Bust

119 - Costume

Nda : Un tout dernier et c'est la fin. Désolé pour le temps d'attente je suis occupée en ce moment alors je fais ce que je peux. J'aimerais vos avis, vos prédilections pour la suite et même vos attentes.

PDV Alexandra

Los Angeles, Rue - 16:00, J-1 Bal

Demain, c'est le bal. Comment vous dire que je suis pas fan du principe. Inviter la plus belle fille du lycée pour l'exhiber, pas mon style. Sauf que j'ai une petit amie casse-pied qui aime ce genre de tradition patriarcale. Nous sommes dans les rues de L.A en train de choisir un magasins pour acheter nos tenues avec Léo, Gabriel, Leïla. Le reste du groupe est à l'autre bout de la ville « pour pas qu'on voit les tenues des filles ». Leïla à tenu à venir dans ce groupe pour bien se moquer de moi.

Moi : Vous allez porter quoi vous ? Enfin non, je sais, un costume puisque vous avez toujours les mêmes tenues, vous, hommes pour ce genre d'évènement. Je glisse avec ironie.

Gabriel : Soit pas jalouse, femme. Me taquine-t-il.

Je lève les yeux et mon frère devant nous râle dessus en disant qu'on traîne.

Moi : Tais toi Léo. Ta copine est tellement gaga de toi que tu pourrais mettre un pyjama, elle t'en voudrais même pas.

Leila se marre en regardant mon frère ronchonner dans sa barbe. Je lui donne un coup de coude bien placé et elle s'étouffe avec sa salive.

Leïla : T'es malade ma parole. S'écrit-elle, attirant l'attention de toute la rue.

Moi Sans faire cas de son manque de tenue. : Si t'es venue, tu essayes avec nous les vêtements. Et pour la peine, tu invites ma soeur au resto demain soir. Un bon resto. Je souligne. L'emmène pas à « L.A route ».

Leïla : Et l'argent je le sors du trou du cul du pigeon qui passe la ? Dit-elle en en montrant un du doigt.

Moi : Exactement. Je souris.

Leila : Nan sérieux, j'ai pas les moyens.

Moi : C'est ton anniversaire bientôt. Considère que c'est mon cadeau.

Leïla : Bien sur, va te faire foutre Clark je prendrais pas ta carte.

Elle se renfrogne et accélère le pas vers mon frère quand je la rattrape par le poignet.

Moi : Joue pas sur l'égo Leila. Je suis pas ta machine à fric je le sais et tu le sais. Je te propose de l'aide parce que ça me fais plaisir. Et si vraiment ça te gêne, tu me remboursera plus tard. Mais ma soeur n'est pas aller au bal de promo plus jeune parce que son copain l'avait quitter la veille. Aujourd'hui elle nous voit heureux d'y aller et ça la blesse de pas avoir eu cette chance. Alors, j'aimerais que tu la gâtes demain, plus avec ta présence qu'avec mon argent, si je voulais juste donner de l'argent je payerais une playstation à Gabriel pour sa chambre. Mais non, là, je veux que tu la fasses se sentir comme une princesse. Elle le mérite.

Leïla : Ok...

Moi : OK ? Met y plus d'énergie s'il te plait. Je fronce les sourcils, insatisfaite.

Leïla : Ok ! Merci pour elle, et pour moi parce que je vais commander toute la carte. Rajoute-elle pour rigoler tandis que je lâche son poignet.

Gabriel : Ce que t'es gonflée ricane-t-il, n'ayant pas loupé un mot de la conversation.

Leila : Ta gueule.