moi entier ce soir.

- Quítame la maldita ropa de Cariño ( enlève moi tes putains de fringues cariño)

Je commençai à retirer brutalement mon haut où mes seins commençaient à se montrer je me retrouva nue devant Eliano, puis Eliano tira sur mon short et aucun vêtement ne pouvait me protéger j'étais sous la forme la plus naturelles possibles. Eliano retira son short il était en caleçon mais pour le moment je ne voulais pas le déshabiller complètement c'est alors que je décida de faire dériver mes lèvres vers sa nuque et de remonter vers ses lobes. De sa nuque à ses oreilles je déposais des baisers tendres c'était dingues comme la tension entre nous pouvait changer aussi vite de bestiale, animale à sensationnel et tendre d'un seul coup.

En arrivant à ses lobes d'oreilles je les lui mordis c'était une des zones hétérogènes que j'avais découvert d'Eliano la dernière fois il était très sensible à cela. Il poussa un gémissement qui me procura une grande sensation au bas ventre. C'est alors que celui ci me retourna et baissa sa tête pour arriver à ma poitrine qu'il embrassa avec ferveur. Il mordilla la peau de mes seins puis mes tétons.

- HUMM, Eliano plus bas encore.

J'appuyais sur sa tête comme pour lui dire de descendre, de descendre vers un endroit plus sensible et propice à ce que nous étions en train de faire c'est alors qu'il dériva vers mon entrejambe qui dégageait une chaleur dû à toutes les sensations qu'il me procurait je n'avais sentis ça cette proximité cette connexion avec quelqu'un de toute ma vie. Eliano souleva sa tête pour me regarder et me souris d'un seul coup Eliano plongea la tête en bas et transperça mon entrejambe par sa langue qui venait de franchir la barrière. Sa langue dans mon entrejambe me procurait tellement de sensations que je n'arrivait pas à toutes les endurer mon corps se soulevaient tout seul mais Eliano posait ces deux gros bras tatoués sur mon ventre comme pour m'empêcher de me révolter.

Sa main droite vint couvrir mes gémissement et je n'en pouvait plus, mes mains vinrent appuyer sur la tête d'Eliano pour l'inciter à continuer je tirait ces cheveux en même temps c'étaient un moyen pour moi d'extérioriser tout ce que je ressentais à ce moment mes gémissements étaient de plus en plus fort. Eliano ne s'arrêtait pas et continuait tandis que moi je continuait à sombrer dans mes gémissement. Il continua et alla toujours plus profond et vite, je ne sais pas ce qu'il sait passé mais j'atteignis une extase et une sensations extraordinaire dans mon bas ventre c'est là que je compris que c'était mon point G et que je venais de ressentir mon premier orgasme avec Eliano. Il se releva puis j'alla m'installer en face de lui en lui disant de s'asseoir sur le lit. Je baissa son caleçon pour voir apparaître son entrejambe sa partie.

Je n'avait jamais fait de fellation à un garçon mais j'en avais vraiment envie sur lui alors je commençais à la touchais elle était brandis devant moi énorme et toute dure. Je la pris dans mes mains et commença à la lécher en laissant quelques coups de langues sur e bout je le voyais faibles, fébriles la tête en arrières il ne savaient plus quoi faire et cela me faisait atrocement plaisir de le voir comme ça. C'est alors que je pris confiance en moi et la mit entièrement dans ma bouche, je commençais tout doucement de haut en bas tout en faisant exprès de garder un contact visuel avec Eliano.

- Putain Luz j'ai jamais ressentis ça de toute ma putain de... tu es une reine Cariño. Rien que de te regarder comme ça me donnes des envies d'on tu n'es même pas au courant.

- J'espère bien Alvila je ne compte pas m'arrêter là

Puis je l'engloba d'un coup, même si une partie restait encore en dehors de ma bouche car son entrejambe était encore trop grosse pour pouvoir rentrer. C'est alors que je sentis sur ma tête deux mains c'était celle d'Eliano pour m'indiquer de continuer. Je ne m'arrêtait pas et continua jusqu'à ce qu'Eliano atteigne l'orgasme.

- Enlève tes lèvres Luz où je vais jouir dans ta bouche PUTAIIN.

Je ne me sentais pas encore prête à avaler ou avoir ça dans ma bouche alors je m'écarta et Eliano jouit sur le tapis. Nous nous relevions comme pour nous dire que nous n'en pouvions plus et nous nous asseyions sur le lit. Je le regarda dans les yeux et commença à rire.

- Si j'avais sû un jour que tu savais faire ça je t'aurais dis de dormir avec moi dès le début Cariño.

- Maintenant que tu le sais j'espère que c'est ce que tu feras. dis-je en l'embrassant.

Nous nous endormions dans le lit avec moi sur Eliano le corp encore nu épuisé par ce que nous venions de partager.

EL SERPIENTEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant