22. Première fois

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Ce chapitre contient un passage à caractère sexuel, avec des caractères crus. Je suis coupable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez 😉

Je ressentis une sensation étrange. Comme si on m'avais enlevé mon estomac.

« -George...
-Voilà, c'est dit, tu le sais. Je suis fou de toi Ariana. Depuis l'année dernière. Et tu ne peux pas me dire que tu ne ressens rien pour moi. Ce qui s'est passé entre nous cet été, pour moi en tout cas, ça voulait dire quelque chose.
-Oui c'est pour ça que depuis tu ne me calcules plus.
-C'est parce que tu es tout le temps avec Cédric ! Je suis jaloux tu ne le vois pas ?
-Tu as une drôle de manière de le montrer en tout cas.
-Tu ne sais pas ce que ça me coute de te dire tout ça ! Je met clairement ma fierté de côté pour toi.
-Je ne sais pas quoi te dire George...
-Dis moi juste que tu ressens la même chose.
-Mais je ressens la même chose que toi et tu le sais ! Mais ce n'est pas si simple que ça. Il m'en faut plus.
-Mais qu'est-ce qu'il te faut de plus ?
-Des preuves ! »

Après que j'ai prononcé ces mots, George m'attrapa par la taille et me rapprocha de lui.

Et en suite, il m'embrassa. Il m'embrassa comme personne ne m'avais jamais embrasser.

C'était le plus beau des baisers que l'on ne m'avait jamais donné. Il décolla ses lèvres des miennes, me regarda droit dans les yeux.

« -Ça te va comme preuve? me demanda-t-il.
-Ce n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais. Mais continue. »

Il continua alors à m'embrasser. Il me prit par la main et me dit de le suivre.

Je me demandais où il m'emmenait, mais je lui faisais entièrement confiance.

On arriva devant d'immenses portes, puis il chuchota "fraicheur des pins" et la porte s'ouvrit.

On se trouva face à une salle de bain immense.

« -C'est la salle de bain des préfets. On sera plus tranquille ici que dans les couloirs.
-Comment tu as eu le mot de passe ?
-Chut, je t'expliquerais plus tard, en attendant laisse moi te prouver les choses. »

Puis il se remit à m'embrasser. C'était toujours aussi beau, à la fois délicat et passionné.

Puis, la tension commença à monter petit à petit. J'avais de plus en plus chaud.

Les mains de George se baladaient sur mon corps. Elles s'arrêtèrent un petit moment sur mes fesses.

Les lèvres de George avaient quittées les miennes, et elles s'étaient attaquées à mon cou.

Il s'arrêta un instant, me regarda droit dans les yeux, et me dit,

« -Dis moi quand je dois m'arrêter.
-Ne t'arrêtes surtout pas. »

Alors il continua de m'embrasser dans le cou. Il m'entraîna jusqu'à une cabine de douche.

Il savait m'embrasser où il le fallait. A ce moment là, je le désirais plus que tout.

Il continuait de me caresser avec ses mains. Puis, il en glissa une sous ma robe.

Je savais ce qui allait se passer. Ce soir, j'allais faire ma première fois. J'allais l'a faire avec George. Et j'en mourrais d'envie.

Sa main qui était glissée sous ma robe me caressait par dessus mes sous vêtements. Puis, avec ses doigts, il dégagea ma culotte. Il se mit alors à jouer avec mon intimité.

Je savais ce que j'avais à faire. J'étais déjà arriver jusqu'ici avec Blaise. Mais nous n'étions jamais aller plus loin que quelques touches et quelques baisers sur des endroits aussi intimes.

George jouait avec mon intimité depuis quelques secondes, au moment où il glissa un doigt à l'intérieur de moi. Un, puis deux.

De mon côté, je lui défit sa ceinture. Je lui enleva ensuite sa chemise. La vue de son torse me fit ressentir des papillons dans le ventre. Il était tellement musclé, tellement bien dessiné.

Il se mit à genoux, écarta ma robe et commença à embrasser mon intimité. Il savait le faire.

Je perdis tout mes moyens, il me faisait ressentir tellement de plaisir.

Il passa quelques minutes à me faire du bien, puis il se releva. Je compris alors que c'était mon tour.

Je descendit alors son pantalon. Je pris en main son engin par dessus son boxer. Il était dur, ce qu'il m'avait fait quelques minutes plus tôt n'avait pas eu d'effet que sur moi.

Je me mis alors à mon tour à genoux, puis lui enleva le seul bout de tissu qui me séparait de son intimité.

Je me retrouva alors face à face avec l'objet de sa virilité.

Je le pris en main, puis commença à faire des mouvements de va et viens. Puis, je commença à y déposer des baisers.

George gémissait. Je le pris alors en bouche, puis recommença les mouvements de va et viens.

Je fis ça pendant encore quelques minutes, jusqu'à ce qu'il me demande d'arrêter : il n'en pouvait plus.

Je me releva alors, puis il me déshabilla : je me retrouvait à présent nue devant lui. Il se mit à jouer avec mes seins, avant de les embrasser.

Puis, il me colla face à lui, et me pénétra.

Je poussa un petit cri, à la fois de surprise et de plaisir.

Il continua des mouvements de va et viens. C'était lui qui menait la danse. C'était tellement bon.

Un instant, je ressentais tellement de plaisir que j'essaya de m'accrocher à quelque chose, mais j'appuya sur un bouton qui fit couler l'eau. A ma grande surprise, cela rendait le moment encore plus excitant.

Mes pieds ne touchaient plus le sol. J'avais les jambes écartées, et George me maintenait en l'air en me tenant par les fesses.

Nous gémissons tout les deux. Il me donnait tellement de plaisir que j'hurla son nom.

Quelques minutes plus tard, on termina en même temps.

Il se retira, me déposa par terre tout en continuant de m'embrasser. L'eau s'était coupée entre temps.

Il partir chercher des serviettes dans un placard de la salle de bain et revint auprès de moi.

TOME 2. Ariana Black, fille de SiriusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant