10.

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Je me réveille avec un grand mal de tête c'est horrible cette sensation dès le matin. Je frotte mes yeux et m'étire mais je donne un cou dans quelque chose ou quelqu'un avec mon bras gauche. Je me relève et regarde autour de moi c'est pas chez moi ça et je suis nu?? Qu'est ce que j'ai foutus, la personne à coter de moi bouge sûrement car il est en train de ce réveiller. Avant de tourner la tête je regarde l'heure parce que je travaille moi même si c'est l'après-midi je dois pas rentrer chez moi trop tard, il est dix heure et demi ça va.

Inconnu- Victoria?!

Je tourne ma tête et je fais les gros yeux. Oh non bordel sur toute la ville il fallait que je tombe sur lui c'est pas possible.

-Monsieur Moormeier!

Payton- Putain c'est quoi ce bordel qu'est ce que vous faite dans mon lit j'ai foutus quoi hier en-

Il se coupe lui même.

Payton- Putain je suis sortie me bourré la gueule c'est pas possible.

Il ferme longuement les yeux un long moment puis les réouvre.

-On à coucher ensemble alors que vous êtes mon patron et j'en ai aucun souvenir!

Payton- Pas de chance moi je me souvient bien quand tu gémissais sous mes coup de reins.

-Arrêtez la situation est déjà assez embarrassante.

Il se place au dessus de moi mais à quoi il joue, il est quand même pas mal déstabilisant.

Payton- Tu peux me tutoyer après ce qu'on viens de faire la nuit dernière..

Il dis ça d'une manière très séduisante et c'est horrible d'essayer de ne pas craquer. Il approche ses lèvres de mon cou et fini par les poser dessus, je ferme les yeux un moment mais reprend mes esprit c'est mon patron c'est très tentant mais non je peux pas. Je le repousse et me lève avec la couverture pour couvrir mon corps.

-Vous êtes mon patron on en peu pas faire ça!

Payton- Je respecte ta décision Victoria mais je suis persuadé que tu va craquer un jour.

Je lève les yeux au ciel et récupère tout mes vêtements, je regarde partout mais je vois pas de capote.

-Vous n'avez pas mis de préservatifs??

Payton- Hier tu m'a dis que tu prenais la pilule je m'en rappelle parfaitement.

-Et les maladies, qui me dis que vous n'en n'avez pas une!

Payton- Je me fais dépister toute les semaines environ quand je couche avec une femme je préfère vérifier après que j'ai rien chopé, je n'est pas de maladie du calme.

-Heureusement.

Je part dans la salle de bain de la chambre pour me rhabiller. Tout mon fond de teint est partie on voit mes blessure mais ça va le drap me cachais le corps bon après le visage ça a tenu, en plus des blessures j'ai des suçons mais de partout surtout sur la poitrine il était affamé ou quoi. Par contre sur tout les hommes de la ville il fallait que je me retrouve à coucher avec mon patron là chance n'est jamais avec moi. Je remet mes sous vêtement ainsi que ma robe bon on a une grosse blessure sur mes jambes qui est voyante mais je vais me dépêcher de rentrer chez moi j'ai même pas de voiture putain je vais devoir faire tout Los Angeles en talon pour rentrer chez moi. Et chez moi je serais confronter à mon connard de mari j'en peu plus cette journée s'annonce super chiante. Je sort vite mais il m'arrête il est habillé et heureusement.

Payton- Je te ramène tu n'a pas ta voiture.

-Pas la peine je-

Payton- C'était pas une question tu as des talons de au moins 12 centimètres tu va pas faire toute la ville comme ça.

Il regarde mes talons et bien sûr vois ma blessure sur la jambe.

Payton- Mon dieu comment tu t'es fait ça, c'est énorme!

Il s'abaisse pour toucher mais je le dégage.

-Je me suis cognée et ce n'est pas vos affaire maintenant ramener moi s'il vous plaît.

Il se relève et on va dans sa voiture je met l'adresse dans le gps et il démarre. Il me regarde avec insistance ça me gêne.

-Pourquoi vous me regardez on va avoir un accident.

Payton- Victoria ta blessure ne peut pas être du à un simple cou contre un mur et tutoie moi vraiment.

-Je ne veut pas vous manquer de respect mais arrêter de vous mêlez de ce qui vous je regarde pas!

Payton- Tres bien, et aussi tu n'a pas à venir au bureau cette après-midi je n'y vais pas moi même c'est inutile aujourd'hui.

-Très bien monsieur.

Il me ramène jusqu'à chez moi je le remercie quand même et passe la porte de mon bâtiment. Je prend l'ascenseur pour allez jusqu'à chez moi je passe la porte et je retrouve Sandro en pleins milieu qui fait les 100 pas. Quand il me voit il fonce l'enlacer j'ai remarqué qu'il avait les larmes au yeux. Je le repousse rapidement.

Sandro- Je suis tellement désoler..

-Sandro tes excuse ne suffirons pas tu m'a trompé c'est la pire chose.

Sandro- Je sais et ce que je te dis est vrai je n'est rien bu ni fumer. J'ai merder au plus au point mais je t'aime plus que tout j'aimerais tellement tout effacer j'ai été le pire pour toi je le sais tu mérite tellement mieux mais je t'aime. Mon coeur ne bat que pour toi.

-Ton coeur bat pour ta putain de drogue oui!

Sandro- Non pour toi! Je sais pas comment faire pour que tu me crois c'est impossible je sais, moi même je ne me croirais pas mais reste avec moi s'il te plaît ne part pas. Tu es essentiel à ma vie elle n'a plus de sens si tu n'es pas avec moi.

On se regarde dans les yeux, je sais pas quoi faire je l'aime aussi mais à chaque fois il me dis de belle parole et il fait jamais ce qu'il dis.

Sandro- Je t'aime.

Il m'embrasse doucement je vais regretter mais plus tard la je suis juste heureuse de l'embrasser le vrai Sandro pas bourré de drogue.

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Tori elle est complètement stupide elle ce fait toujours reprendre en mains par Sandro c'est trop.

 He saved meOù les histoires vivent. Découvrez maintenant