•𝙵𝚘𝚛𝚝𝚢-𝚜𝚎𝚟𝚎𝚗𝚝𝚑 𝚌𝚑𝚊𝚙𝚝𝚎𝚛

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Pdv Blair
Je me réveille et sens un bras enlacer ma taille, ce qui m'empêche de bouger. J'essaye de bouger délicatement le bras en question mais je réveille quand même son propriétaire.

- Je t'ai réveillé ? Demandais-je.

- Non ça va, répond la voix ensommeillée de Chuck.

Il se redresse presque aussitôt et retire son bras.

- Tu... Tu es dans le lit depuis quand ?

- Euh... Hier nuit. Désolé d'avoir pris de la place. Le canapé est pas assez confortable, dit-il en s'étirant.

Je lui souris et m'étire à mon tour.

- Pas besoin de t'excuser tu sais. C'est ton lit, ta chambre, ton penthouse.

- Oui, mais te prêter tout ça me dérange absolument pas, dit-il avec un sourire en coin. Tu veux manger quoi ce matin ? Dit-il en se levant.

- Hmm... J'ai envie de pâtisseries ce matin. Des croissants au beurre, j'adorerais manger des croissants au beurre, dis-je en souriant.

- Ça marche. Je dis au restaurant de te monter ça, dit-il en allant vers la porte.

- Oh et au fait... L'interpellais-je.

- Oui ?

- Tu ne travailles pas aujourd'hui ?

- Non. Pour la journée, je suis tout à toi, dit-il en souriant.

J'hoche simplement la tête, le sourire aux lèvres.
Je sens qu'on va bien s'amuser aujourd'hui.

Pdv Chuck
J'appelle Ariana ce matin pour lui dire de prendre sa journée.

- Quoi ? Répond-elle, la voix ensommeillée.

- Bonjour Ari. T'as bien dormi ?

- Me faites pas perdre de temps ! Je dois aller bosser là, dit-elle agacée.

Lunatique cette fille...

- Pas la peine. Prends ta journée, je serai occupé aujourd'hui, dis-je en regardant Blair.

- Ok... Donc quand VOUS êtes occupé, JE ne travaille pas ? Dit-elle perplexe.

- Hmmm... Oui tout à fait. Ta journée va être ennuyeuse sans moi, et comme je tiens à ton bien-être et à ta bonne humeur, je veux t'éviter ça, dis-je en souriant.

- Ok, c'est beau de rêver. Allez à plus.

- Attends.

- Quoi ? Dit-elle en soupirant.

- T'es vraiment une vilaine fille toi, dis-je taquin. C'est pas bien de soupirer comme ça.

- Vous parlez comme ma mère quand j'étais p'tite, dit-elle avec amusement.

- Ah oui ? Bah je vais faire comme elle, et te donner une bonne fessée.

- Ma mère me donnait pas de fessée ! Et puis merde je raccroche, dit-il choquée.

- On se voit toujours ce soir ?

- Oui, je suppose, dit-elle. Vous passez me pren... Me chercher ?

- Si je passe te prendre ? Bien sûr, dis-je moqueur.

Je l'entends grogner et m'insulter de tous les noms à l'autre bout du fil.

The Upper East SideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant