1. RENTRÉE

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9h Atlanta.

Ma vue se porte sur les magnifiques paysages d'Atlanta qui défilent devant mes yeux à une vitesse énorme.

- Maman tu roule trop vite

- Je fait ce que je peux Lya si tu ne veux pas arriver en retard au premier jour de l'université.

Ma mère est celle qui va le plus me manquer. Nous avons une relation fusionnel et elle a fait la totalité de mon éducation seule depuis la séparation de mes parents très jeunes et à acquesser tout : le manque de mon père que je voyais très rarement, nos disputes, les finances de mes écoles, ma crise d'adolescence ect..
Je lui en serais a jamais reconnaissante d'être là et de l'avoir toujours été.

- Eh Ho Lya? On est arrivées.

Je sors de mon imaginaire avec difficulté comme d'habitude.

- Ho mince je n'avais pas vu excuse moi.

Je sors de la voiture, prend mon sac et le moment qu'on déteste le plus arrive : les aurevoir. A ce moment là j'aurais voulu être partout sauf là.

- Je suis fières de toi ma chérie sur tout ce que tu as parcourue même si ça n'a jamais été très facile et j'espère que tu continuera à l'être. Profite bien et essaye de pense quand même de temps en temps à moi. Dit elle avec un faible sourire.

Les larmes dévalent sur sa joue et sur la mienne aussi.

- Merci pour tout maman, je t'aime.

- Moi aussi ma puce.

Je lui embrasse la joue prend mon énorme valise, mon sac à dos et je traverse la route, m'arrête net, me retourne, fait un signe de main à ma mère et lui tend mon doigt de la où je suis, ça a toujours été notre signe pour nous donné du courage. Elle fait pareil et je finis par me tourner et franchir l'immense portail de fer devant moi.

C'est parti.

Les jardins autour de l'université son à coupé le souffle, de grands espaces à la pelouse coupée parfaitement horne la totalité de l'espace, de jolies fleurs y sont plantés, des chemins en pierres afin de regagner l'université sans abîmer le décor, et pour finir une grande fontaine devant celle ci.

Je prend ma lettre d'admiscion et regarde mon numéro de chambre : 322.
Evy m'attend déjà dans la chambre, je devais la rejoindre pour 9h30, mon regard se tourne vers ma montre : 9h26. Parfait.

Je gravis les marches à une vitesse fulgurante et cherche le numéro 322.
Un garçon y est adosser le regard figé sur son téléphone. Je me suis peut être trompé de chambre, je vérifie, non c'est bien la.

- Excuse moi ? J'aimerais passer s'il te plaît.

Le brun me répond franchement sans decoller son nez du téléphone.

- Non.

Pardon ?

- Et moi je te dit que si, ma chambre se trouve ici donc je te le redemandé calmement peux tu me laisser passer s'il te plaît. Dis-je agacé

- Non principessa (princesse), je suis très bien où je suis. Dit il en levant enfin la tête vers moi.

Si il pensais que je n'allais pas comprendre dommage alors, je suis italienne.
Putain je déteste déjà ce dieu grecques à l'ego surdimanscionné.

- Écoute moi bien connard, je suis pas ta princesse alors dégage ton cul d'ici et laisse moi passé.

Il retourne son regard sur son téléphone, un sourire en coin comme réponse à mon ordre plus froid que l'Antarctique.

𝑴𝒂𝒈𝒏𝒆𝒕𝒆 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant