Bust

100 - Rien n'est pas réparable

Tout d'abord, je suis moins fréquente dans mes publications et j'en suis désolé. Ça arrivera sans doute encore pour les prochains chapitres alors préparez-vous mentalement à attendre une semaine ou plus entre chaque chapitre. Mille excuses et bonne lecture.

PDV ALEXANDRA

Los Angeles, Maison des Clark - 17:30, 22/02

Sur le canapé de la maison j'attend en jouant à la playstation avec Léo et Yelena, j'attend ma copine qui est sensée arriver dans une trentaine de minutes grand maximum. Nous sommes Vendredi soir et l'altercation avec Marie, la mère de Naëlle, a eu lieu dimanche dernier, cinq jours sont passés plus que rapidement. Après le départ de Marie nous avons tous fait comme si de rien n'était, connaissant et comprenant tous plus que quiconque l'envie qu'a ressentit Naëlle : que rien ne change dans sa vie et de juste... oublier cette visite impromptu. Alors nous avons obéit silencieusement, Léo a proposé une partie de Call Of Duty et nous nous sommes entassé dans le canapé les uns sur les autres pour passer une soirée à picoler et jouer comme les gamins que nous sommes. Sarah et moi, nous étions affairé à préparer les Vodka Redbull de tous le monde sans rechigner dans la cuisine.

Alors que je finissais de préparer les boissons, ma copine m'avait lâchement abandonner dans notre tâche commune de remplir les verres de ces messieurs-dames pour se hisser sur l'ilot central de la cuisine, préférant de loin me regarder faire, seule. Je me souviens de ce sourire qu'elle avait collé aux lèvres en me regardant faire, elle avait sourit de cette manière qui lui appartient à elle seule. Ce sourire que j'aime tant, celui qui fait s'envoler les papillons dans mon ventre et qui me donne l'impression d'être la personne la plus niaise qu'il existe dans ce monde, après mon frère évidement que personne ne peux surpasser. Quand je l'ai vue me fixer de manière si intense avec ce fameux sourire collé aux lèvres j'ai baissé la tête en sentant mes joues rougir et lui ai demandé la raison de cette air si amoureux qu'elle me portait. Elle m'a simplement répondue comme si c'était la chose la plus normal « rien je suis amoureuse de toi » je me souviens avoir redressé la tête pour lui sourire et face à cette réaction un sourire taquin c'était posé sur ses lèvres pour qu'elle continue sa phrase « j'ai hâte de passer enfin sous tes doigts pour que mon corps puisse t'appartenir bien que mon coeur, ce pauvre palpitant, soit déjà entre tes mains bien au chaud ». Je ne m'étais jamais sentit aussi heureuse et en même temps mal à l'aise qu'à ce moment précis, et dieu sait que je ne suis jamais gêné normalement. Mes joues avaient rougies d'une manière instantané et Sarah s'était moquer de moi ouvertement en explosant de rire, attirant l'attention de nos amis sur nous. Leila avait criée quelque chose comme « Bah alors chaton ? Qu'est qui cee passe, on se fait rouler dessus par la petite blonde ? ». Bien que tentée de répondre à l'affirmative à sa phrase pour me venger de ma copine en l'embarrassant à mon tour, je n'avais pas répondu à sa provocation pour garder secret le coté allumeuse de Sarah. Ma petite amie avait sauté du plan de travail, collé un bisou appuyé contre ma joue rougie et était partie dans le salon rejoindre tous le monde, toujours hilare. J'avais grommelé un 'Allumeuse' dans ma barbe avant de la rejoindre, un sourire traite sur les lèvres malgré moi.

Un coup de coude me force a me reconnecter au moment présent alors que je fusille l'auteur de cette affront.

Leïla : Regarde pas Yelena comme ça chaton et concentre toi sur la partie au lieu de rêvasser.

Moi : Ouais non ça va. Je ronchonne.

Yelena : Non ça va pas, on va perdre avec tes conneries. Grommelle ma soeur en regardant les scores.

Leila en s'inquiétant pour moi, se désintéressant du jeu par la même occasion : À quoi tu penses ?

Moi : À rien de particulier. je mens me voyant mal dire : « comme d'habitude une petite blonde hante mes pensées ».