POINT DE VUE DE STYX :
- Fais pas la sainte ni touche Alice, entendis-je.
Je reconnaissais cette voix.
Anderson.
Le bouffon d'Anderson.
Je me dirigeais vers le couloir où j'entendais les voix.
Avant de tourner, je vis Belov au bout du couloir, mais au même moment j'entendis une fille hurler. Je courrais en direction des cris et vis Anderson et un de ses potes en train de frapper une fille.
- C'est très malin de s'en prendre à plus faible que soit, crachais-je.
Anderson se retourna et quand il me vit, un sourire étira ses lèvres :
- Jones.
- Dis-moi Anderson, t'es aussi faible que ça pour tabasser une fille ?
Il s'avança vers moi et répliqua :
- Dis-moi Jones, t'es si bonne que ça pour que Belov te gardes à la fin du cours ?
Je haussais les sourcils avant de voir un homme taper dans ses mains.
Le proviseur, accompagné de Belov.
Génial ça !
- Monsieur Anderson, il faut croire que notre entrevue hier matin n'est pas été suffisante, commença le proviseur.
Je bousculais Anderson avant de m'accroupir et de prendre la main de la fille pour l'aider à se relever.
Tu vas avoir un putain de cocard ma jolie !
- Merci, me glissa-t-elle.
Le pote d'Anderson s'excusa auprès de la fille.
- Je pense qu'une exclusion temporaire serait une bonne solution, proposa Belov.
Venant d'un mafieux c'est le pompom.
Le proviseur se pinça l'arête du nez.
- Emmenez Mademoiselle à l'infirmerie, ordonna-il au pote d'Anderson.
- Oui Monsieur.
Alice et le garçon disparurent du couloir quelques secondes plus tard.
- Dans mon bureau, grogna le proviseur en désignant Anderson.
Ce dernier ricana et me glissa avec un sourire malicieux :
- Retourne sous le bureau.
Je le plaquais violemment au mur en lui donnant un coup de tête.
- Je n'ai pas besoin de passer sous le bureau, sifflais-je.
- Mademoiselle Jones, s'énerva le proviseur.
Belov se plaça entre Anderson et moi pour nous séparer.
J'ai tellement envie de te buter Anderson putain !
- Dans mon bureau Monsieur Anderson, soupira le proviseur.
L'élève récupéra son sac à dos qui était au sol et le plaça sur son épaule. Puis, il suivit le proviseur jusqu'à son bureau.
Alors que je m'apprêtais à partir, Belov me retient en m'agrippant le poignet.
- Il faut que je te parle.
Je me dégageais :
- Je ne suis pas psychologue. Vous voulez parlez ? Prenez rendez-vous avec un spécialiste.
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STYX | T1
FanfictionStyx Jones s'est faite renier par son père car elle a refuser d'épouser un mafieux pour les affaires. À son arrivée à Moscou, elle reprendra le train de vie d'une étudiante banale, en allant à l'université. Malheureusement pour elle, son professeu...
