34. INTERRUPTION

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Distribution d'air 🌶️

Point de vue Lya :

Nos lèvres s'entrechoquent dans cette atmosphère palpable.

Je lui ait enfin dit.

Ce que je refuse de m'avouer à moi même depuis des semaines.

Bordel j'y crois pas et pourtant c'est évident.

J'aime ce connard.

Mi stronzo.

Et lui m'a avouer la raison de l'importance qu'il porte au consentement.

Il s'est fait attoucher.

C'est horrible bordel.

Après me l'avoir confié, il m'a regardé comme si il pensait qu'il me dégoûtait.

Au contraire ça ne fait de lui qu'une personne encore plus courageuse que je ne le pensais.

on prendra tout le temps nécessaire pour qu'il se sente à l'aise d'en parler plus.

Ses mains brûlantes coupent mes pensées lorsque qu'elle me soulève pour me mettre à califourchon sur lui, remonte pour me soustraire mon débardeur, laissant ma poitrine nue qu'il embrasse avec délicatesse dans la pénombre.

Je bascule la tête en arrière lui laissant la liberté de faire ce qu'il veux.

Il continue de titiller ma poitrine alternant les coups de langue et les pincements.

Je plaque ma main sur ma bouche pour estomper un gémissement lorsque qu'il la retire aussitôt.

- Je veux t'entendre. Sussure t-il d'une voix rauque.

- Je crois que tu as oublier que tu était dans le bâtiment des filles et donc que tu es interdit mon cher monsieur. Ça serait bien de garder un minimum de discrétion si tu voit ce que je veux dire. Ricanais-je en me stoppant net de surprise lorsque sa main s'echoua entre mes cuisses.

Sa tête se releva pour me demander la permission que je lui accordais avec plaisir.

Mes cuisses se refermairent machinalement sur sa main, ne contrôlant pas le plaisir de ses doigts.

Ses mouvements alternant maintenant poitrine et entre jambes je n'en pouvait plus.

Je tatais le matelas à la recherche de l'emballage de protection.

Lorsque nos couches d'habits diminuaient de plus en plus, son jean passat de peu au dessus de ma tête et était envoyé à l'autre bout de la pièce.

Autre bout de la pièce qui se fut sur le mini-frigo d'Evy et moi qui basculait d'un bruit sourd.

Merde.

- Pas mal pour un gars qui voulait pas se faire remarquer.

Même dans la pénombre je parvenais à distinguer son sourir en coin.

Ce fut tout de suite moin drôle lorsque qu'on tocas à la porte nous immobilisames net.

- Mademoiselle Collins, mademoiselle Matina ? Demenda une voix de femme derrière la porte que je supposais être une surveillante de couloir.

Merde en plus Evy n'est pas là, voilà une merde en plus comme si ce n'étais pas assez.

- Putain vite, le placard Liam.
Lui ordonnais-je en chuchotant pour qu'il se cache.

Il s'y precipita après m'avoir chuchoter à l'oreille :

- J'avoue apprécier quand tu me donne des ordres comme cela principessa.

𝑴𝒂𝒈𝒏𝒆𝒕𝒆 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant