Chapitre 17 : Le braquage du siècle

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21 octobre 2016
Je me réveille et la première chose qui me vient à l'esprit est que c'est aujourd'hui, c'est le grand jour, nous allons aujourd'hui rentrer dans Fabrique nationale de la monnaie et du timbre et faire le plus grand braquage jamais organisé.
Ce matin il y a un mélange de stress et d'impatience du fait de ces 5 longs mois de préparation pour le casse. Les cours du Profesor n'étaient que du théorique maintenant place à la pratique.

Tout le monde se prépare en silence, la concentration est présente, chacun se remémore la première partie du plan dans sa tête.
J'enfile un tee shirt gris pour aller en dessous de ma combinaison rouge puis mes chaussures noires et je prends mon masque de Dali qui nous permettra de ne pas nous faire reconnaître par la police, notamment

J'enfile un tee shirt gris pour aller en dessous de ma combinaison rouge puis mes chaussures noires et je prends mon masque de Dali qui nous permettra de ne pas nous faire reconnaître par la police, notamment

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Tout le monde commence à s'installer dans la camionnette qui nous transportera jusqu'à l'endroit où nous intercepteront un convoi de la police en direction de la Maison de la monnaie.
Je suis la dernière à partir de la maison, el profesor m'accompagne afin de donner les dernières consignes à tout le monde.

"Si il y a le moindre problème, je te fais confiance, tu me préviens. Je dois être au courant de tout ce qui se passe dans la Fabrique, notamment pour les négociations avec l'inspectora Murillo" me dit el Profesor

"Je veillerai à ce que tu sois au courant et que tout se déroule comme prévu.

Profesor je te dis au revoir maintenant"

Je lui fais un câlin, il est assez mal à l'aise, il ne doit pas avoir l'habitude d'avoir de contacts physiques, ce qui me fait bien rire.

"J'espère qu'on se reverra..." Je lui chuchote

"Bien sûr qu'on se reverra, et je te promets que ta vie ainsi que la mienne sera changé à tout jamais"

"Te quiero mucho Profesor" je lui murmure

" Yo también te amo Athènes..." Il me répond de la manière la plus sincère

Nous arrivons devant la camionnette, je monte dedans, el profesor prend la parole:
"N'oubliez pas qu'à la moindre goutte de sang versé nous ne serons plus Robin des bois mais une bande de crétin"

Nous nous regardons tous et hochons la tête pour montrer notre approbation.

"Je vous souhaite bon courage, je m'occupe de la police et des négociations, concentrez vous bien sur les otages, le plan d'évasion et l'argent.

Ce braquage nous ne le faisons pas que pour l'argent, nous le faisons pour montrer aux gens qui sont des pauvres malheureux de la société comme nous, que nous pouvons changer les choses...

La prochaine fois que nous nous reverrons notre vie aura changé à jamais..." Finit il par nous dire

Je croise son regard une dernière fois avant qu'il ne ferme les portes de la camionnette et qu'Oslo démarre.

Après 1h de route nous arrivons sur une route de campagne déserte où nous intercepteront la voiture de police qui escorte un camion avec le matériel pour la fabrication de billets.

Quand nous voyons la voiture de police arriver nous menaçons les policiers avec nos armes et de fausses bombes. Nous arrivons à introduire tout notre matériel dans le camion de marchandise et nous prenons en otages les policiers et conducteurs des deux véhicules respectifs.
Je suis dans la voiture de police avec Berlin pour vérifier que le policier qui conduit ne fasse pas de problèmes.

Helsinki s'occupe avec Denver du conducteur du camion pendant que les autres se cachent avec tout le matériel à l'arrière du camion.

Les filles Tokyo et Nairobi ne sont pas avec nous, elles ont pris une autre voiture pour se rendre dans la Fabrique du côté visiteur et commencer à rassembler les otages de leur côté quand nous arriverons.

Le trajet jusqu'à la Fabrique se passe très bien, nous restons en contact avec Berlin avec le Profesor grâce à des oreillettes.

Point de vue de el profesor:

Je suis installé dans mon hangar qui me servira de QG pendant tout le temps du braquage. Je suis bien sûr stressé, nous faisons après tout le braquage du siècle. Je sais très bien que je suis le cerveau derrière ce coup, si il se passe quelque chose je m'en voudrai, j'ai embarqué ces gens dans ce casse.

Je reste en contact avec Berlin et Athènes pour le moment tout se passe bien.

Je me mets sur un canal où seul Berlin peut m'entendre.

"Berlin fait tout pour que le braquage se passe correctement, j'ai confiance en toi et n'oublie pas ta promesse..."

"Je la protégerai..." Me coupe t-il

Point de vue Athènes :

Nous arrivons à la zone de débarquement de la marchandise, nous rentrons grâce à la coopération du policier conducteur. Quand nous arrivons à l'intérieur de la Fabrique tout le monde sort et menace les employés.

C'est parti, le plan commence !

"Tokyo et Nairobi vous pouvez passer à l'action !" Je leur dit à l'oreillette

"Que le show commence !" Me répond Nairobi enthousiaste

Avec Denver et Helsinki nous rassemblons les otages qui sont des employés dans le hall.

Rio de son côté s'occupe de pirater les caméras de surveillance pour donner l'accès à el Profesor et s'occupe de bloquer toutes les portes d'entrées.

Une fois tous les otages présents dans la bâtiment rassemblés dans le hall, Moscou et moi même nous mettons à tous les compter pour savoir si tout le monde est là après avoir demandé le nombre de personnes présentes aujourd'hui à un employé.

"Profesor tout le monde est dans le hall après vérification !" Je dis au Profesor dans l'oreillette

"Parfait Athènes. Dis à Rio que je viens de me connecter aux caméras de surveillance."

"Je vais lui dire"

Pendant que je vais voir Rio, Moscou, Denver et Oslo distribuent des masques aux otages pour qu'ils ne voient rien et que l'on puisse enfin enlever nos masques de Dalì.

"Rio" je lui dis en lui touchant l'épaule
"Le Profesor a réussi à se connecter aux caméras"

"Tant mieux. Je viens de finir le verrouillage des portes" il me répond

Je hoche la tête et repars vers les otages à côté de Berlin.

Berlin me fait un signe pour me dire de commencer à m'adresser aux otages

"Tout d'abord j'aimerai présenter mes excuses, je sais que ce n'est pas agréable de finir sa semaine comme cela." Je commence

"J'aimerai vous souhaiter la bienvenue dans notre belle famille d'otage" finit par dire Berlin avec sa voix si caractériel et imposante

"Vous allez participer au braquage du siècle..."

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Holà a todos
J'espère que vous allez bien
Nous entrons dans le vif du sujet avec l'entrée dans le lieu du braquage
Je suis hyper contente car nous sommes bientôt aux 1000 vues sur l'histoire, c'est juste incroyable !
N'hésitez pas à commenter et voter pour ce chapitre
Je vous dis à la semaine prochaine et bonnes vacances à ceux qui viennent de terminer leurs épreuves !
Besos a todos

Todos somos resistenciaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant