Chapitre 19

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Pdv Matthew

Je me réveille en sursaut d'un cauchemar horrible ou Alexis se faisait tué après m'avoir quitté. Je souffle en me redressant, ma tête se tourne en ne sentant aucune résistance sur le drap qui a glissé sur mes jambes.

-"Alexis ?" non non non dites moi que c'est pas réel "Alexis !"

Ma chambre est déserte. Je me lève du lit, me cogne contre le mur avant de me précipiter vers la salle de bain pour voir si ma blonde est là. J'ouvre la porte et soupire de soulagement en apercevant ma femme,la brosse à dent dans la bouche, sous la douche, la bué recouvrant le miroir et la vitre de la douche. Je me retourne pour décoller mes yeux de son corps nue et attirant au possible.

-"Matt, cha va?" demande t'elle

-"Oui oui j'ai juste eu peur en ne te voyant pas"

-"Désolée, j'allais être en retard pour la journée avec les filles. Tu peut aller me chercher mes vêtements, j'ai oublié de les prendre"  je sors de la salle de bain et attrape la pile de vêtements posé sur la chaise dans le dressing. Je ne regarde pas vraiment ce qu'il y a dans mes mains, mon esprits étant hanté par l'image du corps nue d'Alexis.

J'entre dans la salle de bain, pose les vêtements sur le meuble du lavabo avant de sortir. Très vite Alexis sort de la salle de bain, vêtu d'un jean en cuire et d'une grande chemise blanche, le devant entré dans son pantalon. Elle s'attache les cheveux avant de fermer ses bottines. Alexis s'assoit sur sa coiffeuse pour se maquiller légèrement. Je sourie en voyant cette magnifique femme qui termine par me fixer en souriant.

-"Comme ça on dirait vraiment un homme figé dans le temps, ça en ai presque flippant" rit elle en se tournant vers moi avant de se lever.

-"La prochaine fois commence par un bonjour" souriais je alors qu'elle vient se coller contre mon torse et que je passe mes bras autour de son corps.

-"C'est vrai. Bonjour mon amour" Dit elle en m'embrassant. Ses doigts glissant sur mes joues, mes mains possédant sa taille. "Je t'aime"

-"je t'aime aussi. Tu es sure que tu dois partir ?"

-"Oui Matt"

-"Je peut venir?"

-"C'est une journée entre filles. Rien ne m'arrivera d'accord ?"

-"ouais excuse moi"

-"C'est ton cauchemar qui t'a perturbé ? Qu'est ce qu'il c'est passé ?"

-"Comment tu sais?"

-"Je te connais Matthew" me sourit elle en posant un baiser papillon sur mes lèvres "tu veut en parler ?"

-"tu vas être en retard"

-"tu es plus important"

-"tu étais partie, tu m'avais laissé avant qu'un type d'une autre famille de figé ne te brise la nuque"

-"Matthew tu sais que je t'aime. Je ne partirai pas et tout ce passera bien pour nous"

-"allez vas y, mes sœurs vont me tué si je te garde avec moi"

-"d'accord" Elle attrape sa veste en cuire et ouvre la porte de la chambre

-"tiens prend ça" Je lui tend ma carte. Alexis la prend, la regarde avant de me sourire.

-"tu sais qu'il va falloir que je travaille ?"

-"Alex, je peut très bien travailler pour deux"

-"Matt, ça ne se fait plus à notre époque. Une femme travaille aussi et pas seulement pour l'argent, c'est le besoin de bouger et de faire quelque chose"

-"très bien. Tu as une idée ou tu veut postuler ?"

-"A la librairie ou nous avons été la dernière fois"

-"ouais ça serait super"

-"C'est vrai ? Tu aimes l'idée ?"

-"Oui et j'approuve totalement. On s'en occupera demain, va profiter de ta journée"

Il m'a suffit d'un clignement pour que je sens le corps de ma femme se presser contre le mien. Ses bras passent autour de mon cou et ses lèvres se planquent contre les miennes, me dévorant. Je répond à son baiser, appuyant ma bouche contre la sienne. Ses dents me mordent, me faisant lâcher un grognement. Sans que je puisse me contrôler je la plaque contre le mur avec une vitesse qui ne doit pas être supportable pour un humain. Elle gemit contre mes lèvres avant de séparer sa bouche de la mienne.

-"je t'aime" murmure telle.

Je me recule légèrement, la laissant sortir de la chambre. Je souffle et me dirige vers la salle de bain. Je retire mon vieux tee shirt de l'armée ainsi que mon short et mon caleçon avant d'entrer sous la douche. J'allume l'eau qui est encore brûlante. Je comprendrais jamais son besoin de prendre de l'eau aussi chaude alors qu'elle a toujours chaud. Je baisse la température, me lave le corps et les cheveux.

Un flash me vient et je repense à ce que j'ai pu voir tout à l'heure. Son corps nue c'est tenue la. Elle était à ma merci. Sa nuque, ses épaules couverte de ses cheveux, ses petits seins que mes mains pourraient serrer sans difficulté, ses jambes d'où ruissellé l'eau et ses magnifiques cuisses avec ces petits creux dans sa peau magnifique. Comment les hommes de maintenant ne peuvent pas trouver cette particularité des femmes attirantes ? Mes mains s'encreraient à merveille dans sa peau. C'est plus fort que moi, j'ai l'impression de ressentir sa chaleur, son parfum, ses cuisses autour de ma taille. J'ai envie de la prendre. Je ferme les yeux en imaginant son corps contre le mien. J'ai besoin d'elle, j'ai besoin de ça pour assouvir mon envie d'elle.

Dix heures sonne et j'arrive au bureau. Je salue Kate de l'accueil avant de monter au dernière étage. Jenna mon assistante, m'apporte mon emploi du temps d'aujourd'hui avec mon café et les journaux de tout les pays.

Tiens les américains discute encore de l'avortement. Tous des sauvages doublé de barbare dans se pays, bientôt les femmes n'auront même plus le droit de choisir comment s'habiller. Pathétique. Il devrait prendre exemple sur les autres pays, comme la pologne par exemple.

-"bracie ?" (Mon frère ?) Marco entre dans mon bureau ainsi que Martin "Nie pamiętasz naszego spotkania" (Tu as oublié notre réunion)

-"Cholera, przykro mi Martin" (Merde. Pardon Martin)

-"Nic nie jest, jesteśmy tutaj, więc możemy to zrobić teraz" (Ce n'est rien, on est là alors autant la faire maintenant)

-"Jeśli nie przyjechałeś późno, to nie byłoby" (Si tu n'étais pas arrivé en retard, ça ne serait pas arrivé) sourit Marco en s'asseyant sur mon bureau. "Powiedz mi, w końcu to dostałeś przejebane? Jeśli nie spieszysz się, zrobię to" (Dis moi, tu l'as enfin baissé ? Si tu ne te dépêche pas je vais le faire)

-"Dotknij jej, a ja rzuci cię na dno morza zablokowany w bagażniku dziwka" (Touche la et je te jete au fond de la mer enfermé dans la malle de ta pute) le menacais je en le plaquant contre un mur. Il me regarde méchamment avant de me repousser. Martin viens se mettre entre nous en employant un ton froid et son air impitoyable qui ne laisse aucun moyen de reagir

-"wystarczy! Zarządzasz moimi dwoma najwiêkszymi budynkami wtedy lepiej pojednać i zamknij się. Zrozumiano? (Sa suffit ! Vous gérez mes deux plus grands buildings alors il est préférable de vous entendre et la fermer. Est ce clair ?!)

L'humaine Et La Bête Où les histoires vivent. Découvrez maintenant