Chapitre 18 : Premières minutes...

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Berlin continuait son petit discours de présentation à nos otages
Avec Denver nous nous occupons de récupérer l'ensemble des téléphones des personnes présentes dans la maison de la monnaie, ainsi que leur code pin. J'entends Denver rigoler lorsque qu'un des otages lui donne son téléphone, je m'approche voulant m'amuser aussi un peu.

"Ton nom?" Je demande à l'otage en face de Denver

"Arturo Roman, directeur de la Fabrique" me répond t-il

"Très bien Arturito" je continue en riant voyant son visage se décomposer

"Ce cher Arturito a comme code pin 1234" me dis Denver en rigolant ce qui a le don de me faire rire également

Je tape gentiment sur la tête de Arturo et lui demande comme les autres de mettre un masque sur ses yeux

"Après cet apparté mafois amusant, continue de ramasser les téléphones Denver, je dois faire quelque chose"

Il part continuer son travail accompagné de Tokyo qui avait fini de décharger tout notre matériel avec Helsinki, Oslo et Moscou.

Je m'avance vers une dame d'une trentaine d'année, enceinte, qui est au bord de la crise dangoisse. Je lui prends ses mains

"Madame, je sais que c'est un braquage que nous avons des armes, que l'on est dans une atmosphère plutôt stressante mais s'il vous plaît respirez avec moi calmement" je m'adresse à elle

Nous respirons pendant quelques minutes ensemble, je lui lâche les mains quand je vois qu'elle se calme

"Pensez à votre bébé, je ne pense que cela soit bon de stresser pour lui.
Quand nous aurons fini ce que nous devons faire, je vous emmènerai dans une salle plus au calme où vous pourrez vous reposer" je lui dis d'une voix très calme pour essayer de la rassurer

"Merci..." me réponds t'elle avec un petit sourire

"Votre prénom ?"

"Émilia"

Je lui fais un clin d'oeil et repart vers Berlin

"Elle est enceinte de combien de mois?" Me demande Berlin en designant Émilia

"6 ou 7 je pense, je l'emmènerai dans un bureau plus tranquille plus tard, une fois la première phase du plan terminée" je finis avant de m'éloigner après avoir eu son approbation

Maintenant nous attentons juste l'activation de la partie 2 de notre plan d'entrée

Lorsque 19 min sonnèrent sur ma montre, je su direct que ça faisait 19 min qu'on était dans la Fabrique et que le braquage avait commencé. Je vois Nairobi arriver en courant avec 3 sacs remplis de billets

Flashback
El profesor expliquait la phase la plus importante de notre entrée.

"Au bout de 20 min la porte d'entrée s'ouvrira automatiquement, un de vous aura préparé 3 sacs remplis de billets, le but est que 3 d'entre vous sortent avec ces sacs à billet comme si on voulait partir de la maison de la monnaie" commence el Profesor

"Mais ce n'est que du bluff, on sortira dehors faire semblant de partir mais les policiers seront là donc on tirera à côté d'eux pour ne pas les blesser et on rentrera de nouveau dans la Fabrique comme si on y était obligé. La police aura alors l'impression de supériorité sur nous car selon elle on est resté par contrainte dans le bâtiment" coupais je le prof

"Je n'aurai pas dit mieux"

Fin du flashback

Je prends un sac ainsi que Tokyo et Rio, Denver nous couvre derrière.
Quand les portes s'ouvrent nous sortons. Je commence à tirer par terre, à une distance raisonnable des policiers pour que cela fasse vrai. À un moment je vois Rio s'effondrer au sol, Tokyo le traîne par terre et réussi à le faire rentrer dans le bâtiment pendant que je l'ai couvré avec mon M16.

Quand les portes se ferment enfin, je me retourne et vois Tokyo pleurer en prenant Rio dans ses bras. Je le savais depuis un moment qu'ils étaient ensembles mais maintenant on venait d'avoir la confirmation. Moscou se rapproche et nous confirme que la balle n'a que effleuré la tête de Rio, rien de grave.

Denver s'énerve et crie sur Tokyo et Rio
"La putain de première règle joder !!!"

Holà a todos
J'espère que vous allez bien
Tout d'abord je voulais vous remercier pour les 1000 lectures sur ce livre, jamais je n'aurai pensé en arriver là et c'est grace à vous, merci!
En me lançant dans cette histoire je me suis dit, vas y je publie des chapitres on verra si j'arrive à faire quelques vus, en y repensant c'est fou!
Désolé pour le chapitre plus court mais je suis en vacances à l'étranger donc plus difficile pour moi d'écrire
Besos a todos

Todos somos resistenciaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant